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Commentaires de livres faits par -Soleil-

Extraits de livres par -Soleil-

Commentaires de livres appréciés par -Soleil-

Extraits de livres appréciés par -Soleil-

Levant sa lanterne, son épouse observa attentivement les clientes imprévues. Un instant, l'air perplexe, elle faillit dire quelque chose, mais elle parut avoir instantanément oublié les mots qu'elle voulait prononcer. Pour avoir été cent fois témoin de ce phénomène, Kahlan comprit que la femme d'Orlan aurait juré sous la torture qu’il y avait seulement trois clientes. Nul ne pouvait se souvenir assez longtemps de la prisonnière pour mentionner son existence. À croire qu'elle était invisible..
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
J’avais cru que seul Archer pouvait avoir l’air sexy dans cet uniforme. Cam me prouvait le contraire. Le tissu bleu roi faisait ressortir son teint hâlé et la blondeur de ses mèches. Une fossette que je n’avais jamais remarquée auparavant creusait sa joue.
Avez vous apprécié cet extrait ? +6
- Je maintiens ce que j'ai dit. Tu voudrais que je te mente ? demande Gale
- Non, je voudrais que tu réfléchisses et que tu révises ton opinion, dis-je.
Ca le fait rire. Je laisse tomber. On ne peut pas dicter à Gale ce qu'il doit penser. Soyons honnêtes, c'est aussi pour ça que je lui fais confiance.

Chapitre 5, p. 75
Avez vous apprécié cet extrait ? +5
Bienvenue dans le monde merveilleux de la jalousie, pensat-
il. Le ticket d'entrée vous donne droit à une migraine atroce,
à une envie quasi irrépressible de commettre un meurtre et à un
complexe d'infériorité.
Super!
Avez vous apprécié cet extrait ? +93
Bienvenue dans le monde merveilleux de la jalousie, pensa-t-il. le ticket d'entrée vous donne le droit à une migraine atroce, à une envie quasi irrépressible de commettre un meurtre et à un complexe d'infériorité.
super!
Avez vous apprécié cet extrait ? +34
« Les notes superbes s’envolèrent toujours plus haut, transformant la pièce en cathédrale et les Frères en tabernacle. Comme une voie royale qui mettait les cieux à portée de main. C’était Zsadist. Les yeux fermés, la tête en arrière, la bouche grande ouverte, il chantait. Le vampire défiguré, le guerrier sans âme, avait la voix d’un ange. »
Avez vous apprécié cet extrait ? +20
date : 07-09-2011 par Bbey
Sous le vieux saule, au fond de la prairie,
L'herbe tendre te fait comme un grand lit
Allonge-toi, ferme tes yeux fatigués
Quand tu les rouvriras, le soleil sera l'vé

Il fait doux par ici, ne crains rien
Les pâquerettes éloignent les soucis
Tes jolis rêves s'accompliront demain
Dors, mon amour, oh, dors, mon tout petit

Tout au fond de la prairie, à la brune,
Viens déposer tes peines et ton chagrin
Sous un manteau de feuilles au clair de lune,
Tout ça s'oubliera au petit matin

Il fait doux par ici, ne crains rien
Les pâquerettes éloignent les soucis

Tes jolis rêves s'accompliront demain.
Dors, mon amour, oh, dors, mon tout petit.
Avez vous apprécié cet extrait ? +82
-Ne fais pas la maligne, fillette, grogna le type à la carabine. Nous sommes venus pour vous deux, mais je veux d'abord me faire ton copain.
Jason me glissa un regard en biais.
-Tu dois perdre ton charme en vieillissant, Anita. C'est moi qu'il veut se faire, pas toi.
Avez vous apprécié cet extrait ? +40
Elle tendit la main vers lui, puis se ravisa. Elle ne voulait pas paraître en demande.
-Si, touche moi, dit-il.
Il se pencha pour lui donner accès à tout son corps.
Elle lui posa la main sur la poitrine. Sa peau était chaude, son coeur battait avec un rythme régulier. Elle remarqua une cicatrice circulaire sur son pectoral gauche.
-J'ai besoin de savoir une chose, kohler. (Elle aimait prononcer son prénom peu courant.) Qu'est que tu fait ici?
Il esquissa un léger sourire, comme si sa méfiance lui plaisait.
-Je suis ici pour prendre soin de toi, Elizabeth.
On pouvait pas dire qu'il avait réussi son coup.
-Beth. On m'appelle Beth.
Avez vous apprécié cet extrait ? +27
-Alors vous êtes avec Torh? demanda t-il au groupe
-Oui, répondit Rhage. Ça me va.
Viszs et Fhurie acquisièrent
-Z.?
Le guerrier fit les yeux ronds
-Qu'est-ce que j'en ai à foutre? Toi, Tohr ou Britney Spears.
Avez vous apprécié cet extrait ? +18
Chapitre 6 Pages 164 à 169 :

[ ... ]
J'ai tournée les talons illico et filé dans ma chambre. A peine arrivée dans la salle de bains, j'ai enlevé mes vêtements et les ai jetés en tas dans un coin serrant les dents pour essayer de me calmer, assez du moins pour parvenir à rire de ma propre crise d'hystérie, avant de me glisser sous le jet d'eau bouillante.
Je sais, c'est plutôt la douche froide qu'on recommande, dans ces cas-là, mais la chaleur me détendait. La tête sous la cascade fumante, j'ai tendu la main pour attraper le savon.
- Je m'en charge, a déclaré Eric en tirant le rideau pour venir me rejoindre.
J'ai hoqueté et retenu de justesse un hurlement d'effroi. Il était nu comme un ver et... visiblement dans le même état d'esprit que moi. Avec Eric, c'était extrêmement... visible. Ses crocs étaient légèrement sortis. Pendant que, paralysée par toutes ces émotions contradictoires, je restais figée, Eric s'est savonné les mains. Il a reposé le savon dans sa niche et a commencé à me laver les bras, les soulevant l'un après l'autre pour caresser mes aisselles, redescendant le long de mes côtes sans jamais ne serait-ce qu'effleurer les seins - qui ne demandaient que ça.
- Avons-nous déjà fais l'amour ? a-t-il murmuré?
Je fis non de la tête en silence - j'étais absolument incapable d'articuler le moindre mot.
- Alors j'étais idiot, a-t-il constaté en faisant glisser sa main sur mon ventre dans un seul mouvement de rotation. Retourne-toi, ma belle amante.
J'ai obéi, et il a recommencé coté pile ce qu'il venait de terminer côté face. Ses gestes étaient sûr, habiles. Un vrai massage ! A la fin, j'avais les omoplates les plus propres et les plus décontractées de toute la Louisiane.
Mais c'était bien tout ce que j'avais de décontracté. Ma libido jouait les montagnes russes.
[ ... ]
J'avais conscience d'être a deux doigts de lâcher prise, de débrancher le moteur en pleine explosion qui me tenait lieu de cerveau et de laisser mon corps prendre les commandes... Je sentais une certaine partie du corps d'Eric qui se pressait contre moi - et pourtant il ne se tenait pas si près de moi... Argh. Youpi. Miam.
- Est-ce que parce que tu as peur de moi que tu trembles ? m'a-t-il demandé tout en lavant les cheveux.
J'ai réfléchi à la question. Oui et non. Mais je n'avais pas l'intention d'entamer une discussion sur le sujet. Oui, je sais, le moment n’aurait pu être mieux choisi pour avoir, avec Eric, une conversation sérieuse sur les rapports sexuels basés uniquement sur le désir physique et les dilemmes moraux qu’ils entrainent. Et peut-être n’y aurait-il pas d’autres occasions de fixer, une fois pour toutes, les règles du jeu entre nous, notamment en ce qui concernait les précautions avec lesquelles il fallait me traiter. Non pas qu’Eric soit une brute épaisse, ma sa… « virilité » (comme on dit dans les romans sentimentaux – dans ce cas précis, les adjectifs « palpitante » et « turgescente » s’imposaient) avait de quoi intimider une femme aussi peu expérimentée que moi. J’avais l’impression d’être une voiture qui n’a connu qu’un seul conducteur, et que son nouveau propriétaire voudrait emmener au Daytona 500.
Oh ! Et puis, zut ! Fini de réfléchir !
A mon tour, je me suis savonné les mains. Puis je me suis approché de lui, repliant plus ou moins Monsieur l’Impatient contre le ventre de son propriétaire, pour atteindre ce fessier hors concours dont j’avais eu un si bref et si bouleversant aperçu. Je ne pouvais pas voir ses yeux, mais il m’a fais comprendre qu’il était ravi de me voir répondre à ses avances. Il a docilement écarté les jambes et je l’ai savonné, soigneusement, très méticuleusement. Pour son plus grand plaisir, à en croire les petits cris inarticulés qui lui échappaient et l’imperceptible mouvement de balancier qui agitait ses riens. Encouragée par ces résultats, je me suis attaquée à la face nord et suis partie d’emblée à la conquête des mamelons jumeaux dont les cimes roses avaient tant attiré mes lèvres, tout à l’heure. Cette initiative a semblé ravir Eric, qui ma enserré la nuque à deux mains.
- Mords-moi, a-t-il murmuré. Juste un peu.
Il ne m’a repoussé que pour mieux me rendre la pareille. Pendant que sa bouche se refermait sur mon sein, sa main s’est immiscée entre mes cuisses. J’ai laissé échapper un profond soupir, en accompagnant instinctivement le mouvement de sa main. Il avait de très longs doigts…
Quand j’ai repris mes esprits, l’eau avait cessé de couler et Eric m’essuyait avec une serviette. Je lui ai retourné la politesse. Puis nous nous somme embrassés, encore et encore.
- Le lit, a-t-il soufflé d’une voix rauque.
J’ai hoché la tête, trop haletante pour parler. Il m’a prise dans ces bras pour retourner dans la chambre. Il y a eu un léger cafouillage lorsque j’ai essayé de tirer les couvertures, alors que trop pressé, Eric voulait juste m’allonger sur le couvre-lit. Mais j’ai fini par l’emporter – il faisait tout simplement trop froid pour ne pas glisser sous les draps. A peine couchés, nous avons repris les où nous les avions laissées, mais à un rythme légèrement accéléré.
J’avais le corps en feu. Il m’électrisait tellement que je m’étonnais de ne pas voir ma peau crépiter sous ses doigts. J’ai refermé ma main sur lui et j’ai commencé à le caresser. Il s’est alors brusquement dressé au-dessus de moi. Je l’ai guidé doucement, profitant du mouvement pour effleurer le bourgeon de mon désir avec le sien.
- Ma belle amante, a-t-il haleté d’une voix enrouée.
Et il nous a unis d’un puissant coup de reins. Je m’étais crue on ne peut plus prête – je mourais de désir pour lui-, mais j’ai hurlé sous la violence du choc.
- Ne ferme pas les yeux, a-t-il chuchoté. Regarde-moi, ma belle amante.
Il avait une façon de me dire « amante » qui changeait le mot en une caresse, comme s’il m’appelait par un nom secret, intime, qui n’appartenait qu’à nous, un nom qu’aucun autre homme n’avait utilisé avant lui et qu’aucun autre homme ne prononcerait après lui. Ses canines étaient complètement sorties, et je me suis cambrée pour le lécher. Je pensais qu’il allait me mordre dans le cou, comme Bill le faisait presque systématiquement.
- Regarde-moi, a-t-il répété à mon oreille, en se retirant brutalement.
J’ai poussé un cri et j’ai essayé de le retenir. Mais il a recommencé à promener ses lèvres sur mon corps, faisant en chemin des pauses stratégiques, et quand il est arrivé au bout du trajet je vacillais déjà au sommet de la vague. Sa bouche était experte, et ses doigts ont pris la place de son pénis. Puis, tout à coup, il a relevé la tête pour s’assurer que je le regardais- il n’a pas été déçu – et il a posé sa bouche à l’intérieur de ma cuisse, léchant, embrassant, aspirant. Ses doigts s’activaient de plus en plus vite, et soudain sans crier gare, il m’a mordue.
Ai-je laissé échapper un cri, un juron, un serment ? Je suis sûre que j’ai réagi, mais j’avais déjà basculé, emportée par la plus puissante lame de plaisir que j’aie jamais ressentie. Et, à la seconde où j’ai repris contact avec la réalité, grisée et éblouie, Eric a recommencé à m’embrasser, avec le goût de mon corps sur les lèvres. Puis il m’a de nouveau pénétré, et la terre s’est remise à trembler, la lave à bouillonner. Pour lui, l’éruption s’est produite alors que j’en étais déjà aux répliques. Il a hurlé quelque chose dans une langue inconnue et il s’est abattu sur moi. L’instant d’après, il relevait la tête, et je plongeais dans l’azur limpide de son regard.
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-En effet: si ça marche comme un canard et que ça fait <>, c'est probablement un canard.
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-Dis donc, Zerbrowski, je ne vois pas ta main dans le cul de Dolph, mais elle doit pourtant y être, parce que, chaque fois que je te pose une question, c'est de sa bouche que sort la réponse.
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-Sale bâtard.
Il remua les sourcils par-dessus le bord de ses lunettes.
-Tu n'es pas la premiere à me dire ça, malgré toutes les dénégation de ma mère.
je ne pus m'empêcher de rire et sus que j'avais perdu.
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