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Les extraits appréciés par Pegh

Il y a des regards qui changent tout, qui avouent tout. Et celui-ci était bien plus que ça. Il racontait le passé, soufflait le présent, imaginait l’avenir. Il portait nos souffrances, nos erreurs et nos blessures. Nos bonheurs, nos passions et nos réussites. Il n’était pas à lui. Ni à moi. Il était à nous. Parce que c’était ça l’amour, non ? Partir et savoir revenir. Hurler et savoir chuchoter. Se battre et savoir renoncer. Se taire et savoir le dire. Parce que nous n’étions pas parfaits, nous ne le serions jamais. Il y aurait un jour, puis un autre. Une semaine et des mois. Des années qui se transformaient en décennies. Un lien qui se tisserait à chaque seconde. Qui serait fragile par moments, comme une chaîne d’acier à d’autres. Et si, de temps en temps, il nous arrivait d’avoir peur qu’il se brise, il continuerait quand même à nous unir.  

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«  Y a-t-il une chose que tu ne sais pas ? » dit-il.

Je le regardai. C’était mon moment. Je pouvais le saisir ou je pouvais le perdre, mais je savais que de toute façon je ne l’oublierais jamais. Ou je pouvais me délecter du compliment – mais regretter à jamais tout le reste. Ce fut probablement la première fois de ma vie que je parlai à un adulte sans réfléchir à ce que j’allais dire. J’étais trop nerveux pour ça.

« Je ne sais rien, Oliver. Rien.

— Tu sais plus de choses que n’importe qui ici. »

Pourquoi répondait-il à mon ton presque tragique par une simple flatterie ?

« Si tu savais comme j’en sais peu sur ce qui compte vraiment… »

J’étais comme un nageur qui, sans essayer de se noyer ni de gagner la terre ferme, fait du surplace dans l’eau, parce que la vérité était là – même si je ne pouvais pas la dire, ni même y faire allusion, j’aurais pu jurer qu’elle était là, comme on dit d’un collier qu’on vient de perdre en nageant : « Je suis sûr qu’il est là en bas quelque part. » S’il savait, si seulement il savait que je lui donnais toutes les chances de résoudre l’équation et de trouver un nombre plus grand que l’infini…

Mais s’il le comprenait, il devait soupçonner quelque chose, et alors m’observait-il du rivage avec son regard dur, hostile, à la fois distant et incisif, omniscient ?

Il avait dû deviner quelque chose, mais Dieu sait quoi. Peut-être essayait-il de ne pas paraître déconcerté.

« Qu’est-ce qui compte vraiment ? »

Se montrait-il insincère ?

« Tu sais bien. Toi surtout tu devrais le savoir maintenant. »

Silence.

« Pourquoi me dis-tu tout ça ?

— Parce que je pensais que tu devais savoir. »

« — Parce que tu pensais que je devais savoir. » Il répéta lentement mes paroles, essayant d’en saisir tout le sens, d’y voir plus clair, tout en gagnant du temps en les répétant. Je sentais que le fer était chaud.

« Parce que je veux que tu saches, lâchai-je soudain. Parce qu’il n’y a personne d’autre à qui je peux le dire. »

Voilà, je l’avais dit.

Me faisais-je bien comprendre ?

J’étais sur le point de dévier la conversation en disant quelque chose à propos de la mer et du temps qui s’annonçait pour le lendemain : serait-ce une bonne idée d’appareiller pour E., comme mon père le promettait chaque été ?

Mais il eut le mérite de ne pas me laisser bifurquer.

« Tu sais ce que tu dis ? »

Cette fois je regardai la mer au loin et, sur un ton vague et las qui était ma dernière diversion, ma dernière protection, ma dernière esquive, je répondis : « Oui, je sais ce que je dis et tu me comprends parfaitement. Je ne suis pas très doué pour parler. Mais libre à toi de ne plus jamais m’adresser la parole.

— Attends. Es-tu en train de dire ce que je pense que tu dis ?

— Ouiiii… »

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« Un nouveau soupir lui échappa, et il chercha la tête sombre d’Ollie dans le bus, même s’il savait qu’il n’était pas là. Le reste de la tournée allait-il se passer ainsi ? Des aller-retours d’Ollie, et Shay se cassant la tête à essayer de gérer la situation ? Le groupe émo devenait de plus en plus tentant. Mon dieu, je suis pathétique. »

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« – Quand j’avais l’impression que l’obscurité se refermait sur moi, tu étais là.

La pièce devint silencieuse et Leo sut que King s’était endormi. Il ferma les yeux, ses mots furent un murmure dans l’obscurité.

– Je suis toujours là. »

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« – Je suis la femme parfaite pour votre enquête, muette comme une tombe.

– Si je n’étais pas fraîchement divorcé, je vous demanderais en mariage, je plaisante.

– Je préfère les hommes sourds, me répond Harper en tapant aussi vite que l’éclair, désolée.

Elle s’excuse pour les hommes sourds ou pour le fait que je sois « fraîchement » divorcé ?

Mystère.

– Alors nous sommes tranquilles. »

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Ma prise se referme sur son avant-bras et je le tire à moi d’un geste brusque avant d’écraser ma bouche sur la sienne.

Énorme connerie.

Énorme connerie.

Énorme connerie. 

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— Je peux demander à Pierce de t'amener dans ma chambre pour le dîner. Tu veux te joindre à moi ?

— Est-ce que j'ai le choix ?

— Bien sûr.

— Avez-vous l'intention de continuer de me séduire ?

— Je pense que oui, dit-il d'une voix qui trahissait son sourire. As-tu l'intention de continuer de me repousser ?

— Oui.

— Hm, dit-il simplement tandis que ses mains caressaient malicieusement mon dos. Je ne sais pas si j'en suis ravi ou déçu.

Moi non plus, je ne le savais pas.

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Chapitre 1 :

«…Red pointa un doigt vers la plage.

— Explique-moi ça.

Ace regarda dans la direction indiquée.

— Eh bien, Russel, il semblerait qu’il y ait une séance photo en cours.

— À moins que tu veuilles manger du gruau pour le restant de tes jours, tu vas me dire ce que tu as fait.

— Moi ? Demanda Ace avec un petit cri scandalisé. Tu penses que j’ai arrangé ça ?

— Ace, l’avertit Red.

— D’accord, j’ai, peut-être demandé à Coton s’il était au courant de séances photo de mode à venir localement, et Colton a peut-être ou pas mentionné celle-ci en particulier, et j’ai peut-être ou pas demandé à Manson de se faire affecter à cette surveillance.

Ace s’éclaircit la voix et croisa le regard de Red.

— Je m’en suis mêlé. Je suis un mêle-tout qui s’ingère dans les affaires des autre. C’est Laz.

— Sans blague... »

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Ace tendit la main.

— Donne-moi le stylo.

— Non. C'est mon stylo.

Colton le serra contre sa poitrine.

— Tu me l'as donné.

— Tu es sérieux ?

— Oui. C'est la seule défense que j'ai. Tu ne me le prendras pas.

— Colton, tu réalises que je pourrais te le prendre sans même que tu t'en rendes compte.

— Oh oui, M. Béret-Vert-Surdoué ? Alors, fais-le.

— Colton, le prévint Ace.

— Allez. Je veux voir tes mouvements super-secrets.

— Je ne sais même pas quoi te dire à l'instant, si ce n'est que tu es ridicule. Et j'ai ton stylo.

Ace leva un stylo argenté.

— Mais qu'est-ce que... ?

Colton regarda ses mains vides, bouche bée, avant de relever la tête brusquement.

— Comment as-tu fait ça ?

— Avec des années de pratique. Maintenant, ai-je ton attention ?

— Oui.

— Bien.

— Est-ce que je peux récupérer mon stylo ?

Ace serra les lèvres comme s'il essayait de ne pas rire. Bon Dieu, il était si sexy. Colton voulait lui sauter dessus et faire des choses folles à son corps.

À la place, il prit le stylo qu'Ace lui tendit.

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— J’ai dû me tromper.

Reggie entra de nouveau tous les chiffres. Quand le résultat s’afficha, il secoua la tête.

— Oh, la vache, dit-il d’un ton sarcastique, ça va vous plaire.

— Quelle taille ? demanda Kai, sachant déjà que cela dépasserait ses pires craintes.

Reggie laissa échapper un long soupir.

— Accouche ! s’exclama Brad.

Il y avait de la peur dans son regard, mais un sourire fugace se dessina aussi sur ses lèvres. Kai comprenait ce mélange de frayeur et d’excitation.

Car de manière totalement irrationnelle, malgré les ravages qu’entraîneraient des vagues énormes et le danger, Kai avait toujours nourri le désir de voir de ses yeux un tsunami. Apparemment, il allait être exaucé.

— Sept-zéro, au moins, annonça Reggie.

— Bon, mais le tsunami de 2004 faisait dans les dix mètres de hauteur, si je me souviens bien, fit remarquer Brad.

Reggie secoua la tête.

— Selon certaines estimations, les vagues ont atteint au moins deux fois cette hauteur à Banda Aceh.

— D’accord, donc avec sept mètres, on ne s’en sort pas si mal, non ?

Kai posa une main sur l’épaule de Brad. Il n’avait pas compris.

— Sept-zéro, pas sept virgule 0…, lui expliqua Kai. Reggie parle d’une vague de soixante-dix mètres de haut.

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