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Commentaires de livres faits par Suzette02

Extraits de livres par Suzette02

Commentaires de livres appréciés par Suzette02

Extraits de livres appréciés par Suzette02

J'étais sur le point de combattre des vampires, et je ne m'appelais pas Buffy. J'étais tellement dans la merde.
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- Je vieillis, grommela-t-il [...] Je commence à avoir des scrupules.
- Oui, ça arrive chez les vieux. (L'archère le regarda avec compassion.) Tu pourrais boire une décoction de pulmonaire, ça soulage bien. En attendant, tu peux mettre un coussinet sur ta selle
- Les scrupules, expliqua Jaskier avec sérieux, ce n'est pas la même chose que les hémorroïdes, Milva. Tu confonds les termes.
- Et qui comprendrait votre charabia! Vous causez continuellement, vous ne savez faire que ça! Allez, en route!
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Il passa lentement à une autre table, pressé par l'envie d'atteindre les énormes crevettes roses pâle qui culminaient sur un plat en argent, parmi ses des feuilles de salade et des quartiers de citron. Elles lui faisaient envie, mais, comme il sentait toujours des regards curieux posés sur lui, il voulait manger les crustacés de manière distinguée, en respectant les convenances. Il avançait à une allure ostensiblement lente, discrètement, en grignotant dignement quelques amuse-gueules disposés sur d'autres plateaux.
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-Dupont-T! Il y a Dupond-D qui t'attend dans son bureau.
Daniel Morelle ne réagit pas à la "plaisanterie" de Ghislaine, la stagiaire du commissariat.
Ce surnom "des deux Dupont" étais dû au fait qu'il formait avec son coéquipier Djamal Kémal une équipe aussi soudée que celle des deux policiers à chapeaux melon dessinés par Hergé
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date : 12-02-2018
Était-il possible qu'ils n'entendissent pas ? Dieu tout-puissant ! - Non, non ! Ils entendaient ! ils soupçonnaient ! - ils savaient, - ils se faisaient un amusement de mon effroi ! - je le crus, et je le crois encore. Mais n'importe quoi était plus tolérable que cette dérision ! Je ne pouvais pas supporter plus longtemps ces hypocrites sourires ! Je sentis qu'il fallait crier ou mourir ! - et maintenant encore, l'entendez-vous ? - écoutez ! plus haut ! - plus haut ! - toujours plus haut ! - toujours plus haut !

- Misérables ! - m'écriai-je, - ne dissimulez pas plus longtemps ! J'avoue la chose ! - arrachez ces planches ! c'est là ! c'est là ! -, c'est le battement de son affreux cœur !
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date : 06-04-2017
Il est arrivé juste au moment du gâteau d'anniversaire.
Un gâteau à la carotte, avec beaucoup de chocolat et une montagne de crème sur le dessus.
C'était un lapin nain, exactement comme Jules l'avait demandé. Ce lapin-là était vraiment tout petit. Mini rikiki mimi.

Et Jules l'a appelé comme ça : Mikimi.

- Tu veux une carotte, Mikimi ?

Il était si mini rikiki mimi, et si doux, doux-doux, que Jules ne voulait plus enlever sa main.

- Tu veux une carotte, Mikimi ?

Il bougeait son petit nez, son museau mini rikiki mimi, vite, vite. Et Jules l'imitait, vite, vite.

- Tu veux une carotte, Mikimi ?

Il reniflait et hop ! faisait un bond, là, loin devant. Et Jules sautait derrière, oh ! pas si haut, pas si loin, mais il suivait, hop ! ici, tout près.
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Ce recueil t'est destiné, c'est ton guide, le Guide de survie à l'usage des jeunes stagiaires. Il ne fait pas parties de ton kit de bienvenue. En faite, si tu te fait choper en train de le lire, tu sera mort avant d'avoir tourné la page et ton cadavre sans visage et sans doigts sera divisé entre six sacs-poubelle et dissous dans une cuve d'acide sulfurique d'une usine chimique anonyme au fin fond du New Jersey.
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Lorsque je l'ai amené, le P-DG lui a proposé un tour de la maison. Il m'a assuré que je pouvais lui confier le petit et qu'il s'occupait de tout. Il avait même prévu des biscuit roses en forme d'éléphant et un cocktail sans alcool à l'ananas. Ce tordu à dû se faire violer par des clowns dans un camion de cirque à un moment ou un autre de sa misérable vie. Il lui a fait son petit numéro à la Willy Wonka et, quinze minutes plus tard, notre agent lui injectait une dose d'adrénaline et de Viagra suffisante pour faire exploser son coeur déjà bouffé par la coke, le laissant avec une érection si dure que le coroner à certainement recouru à une équipe de bûcherons. Voilà ce que j'appelle "une victoire de la guerre d'improvisation". On a placé tonton la Trique devant son ordinateur, mis un des films de sa collection de porno personnelle, et on s'est éclipsés avec des Chupa Chups à la fraise entre les dents.
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date : 05-02-2017
Mon nom est Andrew Ryan. Permettez-Moi de vous poser une simple question: ce qu'un homme obtient par le travail à la sueur de son front... Cela ne lui revint-il pas de droit? "Non, répond l'homme de whashington. Cela appartient au pauvre." "Non, répond l'homme du Vatican. Cela appartient à Dieu." "Non, dit à son tour l'homme de Moscou. Cela appartient au peuple." Pour ma part, j'ai choisi l'impossible. J'ai choisi... Rapture. Une cité où les artistes ne craindraient pas les foudres des censeurs. Où les scientifiques ne seraient pas inhibés par une éthique aussi artificielle que vaine. Où les Grands ne seraient plus humiliés par les Petits. Et, à la sueur de votre front, cette cité peut aussi devenir la vôtre.
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date : 05-02-2017
Imaginez que vous puissiez devenir plus fort, plus intelligent et en meilleure santé. Que vous puissiez, même, acquérir d'incroyables pouvoirs, comme celui de faire jaillir des flammes à la seul force de votre esprit... Eh bien, c'est tout cela que vous offrent les plasmides!
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date : 05-02-2017
En effet, lorsqu'on avait appris sa tentative de récolter à la seringue le sperme d'un sous-marinier, on l'en avait - injustement selon elle - aussitôt renvoyée. De fait, sa tentative de faire croire au cobaye que son intérêt pour ses parties génitales malodorantes n'avait rien de scientifique avait été maladroit. Peut-être aussi avait-elle fiché de façon un peu trop vigoureuse l'aiguille dans l'un de ses testicules, mais toujours est il qu'elle avait trouvé quelque peu exagéré qu'il fuît le laboratoire en courant, à moitié nu, une seringue sanguinolente pendouillant à l'aine, en hurlant: "Cette salope vient de me planter une aiguille en plein dans les couilles!"

[..]

Il la vit le premier [...] Il lâcha la balle et protégea son entrejambe des deux mains.
-Jamais de la vie vous vous rapprochez de mes burnes! (Il reculait en faisant non de la tête.) Jamais!
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-Heureusement que je ne t'amène pas au restaurant, j'aurais été obligé de me battre avec le serveur, declare-t-il en me dévorant du regard.
-C'est ta manière de me dire que je suis jolie? Je lui demande en souriant.
-Non, c'est ma façons de te dire que tu es magnifique, dit-il en rigolant.
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-Repousse-moi, chuchote-t-il. Je vais t'embrasser, alors repousse-moi avant que je ne le fasse.
Mais je ne fais rien, et pour ne rien arranger, je me mets à fixer ses lèvres, à imaginer la sensation que cela me procurerait si je les embrassais. Alors que je suis totalement détachée de la réalité, ses lèvres viennent s'écraser sur les miennes. À ce moment précis, j'oublie tout.
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date : 26-01-2017
Octobre 105

Je suis trop heureux!
Hier, Dynia a dit qu'elle attendait aussi des petits.
Notre famille s'agrandit. J'ai voulu lui apporter des fraises, mias je me suis rappelé que ce n'était plus la saison. Je suis déçu.
De toute manière, Ekhalt lui en donnera pleins. Celles qu'il ne me donne plus.
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date : 26-01-2017
Février 105

Ils sont revenus, et ont recommencé.
Au début, il n'y avait qu'Homme, alors je me suis laissé faire.
Je pensais que ça passerait vite, et que comme ça il serait mon amoureux. Mais Feth est venu après, et il m'a forcé à faire des trucs que je n'aime pas. Et il m'a fait très mal.
J'en veux à Homme de ne pas m'avoir protégé.
Il aurait dû.
Je veux disparaître.
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date : 26-01-2017
Juin 103

Je ne veux plus rester avec eux. C'était horrible. J'ai mal.
Je n'ai pas envie d'en parler, juste d'exprimer ma douleur. J'aurais aimé une maman comme Gaya pour me consoler. Mais Gaya se moque souvent de moi.
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HERMIONE: "Là, c'est Grosfondor, les nobles héros.
Ici, c'est Serpentin, les tarés psychopathes."

HARRY: "Et Poufmouffle et Serdongle?"

HERMIONE: Eux? C'est juste des figurants à massacrer pour le combat final. On s'en fout.
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-Dis donc, tu n'es pas en train de surfer sur des sites pornos, j'espère?
-Quoi? Mais pas du tout! protesta-t-il.
[...]
-Tu as l'air coupable, insista Nora.
-Je consultait mes mails.
Elle scruta Peter et remarqua que ses oreilles rougissaient, signe évident qu'il mentait.
-C'est ça, ouais, fit-elle avec un demi-sourire.
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-S'il n'y avait que ça! J'ai fait un rêve, aussi.
-C'était un souvenir?
-Ouais.
-J'étais dedans?
Tu entends qu'il sourit.
-Très drôle.
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-Il est blessé... une chasseuse lui a tiré dessus. Il m'a sauvée.
Rafe observe le bandage, la gaze imbibée de sang.
-Quand?
-Tout à l'heure. Il n'y a pas de raison de s'inquiéter, je te dis: il est de notre côté. Les chasseurs le savent, d'ailleurs. Il court autant de risque que nous, maintenant.
Le garçon qui porte une capuche secoue la tête.
-Alors, ce serait mieux qu'il ne soit pas là, lâche-t-il. Y a assez de monde qui nous traque comme ça. [...]
Tu plisse les yeux.
-Excuse-moi... T'es qui, toi, au juste?
Rafe donne une tape sur l'épaule du garçon:
-Lui c'est Devon. [...]
-Et il s'est pris une balle à ma place, lui?
La fille rit, puis affirme:
-On n'a pas besoin de l'aide de ton pote.
-Si, c'est juste que vous ne le savez pas encore.
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-Je n'ai pas besoin qu'on soit responsable de moi, proteste Ben. Je ne suis pas débile.
-Alors, comment tu expliques que tu sois devenu Observateur? raille Rafe.
-Ha, ha! très drôle, grogne Ben.
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-Toi en robe! s'exclame-t-il d'un air amusé.
-Qu'est-ce que ça veut dire?
-Je ne pensais pas que je verrais ça un jour. Mais ça me plaît.
Tu aimerait ne pas sourire, seulement c'est plus fort que toi.
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L'inconnue sort son téléphone. Avant que tu aies eu le temps de réagir, elle le pointe vers vous. De toute évidence, elle vous a pris en photo.
[...]
-C'était qui, celle-là? Tu l'avais déjà vue? demandes-tu.
-Jamais. Elle nous a peut-être pris pour quelqu'un d'autre.
Tu ironises:
-C'est bien d'être optimiste!
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Extrait
Caudebec
Ville touristique ou ville industrielle ?

Caudebec est une petite ville normande d'à peine 2 000 habitants située sur les berges de la Seine et surplombée au nord par le plateau crayeux cauchois. Bénéficiant d'un climat relativement doux et clément, elle subit l'influence du climat océanique. Ville historique, elle était connue pour la beauté de son église Notre-Dame d'un style gothique flamboyant. Henri IV la décrivait comme "la plus belle chapelle du royaume". Située à plus de 40 km de l'embouchure de la Seine, Caudebec-en-Caux était réputée, jusque vers 1960, pour son mascaret que l'on nomme localement «la barre». Dans certaines conditions de marées, de vent et de débit de la Seine, celui-ci pouvait prendre la forme d'une vague de plus de 2 mètres de haut qui remontait le fleuve à vive allure.

Ce phénomène n'encourageait donc pas l'implantation d'un aéroport, ou d'une usine sur les berges. Avec l'aménagement du fleuve et du port du Havre situé en aval, ce phénomène spectaculaire a aujourd'hui pratiquement disparu.

Au début du siècle, les voies de communication par la route n'étaient pas non plus très faciles. Une ligne de chemin de fer devenue propriété de l'État en 1908 permettaient de relier Caudebec à Barentin (la banlieue de Rouen) en passant par la vallée de l'Austreberthe qui ne comptait pas moins de 20 filatures. Quatre liaisons étaient programmées chaque jour permettant d'attraper une correspondance sur Paris. Le matin, la première liaison vers Rouen permettait d'acheminer le poisson sur les étals des poissonniers de Rouen et de Paris. A proximité de Caudebec, au Sud Sud-ouest, s'étend le village de Villequier, connu par la noyade de Léopoldine, fille de Victor Hugo, et de son mari. Le Château de Villequier dominant la vallée de la Seine eut des propriétaires illustres. A l'Est, on trouve le village de Saint-Wrandille-Rançon et son abbaye. La douceur des berges protégées des pluies et des vents dominants apportées par la mer grâce aux falaises du pays de Caux, les difficiles communications avec les sites industriels contribuaient à préserver la qualité de vie de cette petite bourgade, tant et si bien que certains Havrais négociants avaient choisis d'y établir leur résidence secondaire. On pourra citer les familles Latham, Rufenacht, etc..
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date : 03-11-2015
Extrait: Premier tableau

La Sainte. – Octobre 1837.

La scène se passe à Saint-Denis. Le théâtre représente les appartements de George Laurier, c’est le logement d’une famille aisée. Au fond une porte-fenêtre s’ouvre sur un jardin.

Scène I

George, Hastings, en costume de voyage.

GEORGE. – Ce bon vieux Jimmy !... mais laisse-moi donc te regarder un peu... Et presque pas changé, ma foi !
HASTINGS. – Ni toi, mon cher George. Je suppose que tu es toujours le même boute-en-train. Toujours de la gaité plein ça, hein ? (Il lui frappe légèrement sur la poitrine.)
GEORGE. – Ah ! pour cela, mon cher, je ne suis pas tout à fait le même ; les circonstances ont bien changé, vois-tu. Mon pauvre vieux père nous a quittés l’année dernière... et puis...
HASTINGS. – En effet, une de tes lettres m’annonçait cela dans le temps. Pauvre ami ! j’ai pris une large part à ton chagrin, je t’assure. Mais ton père, tu as vécu près de lui, au moins, toi ; il t’a aimé ; il a pris soin de ta jeunesse. Tandis que moi, une marâtre m’a sevré de cette affection ; tout jeune, j’ai dû quitter ma famille et me réfugier ici, chez mon oncle, qui était l’un des aides de camp du gouverneur, comme tu sais... Mais je ne regrette ces choses-là qu’à demi, mon cher George, car sans elles, j’aurais passé ma jeunesse en Europe, et je ne t’aurais peut-être jamais connu.
GEORGE. – Et maintenant ton père est mort, et tu as hérité de ses titres et de sa fortune ?
HASTINGS. – Eh ! oui ; c’était tout naturel... Mais parle-moi donc de ta sœur, de Rose, de cette chère et bonne petite Rose qui m’amusait tant, lorsque je venais passer les vacances avec toi ! Où est-elle ? Comment est-elle ? Ce doit être une grande demoiselle maintenant.
GEORGE. – Oui, oui ; tu vas la voir, sois tranquille. Et c’est elle qui va être joliment surprise !
HASTINGS. – J’ai hâte de lui serrer la main. Mais tiens, tiens... là... je n’en reviens pas. Tu ne peux pas te faire une idée de ce que j’éprouve en me retrouvant ici, avec toi, après cinq longues années d’absence. Tu te souviens, au collège de Montréal, George Laurier et James Hastings étaient les deux inséparables ; Castor et Pollux, comme disait notre professeur de rhétorique.
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-Tu penses que c'est sa nature de vampire qui me fait tiquer? rétorqua vivement mon père. Si tu épousais Marty, je n'y verrais rien à redire, parce que c'est quelqu'un de bien. Lui... (il pointa Vlad du doigt) non.
Je soupirai.
-Tu as vu les cadavres sur la pelouse, c'est ça?
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