Terry Goodkind
Auteur
Activité et points forts
Classement dans les bibliothèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 8.19/10Nombre d'évaluations : 4 696
2 Citations 1 922 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Relecture pour moi. J’ai autant aimée que dans mes souvenirs quand je les ai lu il y a plus de 10 ans. Je continue avec le tome 2
Afficher en entierJ'ai beaucoup aimé avoir les points de vue de Jennsen et de Oba. C'est intéressant de voir à quelle point quelqu'un peut vite être mis sur la mausvaise voix via le mensonge. Le personnage de Jennsen en fait les frais. Par contre j'ai détesté le personnage de Oba qui ressemble trop à Defran dans sa manière de penser, mais j'ai adoré le détester.
Afficher en entierCe premier tome est le début d'un voyage époustouflant qui va vous conduire dans un univers travaillé et soigné. Le premier cycle est vraiment haletant, le lecteur est tenu en haleine a un rythme infernal. Le second cycle est un peu bâclé a mon avis mais cependant la cohérence est maintenu. Cette lecture a etait une réelle expérience pour moi et vous la conseil sans hésitation.
Afficher en entierTerry Goodkind tente de relancer son cycle du Sourcier. L'Hisoire est courte et permet de rattacher les wagons après une longue période. En efft,j'ai lu l'épée de Vérité il y a plus de 15 ans maintenant.
Afficher en entierEnfin j ai finis cette série qui était vraiment tress longue mais je suis contente d avoir enfin terminé les aventures de Ricvhard et Kalhan
Afficher en entierDepuis plusieurs années, je m’efforce de parcourir l’intégralité de la série L'Épée de Vérité de Terry Goodkind. Chaque tome a son souffle propre, son lot de révélations et ses montagnes russes émotionnelles. Mais ce neuvième opus, La Chaîne de Flammes, est une créature à part. À la fois déroutant, frustrant, et profondément addictif, ce volume brise les codes que la saga avait jusque-là établis pour nous plonger dans une expérience presque claustrophobique.
La décision de Goodkind de transformer ce tome en le premier acte d'une trilogie à l'intérieur même de la série principale est audacieuse, mais aussi risquée. Pour la première fois, nous sommes confrontés à un roman qui refuse de nous offrir une fin cathartique. Pas de retrouvailles triomphantes entre Richard et Kahlan, pas de justice immédiate ni de résolution éclatante. Ce choix narratif m’a surpris, désagréablement sur le moment, je dois l’admettre. Mais en y réfléchissant, cette absence de conclusion joue un rôle essentiel : elle nous laisse dans le même état de frustration que Richard lui-même, piégés dans un tourbillon d’incertitude et d’angoisse.
Chaque page de ce roman est imprégnée d’une tension viscérale. Goodkind nous force à ressentir chaque éclat de doute et de désespoir qui envahit Richard alors qu’il est seul à se souvenir de Kahlan. Cette situation, où tout le monde autour de lui le regarde comme s’il perdait la tête, m’a donné envie de hurler la vérité à ses alliés. Vous connaissez cette envie irrépressible de secouer un personnage pour qu’il ouvre enfin les yeux ? Ici, c’est presque insupportable, mais terriblement efficace.
Ce qui rend ce tome si captivant, c’est la plongée psychologique dans l’esprit de Richard. Il vacille au bord de la folie, et on vacille avec lui. Est-il possible qu’il se trompe ? Qu’il invente Kahlan pour échapper à une vérité plus sombre ? L’idée même est insoutenable. Goodkind maîtrise l’art de distiller des graines de doute tout au long du récit, nous forçant à remettre en question tout ce que nous pensions savoir sur cet univers.
Et pourtant, malgré cette frustration constante, c’est aussi le tome qui m’a le plus marqué. La magie de l’écriture de Goodkind ici ne réside pas dans les batailles épiques ou les grandes révélations – bien qu’il y en ait quelques-unes –, mais dans la tension brute, le sentiment d’être prisonnier d’une réalité qui se délite sous nos yeux.
Certes, l’absence d’une fin classique peut frustrer ceux qui, comme moi, espéraient un dénouement plus féérique. Mais La Chaîne de Flammes n’est pas là pour récompenser ses lecteurs. Il nous met à l’épreuve, tout comme il met Richard à l’épreuve. Et dans cette épreuve réside toute la beauté de ce neuvième tome.
Un roman qui ne lâche jamais sa prise, un thriller psychologique déguisé en épopée fantasy. Et au final, n’est-ce pas là la marque d’un grand livre ?
Benjamin L. Urbanski - Le Parfum des Mots
Afficher en entierCe livre est criant de vérité.
Bien que le rythme soit un peu moins rapide que le premier (à part la fin qui passe en un coup de vent (ou était-ce si addictif que ça ?)), les leçons que ce livre nous apprend sont profondes. Après tout, peut être que les leçons des sorciers sont des leçons à mettre en oeuvre ici aussi.
Richard et Kahlan nous en mettent plein la vue, mais les nouveaux personnages (Verna, Anna et Warren notamment) sont fantastiques.
Spoiler(cliquez pour révéler)J'aimerai avoir un garn de compagnie, moi aussi.
Afficher en entierLa fin n'est pas à la hauteur de toute la série et en même temps quelle hauteur ! Aucun regret d'avoir lu ces 15 tomes, j'ai vraiment adoré le temps passé à lire ces livres.
Afficher en entierJ'ai passé un bon moment, les personnages sont plutôt sympathiques et c'est le genre de lecture que j'apprécie en général.
Pourtant, il y a un changement de style radical en cours de tome, j'ai mis un temps à m'y faire...
Afficher en entierEn recherchant quelques articles publiés au sujet de ce roman, j’ai été très surpris de constater que les lecteurs américains ont une véritable dent à l’égard de Terry Goodkind. En effet, la plupart d’entre eux considère ce dernier comme étant le prototype de l’Homme dans sa pire définition. En gros, l’Epée de Vérité mettrait en lumière l’Homme comme étant un être pervers qui ne jure que par la violence et le sexe…
Je peux comprendre que le mouvement #metoo a permis aux abrutis de notre planète de prendre conscience que la femme est l’égale de l’homme en tous points, mais de là à ne plus être autorisé à inclure de la violence dans un roman… Je pense que nous vivons dans une société qui tente, à tous prix, de réduire les libertés individuelles afin de plaire au plus grand nombre. Mais en réduisant ces libertés, ne sommes-nous pas en train de catégoriser davantage les êtres humains et d’accentuer les différences ?
Dans ce dixième opus de la série, nous assistons, effectivement, à un nombre incalculable de faits horribles et nous ne pouvons pas passer à côté de viols de femmes en masse, ni même encore de l’idée générale que la femme est l’esclave de l’homme. Mais se limiter à cela – ce que font les lecteurs américains – c’est piocher ce qui « leur convient » pour alimenter leurs arguments de l’Homme vicieux tout en omettant les autres événements dans ce roman qui sont tout aussi horribles mais qui, étrangement, ne font monter personne au créneau pour les contester.
Une femme est violée dans ce roman ? Tout le monde s’offusque ! On crie au scandale ! On lynche l’auteur !!!
Chaque soldat lance un bébé dans un mur. Le gagnant est celui qui fait exploser la tête du bébé avec le plus de force ? Personne n’en parle. L’auteur n’est pas un monstre pour avoir écrit cela ! Il en va de même des tortures sexuelles commises sur les hommes ni même encore des nombreux victimes des différents affrontements.
Pour que les choses soient parfaitement claires. Sachez que la série l’Epée de Vérité de Terry Goodkind est… une fiction !
Il est grand temps de vous livrer ma chronique sur ce dixième opus des aventures de Richard Rahl. Une fois de plus – et c’est parfaitement logique puisqu’il s’agit du deuxième volume d’une trilogie – Terry Goodkind joue avec nos nerfs en fragmentant l’intrigue principale sur plusieurs tomes. Ce choix, audacieux mais maîtrisé, décuple cette envie viscérale de dévorer chaque page, en quête des ultimes révélations qui se cachent à l’horizon.
Dès les premières lignes, la tension vous saisit à la gorge, et elle ne vous lâchera pas avant la toute dernière page. Le lecteur sait, au fond de lui, que tout finira par s’arranger. C’est inévitable, n’est-ce pas ? Et pourtant… Une étrange alchimie s’opère. Vous doutez. À chaque tournant, à chaque murmure dans l’ombre, ce doute s’insinue, s’épanouit, et refuse de vous quitter. Même une fois le livre refermé, ces questions vous hanteront, tapies dans un recoin de votre esprit.
Les révélations, dosées avec une précision chirurgicale, frappent là où vous ne les attendez pas. Elles balayent vos certitudes d’un revers de main, forçant le lecteur à reconsidérer tout ce qu’il croyait savoir. Alors, un autre doute surgit : ce dénouement, celui que nous espérons tous depuis des années, est-il réellement à portée de main ? Ou Goodkind se prépare-t-il à nous surprendre une fois de plus, à nous entraîner dans des abysses encore plus profondes ?
Benjamin L. Urbanski – Le Parfum des Mots
Afficher en entierOn parle de Terry Goodkind ici :
2020-03-25T00:14:35+01:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Terry Goodkind
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Bragelonne : 48 livres
Bragelonne Poche : 18 livres
Tor Books : 16 livres
Milady : 8 livres
Head of Zeus : 8 livres
France Loisirs : 6 livres
J'ai lu : 4 livres
Skyhorse Publishing : 2 livres
Biographie
Terry Goodkind est décédé le 17 septembre 2020.
Afficher en entier