Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
717 875
Membres
1 028 343

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Commentaires de livres faits par valentine2905

Extraits de livres par valentine2905

Commentaires de livres appréciés par valentine2905

Extraits de livres appréciés par valentine2905

Tout le monde se penche pour inspecter son postérieur.
– C’est plein de poils ! s’exclame Squale.
– Ah ouais. Je confirme. Tu as des poils au cul, s’esclaffe Hector.
– Mais ce con de chat ! Dès que je pose une fringue, il va se coucher dessus pour y déposer ses poils morts, ou bien il se fait les griffes et me bouloche tout ! ronchonne Lynx.
Arrêt sur image. Ai-je bien entendu ? Lynx possède un chat ?
– Quel chat ? je questionne aussitôt.
Au cas où j’avais un doute sur le fait qu’ils me dissimulent une information, il vient de s’évaporer face à leurs airs d’adolescents pris en flagrant délit de matage dans le vestiaire des filles.
– Quel chat ? j’insiste.
– Mais rien. C’est juste le petit truc que j’ai récupéré dans l’usine l’autre jour. Rien d’important, se défausse Lynx qui espère se débarrasser de moi aussi facilement qu’il agite la main.
– Tu as adopté un chat ? Vous osez cacher ça alors que j’adore les chats ? je leur reproche en les tuant du regard un par un.
– Celui-là ne vaut pas le coup, rétorque Hector en secouant la tête.
– Ouais. Il est tout petit, ajoute Squale.
– Et moche. Houlà ! Affreusement laid, conclut Lynx avec une grimace de dégoût.
– Et pourquoi aurais-tu un chat hideux ? je le toise.
– J’ai eu pitié, c’est tout, ose-t-il mentir.
Ils vont sérieusement m’énerver s’ils imaginent que leurs airs blasés parviendront à me faire oublier qu’une adorable bestiole vit à quelques mètres de chez moi. Ils plongent tous le nez dans leur tasse en prenant soin d’éviter mon regard. Même Condor, qui avale toujours son café d’une traite, est en train de le siroter comme une duchesse s’appliquerait à le faire avec son thé. Tout cela pour ne pas avoir à affronter ma vexation.
– Lynx ! Je veux voir ton minou ! je tempête tout à coup.
Avez vous apprécié cet extrait ? +6
Du coup, nous sommes déjà mercredi, le jour de la fameuse échographie. Condor est revenu à la charge ce matin pour y assister, en tenue, bien sûr. À la fin de notre échange, il a admis que cela pourrait perturber le médecin que de pratiquer sous la surveillance d’un homme armé. Qui aurait de plus pris soin de verrouiller le cabinet auparavant, voire de poster tout autour les effectifs d’un commissariat complet. Bref. Il a cédé, mais la lutte fut rude. En échange, je lui ramène l’enregistrement pour qu’il admire sa progéniture en préparation.
Avez vous apprécié cet extrait ? +9
– Tu abordes ta situation de façon dramatique, mais j’aimerais que tu modifies ta vision de l’avenir. Tu es formaté et n’envisages les évènements qu’avec ton vécu d’agent.
– Oh, ça va être simple. Il me suffit de les voir comme quelqu’un qui avance à cloche-pied, c’est ça ? raille-t-il.
Son amertume ne va pas me faciliter les choses.
– Faux. Tu auras deux pieds, intervient Lynx.
Merci Lynx. Il va m’aider à remonter le moral de notre ami.
– Sauf que l’un d’eux sera en ferraille, ajoute Condor.
Par contre, lui, je préfèrerais qu’il se taise.
Hector gémit en se passant la main sur le visage avec un air désespéré. Bon ! Ça suffit ! La manière douce n’est pas productive. Je vais donc appliquer la méthode militaire, la plus efficace avec des crânes aussi épais.
– Dis donc ! Qui est cet homme pleurnichard qui se lamente sur ce qu’il n’a plus ? Je ne reconnais pas le type fort au moral indestructible, celui qui lutte et avance avec un genou en miettes, celui prêt à mourir pour la paix. Tu as oublié tes tripes sur le terrain ? On t’a transfusé du sang de chaton ou quoi ?!
Sidérés, ils se raidissent tous les trois pour me fixer avec des yeux ronds.
– Tu dis que tu es fini, mais tu devrais être mort. Tu t’en rends compte ? Mort !
– Je… oui, murmure Hector.
– Donc, tu fais du rab. Tout ce que tu vivras à partir de maintenant, c’est du bonus. Alors oui, adieu l’agent, mais bonjour Hector et bonjour la vie. On s’en fout que ce soit sur un pied parce que ça aurait pu être pire. Par conséquent, cette seconde vie que tu aurais pu ne jamais connaître, tu vas la bouffer à pleines dents ! C’est bien compris ?!
En colère, après avoir asséné le fond de ma pensée, j’inspire pour me contenir en attendant qu’il se défasse de son air stupéfait. Tout à coup, ce sont trois têtes qui opinent dans le même mouvement. Cette vision m’amuse et m’apaise l’esprit. Je reprends mon sermon sur un ton plus doux.
– Bien. Je comprends que la pilule soit amère à avaler pour le moment.
– Tu m’étonnes, elle est grosse quand même, intervient Lynx en roulant des yeux.
– C’est clair. La taille d’un pied, rien de moins, précise Condor.
Mais vont-ils se taire ?! Pour qu’ils cessent d’en rajouter et anéantir mes tentatives de positivisme, je les fusille du regard. Ils pincent la bouche tous les deux en croisant les mains dans le dos, signe qu’ils vont se tenir tranquilles. Un petit temps, du moins.
– On s’en fiche de la taille, on fait avec et puis c’est tout. Afin que ta réinsertion se passe au mieux, il est nécessaire que tu arrêtes de penser à ce que tu perds, mais plutôt à ce que tu gagnes.
– Comme ? s’enquiert-il avec méfiance.
– En plus de rester avec nous, tu pourras vivre normalement. Ce n’est pas un pied en fer qui t’en empêchera, sois-en sûr.
– Adieu cagoule qui gratte, murmure-t-il sans d’enthousiasme.
– Bonjour promenades en public et sorties où tu veux, je l’encourage.
– Adieu tubes de crème pour cacher ma couleur de peau, approuve-t-il avec un sourire timide.
– Bonjour les femmes qui vont baver sur toi, je le taquine avec un clin d’œil.
– Je vais pouvoir baiser à tout va, conclut-il cette fois-ci avec un espoir évident.
Quel sens des priorités bien masculin. J’aurais dû commencer par ça.
– On se calme. Il y a plus important avant de sauter tout ce qui bouge.
Pendant un quart d’heure, nous passons tous les quatre en revue tout ce qu’il pourra découvrir. Au fil des minutes, le visage d’Hector se transforme, pour être maintenant radieux parce qu’il assimile que la vie ne sera pas si désagréable. En revanche, Lynx et Condor empruntent le chemin inverse, ils deviennent boudeurs.
– Regarde les deux jaloux, je me moque.
– Vous avez un couteau à la ceinture les gars. Vous n’avez plus qu’à vous couper le pied et nous irons faire la teuf ensemble, les charrie Hector.
Avez vous apprécié cet extrait ? +21
Je ne m'imagine pas le monde sans toi. Sans ton cœur, et sans ton sens de l'honneur. Merit, ma Sentinelle, mon amour, veux-tu m'épouser ?
Avez vous apprécié cet extrait ? +10
Les trois minutes étaient sans doute écoulées, mais Casseck n'avait toujours pas frappé à la porte. Ash surprit le regard de sa compagne :
- Il reviendra quand il sera certain qu'il n'y a rien à craindre.
- Et pourquoi n'est-ce pas toi qui me raccompagnes ?
- Parce que je ne pense pas pouvoir marcher à tes côté sans que tout le monde comprenne du premier coup d’œil ce qui s'est passé cette nuit.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
Mon père m'a enseigné un jour que certaines bêtes ne sont pas faites pour être apprivoisées. Elles n'en sont pas méchantes pour autant, seulement trop sauvages.
Avez vous apprécié cet extrait ? +13
- Les bons jours, je me dis que c'est simplement parce que j'ai appris à mieux me battre, que de toute façon, ils me tueraient si je restais là à rien faire, ou bien que je venge mes camarades tombés au combat... Je me trouve toutes sortes d'excuses. Mais les mauvais...
Il ne se souvenait même plus du visage du dernier homme dont il avait pris la vie, et pourtant ça n'avait eu lieu que quelques semaines auparavant. Combien d'autres avait-il oubliés ?
- Vous êtes persuadé que c'est parce que vous aimez ça, termina la voix de Sage pour lui. Que vous êtes devenu un monstre.
- Oui, répondit-il en croisant le regard de la jeune fille, terrifié qu'elle le voie sous ce jour.
- Ce n'est pas le cas, dit-elle avec un doux sourire.
- Comment pouvez-vous être si sûre de vous ?
Elle avait si bien su lire en lui jusqu'à présent. Peut-être avait-elle raison là aussi ?
- Parce que vous vous en souciez encore.
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
Alors qu'il lui caressait la joue, les doigts du jeune homme s'égarèrent vers sa propre ceinture.
- Ma douce Sage, si innocente... murmura-t-il.
Mais l'interpellée restait trop hébétée pour répondre quoi que ce soit. Elle entendit une lanière claquer, et vit en baissant les yeux qu'il lui tendait une dague dans son fourreau.
- Ce soir, je vais t'apprendre à tuer.
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
"- Et si par malheur votre premier enfant est une fille, que direz-vous en la déposant dans les bras de votre époux ?
La formule consacrée était: "La prochaine fois, j'aurai la force de vous donner un garçon." Mais Sage avait constaté de ses yeux les difficultés d'une grossesse. Même dotées d'une santé de fer, les futures mères étaient souvent malades les premiers mois et prodigieusement incommodées vers la fin… et que dire des douleurs de l'enfantement ! L'idée de faire seule tout le travail pour devoir ensuite s'excuser du résultat lui donnait envie de mordre. Les braises de sa colère soudain attisées, elle s'abandonna complètement à cette fureur qui avait quelque chose de délectable.
Elle planta son regard dans celui de la marieuse.
- Je m'exclamerai: " N'est-elle pas magnifique ?"
Maitresse Rondelle esquissa une moue amusée mais se reprit aussitôt. Son agacement se fit visible.
- Et ensuite ? demanda-t-elle sèchement
- J'attendrai que mon époux me réponde qu'elle est presque aussi belle que moi. "
Avez vous apprécié cet extrait ? +37
- Dites moi que vous avez toujours été de notre côté et que vous ne venez pas tout juste de changer de camp, murmura-t-il d'une voix rauque.
- Dois-je comprendre que vous doutez encore de moi ? demanda-t-elle, les larmes aux yeux.
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
- Le capitaine Burke souhaiterait vous parler, lui aussi.
- S’il compte demander le transfert de Roger à Lakeside, mieux vaut qu’il oublie tout de suite, gronda Steve.
Simon esquissa un sourire. La réaction possessive de l’Intuit envers sa meute lui plaisait.
- Il a acheté le Cerf et Lièvre et se disait que ce serait une bonne idée de proposer le poste de gérant à un Intuit.
Steve se figea devant la porte de service de Bon à Croquer.
- Et vous, qu’en pensez-vous ?
- Emily Faire a choisi l’un de nos appartements pour tanière. Les Intuits envahissent déjà notre territoire.
- Il me paraît exagéré de parler d’invasion pour une jeune femme seule.
- Les femelles sont envahissantes en meute, grommela Simon. Des furies. Des lapins avec des crocs.
Avez vous apprécié cet extrait ? +7
Il entendit les geignements avant d’avoir atteint la porte. Une plainte de Loup, mais pas tout à fait. Lorsqu’il franchit le seuil, il comprit l’origine de la pitié dans le regard de Kowalski. Montgomery inspira brusquement.
Bug n’était ni humain ni Loup. Pas même ce mélange terrible mais harmonieux que la plupart d’entre eux adoptaient lorsqu’ils étaient stressés ou qu’ils avaient besoin des deux formes. Il s’agissait là du pire entre-deux.
Bug ne voulait pas être exclu.
Avant que Simon ait pu prendre une décision, Mlle Twyla sortit et considéra le jeune Loup gémissant.
— Les garçons tout nus ne sont pas tolérés à table. Vous feriez mieux de lui donner des vêtements.
— Mlle Twyla…, commença Simon.
— Maman…, dit Montgomery au même moment.
Sans leur prêter la moindre attention, elle pointa son index vers Kowalski.
— Vous, courez chercher au magasin un tee-shirt et l’un de ces pantalons avec un élastique à la taille, ceux que vous portez tous quand vous soulevez des poids ou faites je ne sais quel exercice pour développer vos muscles. Ça ne devrait pas être difficile de découdre quelques points au dos pour sa queue. Ne vous occupez pas des chaussures pour l’instant.
Des chaussures ? Rien de ce qu’ils avaient en stock ne conviendrait à Bug. L’un de ses pieds ressemblait à celui d’un humain, mais velu, l’autre à une patte de Loup terminée par des orteils.
— Un tee-shirt et un pantalon, ça suffira, conclut Mlle Twyla. Allez-y vite. La nourriture refroidit.
— Oui, madame, lança Kowalski avant de s’élancer en direction du magasin de vêtements de la place du Marché. — Crispin, retourne à l’intérieur et dis à tout le monde de commencer à manger.
L’hésitation de Montgomery ne dura qu’un bref instant.
— Oui, maman.
— Mademoiselle Twyla…, hasarda de nouveau Simon.
— Non, décréta-t-elle sur un ton calme et courtois indiquant clairement que la discussion était close. Vous croyez que je ne comprends pas ce qui se passe ici ? Essayer requiert du courage. Combien parmi vous ont réussi du premier coup ?
La plupart des terra indigene qui tentaient de se transformer en humain ne réussissaient jamais tout à fait. Cela dit, ils ne cherchaient pas à s’asseoir à table avec des humains.
— Je suggère à tous ceux qui y voient une quelconque objection d’emporter leur assiette et d’aller manger ailleurs, poursuivit Mlle Twyla. Vous y compris.
Piqué au vif, Simon gronda. Un vague sentiment de culpabilité l’envahit lorsqu’elle croisa ses bras maigrelets et le toisa d’un regard imperturbable.
Avez vous apprécié cet extrait ? +7
Vlad dévisagea Simon d’un air hébété. — Meg a dit aux Aînés qu’ils étaient… — Mal élevés, oui.
Après un long silence, Vlad demanda : — Pourquoi ?
— Ils ont réclamé des biscuits sans dire « s’il vous plaît ».
— Je ne sais pas quoi dire.
Simon se gratta derrière une oreille désormais pointue et velue.
— Ça ne fait rien. Meg en a déjà dit bien assez.  
Avez vous apprécié cet extrait ? +17
- Pourquoi m'avoir embrassée ? renchérit-elle sèchement. Rien ne t'y obligeait. Pas après l'épisode de l'armurerie, en tout cas.

Spoiler(cliquez pour révéler)
Quinn leva la tête et la regarda droit dans les yeux. Embrasser Sage avait été comme goûter à un rayon de soleil.


- Non, c'est vrai. Mais j'en avais très envie.
Avez vous apprécié cet extrait ? +7
- Pourquoi la Souris n'a-t-il pas invité l'Etourneau à participer à cette réunion, après ce qu'elle a entendu . Elle sait déjà presque tout.
- Mieux vaut encore attendre. Une fois impliquée, elle ne pourra plus faire marche arrière.
- Alex, tu me caches quelque chose, lança le lieutenant en regardant son ami bien en face.
Quinn ferma les yeux et se massa longuement les tempes.
- Il l'a embrassée.
Casseck se racla la gorge pour masquer ce qui ressemblait étrangement à un ricanement.
- Je vois, ... Ma foi, il était temps.
- Tu trouves ça drôle ? s'exclama le capitaine en le fusillant du regard.
- Pas du tout. La jalousie est une piètre compagne.
- Parce que tu crois que je suis jaloux ? gronda Quinn en tapant du poing sur la table.
Carreck rattrapa de justesse l'encrier posé sur le bureau qui s'apprêtait à tomber et le remit à sa place.
- Oui, car ce n'est pas de toi qu'elle est en train de tomber amoureuse.
Avez vous apprécié cet extrait ? +11
- Je t'aime, Sage Fowler. Voilà la seule et unique vérité.
Bien mal lui en prit de se risquer à une telle déclaration.
La main gauche de Sage étant libre, elle s'en servit pour le gifler de toutes ses forces.
Avez vous apprécié cet extrait ? +50
Devant le silence de son amie, il lui prit les deux mains. Elle ne put ignorer le flot de chaleur qui l'envahit lorsque leurs regards se croisèrent.
Dans les yeux du jeune homme, nulle trace de taquinerie. Seule transparaissait sa détermination.
-Parce que la Team Foster-Keefe va l'emporter.
Un raclement de gorge se fit entendre. Sophie lâcha les mains de Keefe et fit un bond en arrière, prête à entendre le sermon de Grady. Son père adoptif s'était transformé en véritable papa poule depuis quelque temps, surtout quand il était question de l'Empathe. Le plus souvent, il ne l'appelait même pas par son prénom, mais simplement " ce garçon ".
Lorsqu'elle se tourna vers la porte, cependant, elle y trouva ses amis, tout de vert vêtus, escortés par Grizel, Lovise et Woltzer, les grades du corps repsectifs de Fizt, Biana et Dex.
Impossible de deviner lequel d'entre eux avait signalé leur présence de façon si discrète : Fizt serrait la mâchoire, Tam affichait un regard assassin dernière sa mèche argentée, Dex plissait ses yeux pervenche -ce qui avait pour effet de faire disparaître toute fossette de son visage-, et Biana avait porté une main à sa hanche pour accompagner son haussement de sourcils. Seul Linh semblait égale à elle-même, avec son aura de douceur et ses joues roses -mais il faut dire qu'elle ne perdais jamais contenance, même quand elle détruisait des cités à coups de tsunami.
-On dérange peut-être ? demanda Fizt.
-Oh, la routine, répondit Keefe. Foster n'arrête pas de me répéter qu'elle ne peut vivre sans moi. C'est soûlant.
Avez vous apprécié cet extrait ? +21
Grizel émit un sifflement avant de sautiller vers Sandor avec la grâce que lui permettait son gabarit élancé. [...]
- De tels ennuis ne se seraient jamais produits sous ma surveillance, lui dit-elle sur un ton taquin.
- C'est parce que tu es coincée avec le petit génie, rétorqua Keefe. Le plus excitant qui puisse t'arriver, c'est qu'il change sa raie de côté.

Page 146.
Avez vous apprécié cet extrait ? +21
Vous l'aimez et elle vous aime. Vous êtes amoureux, Simon. Monty aurait-il raison?
"Meg? Sommes-nous des compagnons ?" "Je-Je ne sais pas."
"Je ne suis pas humain. Je ne serai jamais humain. Mais peut-être que je peux être humain assez pour être ton compagnon."
Meg le regarde. "Je ne suis pas un Loup. Je ne pourrai jamais être un Loup. Je ne peux même pas ressembler à un Loup. Donc comment pourrais-je être t'as compagne?"
Meg n'a pas a changer pour être sa compagne. Est ça l'amour? "Tu es assez Loup pour moi", dit-il.
"Et tu es assez humain pour moi. Mais je ne sais pas pour le ..." Elle a fait signe de la main vers son torse.
"Sexe?" En jugeant par la rougeur sur ses joues, il avait deviné correctement. Cette forme était plus dure à contrôler parce qu'il répond même quand une femelle n'était pas dans la saison, mais il a haussé les épaules. "Les Loups s'accouple une fois par an"
"Une fois par an?" Elle a cligné des yeux. "Juste une fois?"
A-t-elle semblé déçue? "Puisque les femelles humaines entrent dans la saison plus souvent, nous pourrions essayer plus près de la façon humaine." Il ne devrait pas lui dire qu'il pourrait sentir quand elle est réceptive, n'est-ce pas ?
Elle eu l'air effrayée, confuse - et peut-être un peu pleine d'espoir ? Comment pourrait-il encourager cet d'espoir ? S'il était en forme de Loup, il pourrait lécher son nez et la faire rire . Il n'était pas sûr que faire ça sous en cette forme ne causerait pas de confusion et lui ne ferait pas peur.
Meg dégluti. " Qu'est qui arrivera si nous devenons vraiment des compagnons, officiellement, comme Karl et Ruth ou Merri Lee et Michael ?"
"Demande" Simon fait un signe de la main vers les cartes de prophétie et remarque une petite touffe fourrure sur ses articulations. Les nerfs. Il se demande à quoi ses oreilles doivent ressemblées. Ses dents... Hmm. Eh bien, elle les avait vus auparavant.
Il l'aide à se mettre debout, garde son bras autour de sa taille pour ne pas qu'elle tombe durant qu'elle fait se retourne vers les cartes.
" Qu'est ce qui se passera si Simon et moi devenons compagnons ?" Meg ferme ses yeux et passe ses mains au-dessus des cartes de prophéties. Elle en choisie une et la retourne sans ouvrir les yeux.
Simon regarde la carte et ri doucement.
" C'est aussi mal que ça ?" Meg ouvre ses yeux, alarmée. Ensuite elle regarde la carte "Oh"
Elle a choisie la carte de l'amour, le symbole de la chose constante dans sa vie. Le symbole de l'amour.
" Avant qu'on ne le dise à quelqu'un, on devraient voir si on aime s'embrasser" Meg dit soudainement " pour voir si on aime ça "
Pourquoi est ce qu'il n'aimeraient pas ça ? Embrassé c'est pareil que lécher et il a toujours aimé lécher Meg. En fait, les fois ou il l'a embrassé à la manière humaine, il l'a aimé aussi. Il met ses bras autour d'elle et pose ses lèvres contre les siennes une fois, deux fois. Alors sa bouche installée sur la sienne et s'est attardée. Comme il a reculé en arrière, elle s'est penché en avant et a appuyé ses lèvres contre les siennes.
"Je pense que nous aimons ça" Meg a murmuré
"Je pense qu'on devraient réessayer . Juste pour être sûr."
Ils ont réessayer plusieurs fois, juste pour être sûr et ont finalement décidé qu'ils ont vraiment aimé s'embrasser. Ils l'ont aimé beaucoup.
Avez vous apprécié cet extrait ? +72
Plus aucune excuse n'est nécessaire. Plus aucun besoin de paroles. Tout est là. Je le connais - son corps, son esprit, son cœur - tout autant qu je me connais et lorsque je tombe dans le précipice, il me suit. Aucun d'entre nous ne lâche l'autre lorsque nous jouissons, nos chairs unies et nos âmes liées. Nous ne nous lâchons plus jamais.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
- Je ne suis pas sûr que tu me comprennes.
Le ton de sa voix est mesuré, mais le feu de la possessivité brûle dans son regard.
- Je comprends le monde dans lequel tu vis, je réponds en murmurant et je comprends celui dans lequel j'évolue. Là, tout ce que je veux, c'est prétendre qu'il peut en être autrement.
Alexander glisse une main sous mes fesses et me prend dans ses bras.
- Alors, comprends bien ça, Clara. Mon monde, c'est toi.
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
"_Il n'aurait pas un frère, ton fiancé? supplia-t-elle sans se redresser. Un type qui voudrait m'épouser?
_A part Elias, j'ai peur que non.[...]
_Ah...J'adore Elias mais vu qu'il te prend pour sa maman, ça va être compliqué de lui demander de m'épouser. Et puis finir en taule pour détournement de mineur, non merci. Tu crois que je pourrais tenter ma chance avec les domestiques?
_Tu penses à Louis?
_Oh non, plutôt au majordome, là, Firmin. Un mec qui me dit qu'il va combler tous mes désirs? Qu'ils vont même s'y mettre à plusieurs pour ça? Laisse tomber, c'est l'homme de ma vie!
Avez vous apprécié cet extrait ? +11
Je sais que tu ne lis pas ces letres. Sinon, tu serais déjà là. Combien de temps vas-tu résister, Clara ?
Tu es à moi. Il n'y a que toi. Pour l'éternité.
X.
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
Alors que je lutte pour reprednre mon souffle, il m'ordonne de parler :
- Dis-le.
- Je t'aime.
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
Je presse ma main contre ses cicatrices, regrettant presque de ne pas pouvoir les faire disparaitre.
- Je t'ai presque perdu.
- Tu ne m'as jamais perdu, murmure-t-il en resserrant son étreinte dans un geste protecteur.
- Non, dis-je entre deux sanglots. Avant. Cette nuit-là. Je ne t'aurais jamais connu...
- Chuuuut, ne parlons pas de nos erreurs passées.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
- Clara, je...
Il ne termine pas sa phrase, son regard se fait triste.
J'arrête de respirer, comme si j'avais peur de l'effrayer s'il m'entendait soupirer.
- Je...
Mais il secoue la tête puis reprend :
- Il n'y a que toi. Il n'y aura jamais personne d'autre que toi. Tu es à moi, mais ne l'oublie pas, je suis à toi - tout ce que je peux te donner de moi t'appartient.
Avez vous apprécié cet extrait ? +3


  • aller en page :
  • 1
  • 2
  • 3

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode