Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Dans son septième livre, Christine Angot continue de se raconter. Cette fois il est question d'homosexualité, d'inceste et surtout de folie, cette violence qui emporte tout sur son passage, qui provoque en elle "des sensations d'étouffement, des vomissements, des nausées, des colites, des insomnies, des crises, des envies de suicide".
Ce récit hystérique loin de tout sentimentalisme et de toute niaiserie s'ouvre sur une rupture après une passion amoureuse et homosexuelle de trois mois. Christine Angot, livrant ses souvenirs et ses pensées parfois chaotiques, a un ton d'enragée, un débit essoufflé et novateur, une phrase hachurée et limpide à la fois. Une voix inoubliable.
L'écrivain avait impressionné au moment de la parution de son premier roman. Avec L'Inceste, elle reçoit l'accueil favorable de la critique qui y voit l'un des événements de la rentrée littéraire 1999.
Lire ce livre m'a donné l'impression de lire le carnet d'une personne qui s'adonnerait à de l'écriture thérapeutique. Donc, pas inintéressant, mais pas plus utile que ça.
Deuxième lecture de cette auteure, deuxième week-end où l'auteure me casse la tête, son style est assez dur à comprendre mais là, elle a utilisé l'écriture, son style, pour décrire la folie, cette incohérence au début, c'est compliqué pour le lecteur de suivre mais elle explique tout.
Décrire la folie, c'est extrêmement compliqué et pourtant elle a réussi, son style est fou, la bizarrerie de ce livre EST la folie.
Du grand délire de névrosée : elle devrait aller voir un psychiatre au lieu d'étaler sa fange sur de belles pages blanches !! et dire qu'on lui donne une tribune !!
Ce livre je l'ai lu il y a longtemps, j’étais en seconde, je me souviens car notre prof de français nous avez amené dans une librairie et chaque élève devait choisir un livre peu importe le livre. Moi j'avais choisie celui la. Je me souviens que c’était assez dur a le lire en même temps il parle d'inceste mais aussi dans la façon que Christine Ango écrit qui était pour moi a l'époque même si je lissai déjà beaucoup assez difficile. Mais je me souviens aussi avoir apprécié ce livre
Résumé
Dans son septième livre, Christine Angot continue de se raconter. Cette fois il est question d'homosexualité, d'inceste et surtout de folie, cette violence qui emporte tout sur son passage, qui provoque en elle "des sensations d'étouffement, des vomissements, des nausées, des colites, des insomnies, des crises, des envies de suicide".
Ce récit hystérique loin de tout sentimentalisme et de toute niaiserie s'ouvre sur une rupture après une passion amoureuse et homosexuelle de trois mois. Christine Angot, livrant ses souvenirs et ses pensées parfois chaotiques, a un ton d'enragée, un débit essoufflé et novateur, une phrase hachurée et limpide à la fois. Une voix inoubliable.
L'écrivain avait impressionné au moment de la parution de son premier roman. Avec L'Inceste, elle reçoit l'accueil favorable de la critique qui y voit l'un des événements de la rentrée littéraire 1999.
Afficher en entier