Un jeune adolescent accusé et déclaré coupable d'un vol qu'il n'a pas commis est envoyé dans un désert pour creuser des trous dans la terre afin "d'endurcir son caractère" à titre de punition. Il découvrira bientôt que ses confrères - d'autres jeunes délinquants aussi obligés à creuser des trous à chaque jour sous un Soleil brûlant- et lui servent à accomplir un dessein particulier et pour des personnes qui tentent de fuir un passé ou de réaliser un rêve obsessionnel...

Intrigue tirée par les cheveux et écriture lourde avec des détails inutiles qui ne font que rajouter à l'ennui.

Le monde et l’être humain.Pour Oscar Wilde, 'la plupart des hommes et des femmes sont forcés de jouer des rôles pour lesquels ils n'ont aucune aptitude et cela dans un monde marqué d'une 'discordance entre l'optimisme superficiel de l’époque et les faits réels de la vie' et dans une ville pleine 'de sa splendeur, et de sa honte, de ses joies éclatantes et farouches, de son horrible avidité, de tout ce qui s'y trouvait créé et détruit de l'aube au crépuscule'.L'optimisme de la jeunesse se transforme en un 'cynisme calculateur de l'age mûr'; son cœur (devient) 'corrompu par l’élégant et superficiel égotisme de notre époque'.

Ces récits sont des perles d'humour et d'ironie.

Je recommande ce livre à tous ceux aimant la fantasy young-adult car il en respecte les codes (trop pour moi peut-être), à ceux qui n’aiment pas le surplus de romance aussi, soyez sans crainte, tout n’est que regards appuyés et effleurements sans plus, ce n’est qu’un boni de l’histoire, on ne tourne pas autour. Et enfin, à ceux qui n’ont rien contre certaines prévisibilités dans une intrigue et qui se font compenser sur certains points de la fin.

Le premier tome débute en fanfare. Il commence avec de l'action et d'excellentes scènes de combats. Nous découvrons peu à peu l'univers crée par l'auteur et qui sont les Hématoï. Le rapport entre les sang-mêlés et les sang-purs est intéressant et j'adore la dimension mythologique qui pour mou est un vrai plus. L'écriture de Jennifer L. Armentrout est toujours aussi addictive et son univers est original. Le Covenant est un lieu que j'aime beaucoup et l'île sur laquelle cette école se trouve est plaisante. Je n'ai eu aucun mal à imaginer ce lieu et j'aime énormément le fait que l'histoire se passe en été, pendant les vacances scolaires des élèves du Covenant du moins pour le tome 1 qui du coup dévoile moins de personnage pour une insertion plus facile dans ce nouvel univers

Les personnages sont superbes. Alexandria est un personnage dont j'aDore l'humour. Elle est combative, courageuse et elle a un caractère de feu. Son humour est agréable à lire et j'aime son petit côté revêche. Elle est impulsive et elle a beaucoup de mal à se conformer aux règles. Son fort caractère permet à l'histoire d'être pleine de rebondissements et de surprises... parfois on a juste envie de la claquer au sol parce qu elle n en fait qu'a sa tête.

Relu avec grande jouissance ce tome 3 ! Pour tout homme qui aime les femmes, comme moi, ce tome est très excitant...Fatima devient lesbienne, ou plutôt croit le devenir, et bénéficie de la nouvelle loi sur le Mariage pour tous...Hélas comme dans les couples hétéros, sa femme n'est pas vraiment fidèle et cela vaut au lecteur des aventures et des rebondissements avec d'accortes lesbiennes, aussi charmantes et coquines les unes que les autres... Je ne peux qu'évoquer une comédie de boulevard, un vaudeville à la Feydeau, très drôle et réjouissante !!! Les scènes d'amour lesbien sont magnifiques et très affriolantes ! L’auteur a su communiquer avec une infinie délicatesse que l’amour physique entre personnes du même sexe peut être sublime. Cet auteur sait parler du désir, des femmes et de la chair comme personne, mais qui ne s'arrête pas là. Certains passages émoustillent, d'autres font rêver, émeuvent ou révoltent : les émotions s'enchaînent.

Les scènes torrides m'ont envouté...Il n'y a pas que ça ! Le roman est une chronique autour du "Mariage pour tous" et se déroule sur les chapeaux de roue, avec action haletante, suspense intense, enlèvement, romance lesbienne, mariage, adultères...Le lecteur ne s'ennuie pas...c'est drôle, piquant et l'ai adoré le parallèle entre le couple Fatima/ Angéla et le couple Alexandre/ Mina...C'est coquin, malicieux, savoureux ...

Drôles, pertinents, coquins les conseils du poète latin Ovide, relookés 21e siècle par l'auteur......Ils s’appliquent aussi bien aux homos qu'aux hétéros. Reprenant et dépoussiérant les conseils de ce poète sulfureux de l'Antiquité, l'auteur s'amuse à montrer que, sur ce plan-là, rien n'a changé depuis 2 siècles... Hilarant, j'ai beaucoup rit et sourit !

Cortège de difficultés pour les couples qu'ils soient hétéros, lesbiens, gays à la venue des enfants, avec la tentation de l'adultère ... Psychologiquement intéressant et très distractif !

Et bien sûr l'amour d'Alain et Fatima est devenu mythique et incroyable, ces deux personnages sont attirés comme des aimants. A la fin de ce tome, l'amour triomphe sur le sexe...et sur les folles incartades des protagonistes ! Un vrai régal à lire ! Un roman d'amour torride et romantique à souhait !

Une des meilleures trilogies. Elle est magnifique, "réaliste", poignante. Gaïa est un personnage magnifique, profond. On comprend sa détresse : tout son monde s'écroule. Mais elle ne se laisse pas abattre, elle se bat de toutes ses forces. C'est une histoire incroyable, un véritable coup de coeur. N'hésitez pas, ça en vaut largement le détour

Ce livre traite de l'amour à sens unique, l'amour à en être obsédé, l'amour sans hésitation mais l'amour non partagé.

Il nous questionne sur l'attention et le regard que l'on porte aux autres, notre rapport à ceux-ci et la place que nous les laissons occuper dans notre vie.

Ce livre est très beau, très touchant, mais horrible et bouleversant à la fois.

Entre la détresse de l'inconnue qui conte son histoire, son amour dévorant, déchirant pour l'homme qui ne l'a jamais connu, et notre souffrance à nous, lecteurs, qui sommes impuissants, seulement spectateurs de ce mal-être et de cette fatalité inévitable.

Cette lecture m'a laissé un goût amer car elle m'a rappelé que dans la réalité les histoires ne sont pas toutes des contes de fée, et que tout n'est pas toujours bien qui finit bien.

Maalouf a tendance à omettre que cette course effrenée du profit est un obstacle à bien des solutions aux soucis majeurs de l'humanité. Aussi, ce constat sur la nature est un de ses constats sur les bienfaits et les méfaits de la mondialisation. L'auteur est sans cesse dans ce type de double vision. Tout a un défaut, mais aussi une qualité.

Enfin, je concluerai par dire que son chapitre sur les langues reste le plus complet. Contrairement aux autres sujets dans lesquels il prône la réciprocité entre deux parties distinctes (Occident et Orient, Chrétiens et musulmans, Etc.), oubliant les nuances se trouvant entre, l'auteur en tient subitement compte dans ledit chapitre. Il ne faut pas seulement une langue identitaire et une autre globale, mais une ou plusieurs autres entre.

Bon livre, bonnes idées donc, mais je m'interroge quant à l'utilité du format court pour ce type de sujet, si ce n'est de lire les constats d'un homme éclairé.

Bon à savoir avant d'entamer la lecture: ce livre est écrit en 2001. Les tours jumelles sont encore debout et Obama n'est pas encore le premier président noir des EU.

Très bien écrit, ce livre est très impliquant puisque le narrateur s'adresse directement à la fille de la victime du viol, à la 2ème personne du singulier. La descente aux enfers, et puis, comme dans les oeuvres américaines, la lutte entre le bien et le mal. La fin est sans surprise mais le texte est vraiment bien écrit et le sujet bien traité.