Se détendre avec cet album c'est bien. Réfléchir aux critiques et aux piques que Calvin lance gaiement au visage d'une société qu'il tourne en ridicule c'est en bonus et c'est tant mieux !

Les planches en couleur, un peu déstabilisantes au départ finissent par apporter un regard nouveau sur l'unvers de C&H. Toujours aussi drôles et cyniques, nos deux compères perfectionnent leur art de flemmarder dont ils sont, à n'en point douter, de grands amateurs.

Il est triste de se dire que C&H c'est fini. Il n'empêche que l'album n'en est pas moins bon et qu'on ne se lasse pas de l'univers fantasque et joyeux de nos deux compères !

Encore un album drôle et joyeux. Réfléchir en s'amusant des frasques de ses héros/copains favoris, c'est possible : preuve en est !

Univers calme et drôle, reposant et réfléchi. Un parfum de vacances dans un album insouciant.

Lire un Calvin et Hobbes c'est retrouver un vieux copain et son monde d'enfance tout en se questionnant sur "quel type d'adulte emmerdant est-on devenu ?".

Toujours aussi débordant d'imagination, notre jeune marginal ne cesse d'imaginer des frasques tout en réfléchissant de manière surprenante à l'essence même de la vie.
Ces bêtises ne seraient-elles pas un moyen de mettre du piquant dans une vie qu'il considère comme morne et triste ?

Les personnalités multiples de Calvin sont décidément devenues un leitmotiv terriblement efficace de l'auteur pour nous faire hurler de rire mais aussi réfléchir. Encore un très bon tome !

"Elle est pas belle la vie !" Un titre évocateur pour un univers qui reflète un état d'esprit joyeux et enfantin tout en conservant un regard critique sur le monde de Calvin qui n'hésite pas à faire appel à son énergie débordante pour le mettre en scène.

Humour enfantin, univers enchanteur et joyeux, on replonge en enfance au fil des pages. Calvin est décidément drôle, imaginatif, cynique et sait blaguer comme personne. C'est toujours avec le sentiment de retrouver un vieux copain d'enfance que je feuillette les albums de C&H.

Calvin a décidément tout du super héros, même le costume... Mais surtout cette vision critique, ces petites piques contre la société et son train de vie dans lequel il ne se reconnaît pas.

Il est toujours agréable de se replonger dans les aventures fantasques et douces de Calvin et Hobbes. L'enfance et son monde sont encore une fois retranscris avec talent et humour.

Drôle et émouvant, critique parfois, encore une fois un album dont on ne se lasse pas et qui arrive toujours à faire germer une graine de bonne humeur.

Drôles et engageantes, c'est toujours avec bonne humeur qu'on découvre les aventures de Calvin et Hobbes mais aussi celles de tout ces personnages qui constituent leur univers et qui apporte une touche joyeuse, un parfum de vacance même au cœur de septembre.

Si certains gags sont pleins d'humour, de nombreux autres connaissent un certain cynisme, l'expression de l'avis de Watterson à travers la bouche d'un Calvin désabusé.

Ironie, second degré et leitmotivs maintenant bien connus des personnages. Une recette merveilleuse qui nous donne un superbe manuel du rire.

Un monde de l'enfance et de l'imaginaire encore une fois mis en valeur par deux compères attachants, drôles et cyniques...

Calvin et son tigre sont décidément très attachants. Toujours aussi drôles, cyniques et sadiques : un régal !

C'est drôle, c'est simple et c'est bon. Un univers d'enfant au bon goût de joie, on ne s'en lasse pas !

Drôle, simple, épuré et critique... Calvin et Hobbes est une BD plus que sympathique qui peut ravir à tout à âge !

L'histoire prend une tournure totalement différente de celle des précédents tomes : et pour cause, Fitz n'a plus le même rôle, n'est plus le même homme...

Le livre est excellent. Qu'il est "bon" de découvrir que certains auteurs ne se laissent pas embrigader par le happy end !
Celui-ci semble dur à atteindre et pourrait bien ne jamais arriver...

Transition entre le premier cycle et le second, ce septième tome met délicatement en place les rouages d'un nouvel acte.
Agréable et fluide, il est bon de retrouver la plume de Robin Hobb.

Bien mené et bien rythmé, ce sixième opus marque profondément le déroulement de la série mais aussi l'évolution du personnage de Fitz.

Ce dernier gagne encore en profondeur et les premières blessures se font ressentir. Un héros imparfait et dépassé et qui ne se sort pas indemne d'épreuves insurmontables... C'est appréciable !

Un voyage que l'on attendait : celui vers les Anciens. Quel monde est donc caché au cœur des montagnes ? Quelles conséquences peuvent bien avoir l'exposition surdimensionnée à l'Art ?
Et quelles seront celles de sa quête sur Fitz ?
L'univers de Robin Hobb gagne en profondeur et c'est... magique.

Encore une fois, Fitz nous surprend par son évolution. Une caractère qui se forge dans le plus dur des aciers pour faire face à une quête qui ne le laissera certainement pas indemne.
Un réalisme encore une fois plus qu'appréciable dans un genre étouffé par la Bit-Lit favorisant l'image du héros parfait.