De plus en plus d'ampleur pour Beck, de nouveaux challenge... Sakuishi accumule les intrigues et parvient une fois encore à faire passer tout ça comme une lettre à la poste. Les dessins gagnent en maturité et l'histoire en profondeur... de mieux en mieux.

Tant d'excitation à la vue de ce tome, on imagine enfin les portes de la gloire s'ouvrir pour les Beck... et non. Une nouvelle fois, le mur approche !

Ah, enfin un manga où tout n'est pas facile et où des héros humains (et non demi-dieux qui lancent des lasers avec les yeux) font face à des difficultés humaines et dans une ambiance où tout se prête à l’humour (si si cherchez bien !) .

L'ambiance future de Beck est bien résumée dans ce septième tome : 1 pas en avant, de grosses tensions et pour finir, 2 pas en arrière. Tout semble toujours désespéré pour les héros qui finissent toujours par rebondir.

Si ce n'était pas tourné avec humanité et si le manga ne présentait pas des héros réellement humains, l'histoire aurait été fade. Mais les protagonistes sont décidément humains, attachants et l'histoire n'en est que plus prenante.

Ce tome-ci est particulièrement prenant. On voit avec réalisme la différence entre le milieu musical indépendant et le milieu musical collégien : y'a pas à dire, un vrai musicien progresse plus vite en groupe et plus vite encore une fois sur scène !

Les intrigues sont toujours aussi bien menées et de concert de surcroît !

L'histoire suit son cours tranquillement, on apprécie réellement que l'auteur prenne son temps avec son intrigue : les dessins calmes alternent avec les scènes survoltées et on savoure certaines planches particulièrement bien réalisées.

L'histoire entre Koyuki et Maho, jamais trop lourde, est toujours la bienvenue pour éclairer d'un peu d'espoir le monde impitoyable du showbiz où la musique n'est rien de plus qu'une vache à traire.

De plus en plus alambiquée, l'histoire prend un tour particulièrement surprenant !
L'auteur manie avec aisance l'alternance entre les intrigues et les personnages et on commence réellement à accrocher au manga.

Les dessins (en dehors des visages) sont toujours aussi beaux et on peut apprécier tout le talent de Sakuishi qui donne véritablement vie aux instruments...

L'histoire gagne encore en profondeur grâce à l'ajout subtil d'intrigues secondaires portant sur le passé des personnages.

La place grandissante de Maho dans l'histoire du manga ajoute également un peu de douceur et de fraîcheur au scénario qui serait bien sombre sans cela.

On découvre petit à petit la trame de notre histoire et la composition du futur groupe (qui n'est d'ailleurs pas sans rappeler Rage Against The Machine - un style de basse percutant et du rap aux paroles avec un Chiba qui ressemble trait pour trait à Zach de la Rocha) tout en assistant à une véritable métamorphose de Koyuki.

Un nouveau converti dans les rangs des rockeux !

Beck, un looongue histoire d'amour entre ce manga et moi.

Le premier tome débute tranquillement, l'auteur prend son temps et ça vaut le coup : on a tout le loisir d'assister à la métamorphose d'un collégien anonyme écoutant de la pop fade au jeune talent de la scène rock.

Au niveau des dessins, si on passe les têtes de personnage décidément affreuses sur les 10 premiers tomes, ils sont magnifiques. Un effort très particulier appliqué aux instruments de musique, c'est superbe !

Les décors sont aussi particulièrement réalistes.

Un manga surprenant et ô combien rafraichissant quand on fait face sans cesse aux assauts de la musique fade et commerciale qui inonde nos ondes en boucle.

Sans être, à mon sens, digne de son gigantesque prédécesseur (l'immense Gagner la Guerre), Même pas Mort est une très bonne lecture.

On remarque tout d'abord la souplesse du style de Jaworski et la variété quasi infinie de ses univers. Toucher à l'ambiance celtique était audacieux. Audacieux et finement joué puisqu'il s'en tire à merveille.

On regrettera peut-être le désordre chronologique du récit. Le personnage a pris un sérieux coup sur la tête, d'accord. Mais il n'empêche qu'un peu plus de clarté n'aurait pas été de refus.

A lire néanmoins !

Un livre qu'on ne saurait décrire autrement que "complètement barré".
Personnellement, j'étais ailleurs en le lisant. Il faut parfois relire plusieurs fois certains passages mais n'est-il pas écrit : "C'est en prenant des chemins tortueux que l'esprit imprime la carte" ?

Le dénouement du second cycle de Ji n'a rien à envier au précédent. Mieux encore, soutenu par un background plus soutenu que lors du premier, le petit frère s'en tire à meilleur compte que l'aîné !

On en apprend plus sur les Ethèques et c'est tant mieux ! Les révélations sur l'origine de Jal donnent une profondeur nouvelle à l'intrigue, coup de maître !

Déçu par l'apparition d'un triangle amoureux... J'aime pas les clichés !

Néanmoins le fond comme la forme vise encore une fois juste. Les aventures de la nouvelle génération n'ont rien à envier à celles de la génération précédente !

La quête de la seconde génération continue et nous mène plus loin encore que la précédente sur les secrets des Ethèques...

On retrouve avec plaisir le style de Grimbert bien que ce nouveau cycle semble plus dénué d'humour que le précédent.

La nouvelle génération est tout aussi attachante que la précédente et leurs aventures débutent parfaitement mal... un bon point pour nous !

Bien qu'un classique reste classique, rien n'empêche de les lire et relire. Si Tolkien n'est pas le père de l'imaginaire fantasy d'aujourd'hui, je me demande bien qui peut l'être.

Une Œuvre complète, si complète qu'on s'y perdrait. Il a fallu une vie pour dépeindre le monde créé par Eru et les Ainur. Je pense qu'il n'est pas de trop d'une vie pour comprendre le monde de cet auteur titanesque dans toute sa profondeur.

Jaworsky est décidément un grand de la fantasy française. Peut-être même le meilleur qui nous soit contemporain.

Benvenuto et son langage atypique (c'est rare d'avoir un auteur qui manie la langue familière aussi bien tout en le faisant accepter par le lecteur sans le moindre problème), Ciudalia et sa beauté dangereuse... Tous les aspects du livre sont présentés de manière efficace, rythmée et envoûtante.

On se laisserait bien porter encore plus loin...

Bien construit, accessible et intéressant. A recommander aux étudiants de santé mais aussi à tout lecteur qui souhaiterait enrichir ses connaissances en la matière.

Intéressant et bien fait, "Le Beau Livre de la Médecine" est un ouvrage à visée pédagogique.

Les 250 entrées sont classées par ordre chronologique en fonction des découvertes majeures que les sujets ont connu (comme l'explique l'auteur dans la préface). Chaque entrée est agrémentée d'une illustration en couleur apportant des éclaircissements sur les phénomènes décrits.

Cette manière de présenter le livre permet au lecteur de lire l'intégralité du livre de manière décousue, suivant ses intérêts.

Psychologie fourmi et humaine, beaucoup de différences ?
Il fallait oser se lancer dans un tel récit, un pari risqué mais qui relève aisément le défi.
Passionnant et déroutant, on y apprend avec plaisir de nombreuses choses sur un monde fantastique et incroyable de quelques millimètres d'envergure.

Romancer le tout est aussi un excellent choix, le suspense est là, le scénario aussi.

La découverte de l'histoire de Chris marque sans aucun doute un tournant dans ma vie.
Pour chacun d'entre nous, il existe des livres qui nous bouleversent et qui changent notre façon de voir les choses.

D'abord fan inconditionnel de l'adaptation cinématographique de Sean Penn, j'ai désiré attendre d'avoir un bon niveau d'anglais pour m'attaquer au récit des deux dernières années de McCandless en VO.
Malgré une très longue attente, je ne le regrette pas.

Excellent livre. Je n'ai pas l'habitude des "One Shot" dans le registre de la fantasy mais plutôt de séries longues qui peuvent parfois nous lasser.

Celui-ci est plus que bienvenue, l'alternance entre les personnages est utilisée à merveille pour développer un univers précis et efficace, le thème de la rédemption qui semble un leitmotiv de Gemmell est lui aussi présent et bien intégré dans l'histoire.

Au final, j'ai particulièrement apprécié le parallèle effectué entre les mythologie Anajo et la réalité des événements.
Un très bon livre !

Vie quotidienne teintée d'imagination débordante. Humour bon enfant aux senteurs de critique sociale. Joie franche et bien dosée. Calvin et Hobbes sont amis pour la vie, et nous avec eux !

On s'attache décidément vite aux personnages. Leur rapport à l'enfance nous ramène des années en arrière, bien proche du temps joyeux où échapper au supplice de la baignoire était notre seul souci !

Farceur et joyeux, cynique et critique, Calvin a tout du gamin rebelle et pourtant si malin. On en veut toujours plus de cet univers d'insouciance, tendre et drôle.