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Résumé
Pourquoi en France les écrivains les plus célèbres ont-ils rêvé de jouer un rôle politique ? Alors que les grands hommes d'action ne songeaient qu'à devenir écrivains ? Stendhal note dans son journal : "Waterloo c'est trop dommage : six mois de plus et j'étais nommé préfet du Mans. " Lamartine, le poète romantique par excellence, est candidat à la présidence de la République. Chateaubriand, peut-être le plus grand de tous, ne pense qu'à être ministre, Victor Hugo, le conseiller des puissants quel que soit le régime, Malraux à diriger les hommes et pas seulement maîtriser les mots. C'est un duel permanent dans notre histoire entre ces deux passions: écrire et agir, la plume et l'épée. Ceux qui ont la plume espèrent l'épée. Et ceux qui ont le pouvoir rêvent de littérature. Richelieu se veut auteur de théâtre, Clemenceau, le " Tigre ", " le Père la Victoire ", écrit un livret d'opéra, le général de Gaulle, quand il rédige ses Mémoires, veut laisser une œuvre.
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