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Tokyo sisters : dans l'intimité des femmes japonaises



Description ajoutée par anonyme 2013-03-26T10:20:09+01:00

Résumé

Une femme en kimono monte un escalator, son portable vissé à l'oreille. Un couple endimanché donne la becquée à une peluche dans un restaurant chic. Une longue file de jeunes femmes attendent sagement leur tour dans une vente privée de luxe. Scènes ordinaires du Tokyo des années 2000. Une ville si loin de nos références occidentales, une culture que l'on juge souvent trop vite, faute d'en cerner la complexité. Tombées sous son charme, Raphaëlle Choél et Julie Rovéro-Carrez tentent un décryptage, fruit de leur rencontre avec des centaines de Japonaises de 15 à 60 ans, mariées ou célibataires, femmes au foyer ou businesswomen, killeuses ou soumises. Tour à tour drôles, tendres, espiègles ou émouvantes, ces chroniques nous convient, autour d'une bière Asahi, au détour d'un bar à ongles ou d'un love hotel, à un véritable voyage de l'intérieur. " Comme l'air que l'on respire, on doit être là tout en sachant se faire oublier ", disent les Japonaises. Elles se livrent ici sans retenue, nous offrant des tranches de vie choisies, leurs vies, dans lesquelles nous nous glissons avec délice.

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Classement en biblio - 8 lecteurs

extrait

Après les années fac pleines de légèreté, on entre dans le moule du travail. Exit les coiffures de rockeur et les teintures loufoques, la minijupe est troquée pour le tailleur noir. Hanae a abandonné ses jolies mèches bleu azur pour passer ses entretiens. Elle sait qu'elle va devoir trimer, même si sa génération assure avoir d'autres ambitions que celles de ses parents. Il existe une potion à la mode pour ne pas tomber dans le piège de la suractivité : devenir furiitaa ( de l'anglais free, "libre", et de l'allemand Arbeit, "travail"). Avec un travail à temps partiel, on évite les 50 heures par semaine imposées par le CDI.

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Une enquête sur les femmes japonaises de tout âge, même si elle date de 2010 et que certains chiffres ont dû changer, les mentalités restent inchangés sur l'amour, le travail, la maternité....

On sent que le changement va être difficile et lent en ce qui concerne la question de genre dans cette société fortement attachée à ses traditions. C'est donc un régal de lire les opinions vraiment très franches et parfois amusantes de ces femmes sur leurs ambitions, la gastronomie, la sexualité, etc. J'ai eu l'impression de lire les confidences d'amies, on prend part à leur interrogations sur la liberté de la femme qui fait écho à notre propre société. À la fin du livre, on souhaite à chacune le bonheur qu'elle mérite.

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Argent

Voilà un titre que j'avais repéré lors de sa sortie ou presque au salon du livre de Paris, mais je ne sais plus en quelle année exactement. J'ai une certaine attirance pour le Japon et cet ouvrage offre une vision différente de ces habitants, ou plutôt devrais-je dire de ses habitantes. J'aime ce qui sort un peu de l'ordinaire, mais qui en même temps m'instruit quelque peu.

Le livre qui nous intéresse aujourd'hui n'est pas un roman. Il est basé sur ce que les auteurs ont pu collecter comme informations, témoignages et autres. C'est un peu un instanné de Tokyo et de sa population féminine, un portrait réel de celles qui ne sont plus dans l'ombre, mais qui se sont émancipées sur bien des points tout en mêlant tradition et ultra modernité dans leurs vies.

Écrit sous forme de chroniques, ce document est plus attractif et plus aisé à lire. C'est aussi une façon assez moderne d'écrire qui convient parfaitement à son sujet d'étude.

On commence par ce qui parait assez évident surtout pour celles et ceux de ma génération (né vers 1975) : le Japon = japanimation/manga. Là-bas c'est plus qu'un divertissement, c'est même devenu un mode de communication qui peut toucher tout le monde (contrairement à l'écriture car les Kanji sont extrêmement nombreux et ils s'étudient durant toute la scolarité). C'est aussi plus ludique, moins rébarbatif et c'est un peu de fantaisie dans un monde encore parfois assez rigide. On se dit que chez nous, cela ferait du bien aussi, mais sans doute trouverait-on cela trop puéril. On aurait tort, cependant on a derrière nous une toute autre culture et approche des éléments. On est peut-être moins coincé sur certains thèmes, reste que l'on a presque tous, passé 12/15 ans, perdu notre émerveillement de petit enfant alors qu'au Japon, on aime retrouver cette candeur dès que cela est possible.

Il y a un grain de folie qui sommeil en chacun de nous et à Tokyo, on le laisse s'exprimer du moment que c'est bonne enfant ou sans conséquence pour autrui.

J'ai aimé la vision que l'on m'a offerte sur le plan religieux : "pratiquant, mais non croyant" et une facilité pour passer d'une religion à l'autre sans manière. C'est a mon sens plus vrai car on fait ses mélanges avec respect, sans malice et du cœur.

Coté beauté, c'est la quête de la perfection. On pourrait paraitre presque négligé en comparaison. Il y a des rituels, aucun détail n'est oublié et surtout on fuit le soleil ! Je n'ose imaginer le temps que prennent tous ces soins, cette mise en beauté. J'aime me pomponner, mais quand même, je suis plus laxiste. Et il m'arrive d'avoir en prime des mèches rebelles dans ma chevelure. Pour la manucure, je fais simple et efficace avec quelques pointes de fantaisie parfois. Cela donne un ensemble correct chez nous, mais pas forcement au pays du soleil levant. Tant pis, je ne serai jamais au top de la beauté made in Japan. Je me fais une raison.

Même chose coté shopping. C'est dingue les stratégies mises en place par les japonaises à Tokyo. C'est même plus du sport, c'est une religion ! Non, je ne pourrais pas y survivre et mon maigre compte en banque non plus. J'aurai agité mon drapeau blanc bien avant sous peine d'être assassinée par mon conseiller financier pour cause dépenses luxueuses en trop grand nombre. Wahou j'admire ce que ces femmes peuvent claquer en quelques heures alors qu'il me faudra 5 ans pour y parvenir au moins.

A lire cela reste ludique, mais à vivre, non merci car je suis française, avec tous les défauts que cela implique, mais voilà.

Pour la pratique du sport, je suis plus en phase. Doucement, mais sûrement avec beaucoup de volonté et de la détermination pour tenir sur la longueur. C'est ce que je m'applique a faire. Je trouve que l'on de transforme moins vite, mais on se fait du bien : dans la tête en se déstressant, au corps avec le travail musculaire en douceur. J'aimerai juste pouvoir me payer des cours pour moi aussi être perfectionniste dans la pratique.

Le Japon, c'est aussi ce mélange de tradition et d'extrême modernité. J'y suis très sensible car j'aime ce qui vient du passé, mais aussi les avantages de la technologie. Tout et son contraire sans pour autant que cela me choque. Je suis ainsi faite.

La cérémonie du thé me fascine. Cette précision, cette lenteur du geste pour plus de perfection c'est presque irréel.

La délicatesse des menus pas chers aussi. Pour la gourmande que je suis, c'est presque un supplice de lire la description de certains mets. Heureusement, il y a aussi la mal-bouffe japonaise. Ouf tout n'est pas parfait en ce bas monde.

Pas de place pour les "mères indignes" au Japon car les bébés trop peu nombreux sont chouchoutés et font preuve dès le plus jeune âge d'une rigueur toute nippone. Wahou ça me filerai presque les jetons et pourtant j'essaie de toujours penser à tout avec mes filles. Et je ne suis pas au bout de mes surprises.

Mais très franchement le système éducatif japonais n'a que peu de chose en commun avec le notre. Autant je trouve trop rigide celui du Japon, autant celui de la France me parait trop laxiste. Le juste milieu, c'est impossible ?

Ce qui fait que dans le monde du travail, c'est encore la recherche perpétuelle de la perfection. Les employés ? De véritables petites fourmis laborieuses qui ne rechignent jamais. On passe pour quoi nous ??? Des feignasses qui comptent leurs heures, leurs RTT et autres jours de congé.

En fait, on n'a peut être tout faux. On court sans cesse après le temps alors que les japonaises en font moins, mais mieux avec une ponctualité qui me fait rêver ! Même les longues files d'attente sont intégrées. Ahhh... Les règles sont là et c'est pour notre plus grand bien, si, si !!!!

Les imprévus, les surprises ne sont vraiment pas du gouts de nos amies japonaises. Rien n'est jamais laissé au hasard. Je crois que même pour moi qui suis du genre maniaque de l'organisation , cela me lasserait un peu. Je déteste les mauvais tours, mais quelques fois, on a de belles surprises de la vie. Un peu plus de spontanéité ne tue pas.

En revanche, les services qu'une femme (ou un homme) peut trouver à Tokyo me laisse tout bonnement rêveuse. Je vous laisse l'occasion de les découvrir par vous-même durant votre future lecture car après, on se dit : "Punaise, mais qu'est ce que je fais encore là moi ?" ou sa variante : "Et pourquoi chez nous c'est pas comme ça aussi ??".

Bon, pour les notions de couple, la vie de famille, j'ai parfois encore ma vision bien occidentalisée. Elle a du bon, mais la façon de procéder et de vivre des nippones n'est pas dénué de sens, voir de bon sens parfois !

Ce livre fut une lecture très agréable, enrichissante, vivante. Si vous êtes une femme (ou un homme, mais les thèmes abordés plairont plus aux femmes), si vous êtes curieuse, si le Japon vous intéresse, alors cet ouvrage est pour vous.

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Date de sortie

Tokyo sisters : dans l'intimité des femmes japonaises

  • France : 2010-09-11 - Poche (Français)

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