Jane Eyre

je fais jamais de commentaires, mais pour une future lecture je vais en faire une. On ma vendu le livre pour une des plus belles histoires d'amour... ouin, pas vraiment, même si on passe pardessus les relations très toxique quelle a avec les hommes de sa vie les personnages sont pas vraiment attachant. Cependant la fin rachète l'opinion que javais de ce livre cest une très belle fin et jai fini ma lecture avec un sourire et je suis contente d'avoir lu ce livre.

Aussi, cest très bien écrit et surprenanment addictif on ne sais jamais a quoi s'attendre au prochain chapitre et j'ai beaucoup aimé cela.

J'ai hate de lire les haut des hurlevent pour y retrouver son style d'écriture avec (je l'espère) une romance que je vais aimer au lieu de voir autant de red flag.

ps: je suis consciente aussi que cest une autre époque, mais je continue a croire que meme pour l'époque M.rochester était borderline toxic. (Also, cest quoi le buzz de tout le monde de dire autant quelle est laide je me sentais mal pour elle vers la fin ahahahh)

J'ai été happée par l'histoire, je ne voulais pas que le livre se termine. En arrivant à la fin, j'ai eu l'impression de quitter une amie chère à mon cœur. J'ai pris plaisir à suivre l'aventure de Jane, et je compte bien relire cette œuvre.

Classique de la littérature anglaise, Jane Eyre se distingue par le caractère de son héroïne, jeune fille sans fortune ni beauté mais à l'intelligence remarquable, qui se laisse séduire par un homme plus âgé qu'elle, et le séduit en retour par la vivacité de son esprit. Par certains côtés, l'héroïne se détache des convenances de l'époque, et on peut aisément la qualifier de féministe, lorsqu'elle affirme que les femmes ont le droit aux mêmes aspirations que les hommes. Elle revendique parfois de se tenir à côté des hommes comme une égale. Mais c'est dans le mariage que Jane veut trouver sa place, et la fin remet finalement en perspective les idées bien arrêtées de la jeune fille, lorsqu'elle envisage ce qu'on pourrait assimiler à une servitude volontaire.

Écrit d'une plume riche et érudite, ce roman possède malgré tout quelques longueurs, aussi bien au début, au milieu et à la fin. La conviction de l'autrice en la supériorité de l'intelligence anglaise sur toutes les intelligences européennes, et en particulier française, est également bien perceptible, même si cela ne surprend pas compte tenu de l'époque. En somme, c'est un roman qu'il faut avoir lu, mais qui n'est pas exempt de certains défauts classiques du XIXe siècle en littérature. À éviter, donc, si on n'aime pas les romans fleuves ou les longs paragraphes philosophiques.

comme pour les haut de hurlevents j'ai eu du mal a lire ce livre

Ce n'est pas un mauvais livre. Il décrit déjà fort bien l'esprit du féminisme, des femmes fortes indépendantes qui ont confiance en leur sentiments malgré les rabaissement ou les ordres des hommes. Néanmoins, la fin ne va pas tellement en ce sens et c'est bien dommage. On sent que l'autrice termine en adoucissant les moeurs. Le roman est plutôt long, on pourrait enlever tous les passages de Gateshead sans que le récit en soit changé.

Ce livre est un de ceux que j'aime le plus ! Au point de l'avoir en plusieurs éditions et de le relire régulièrement.

Une lecture sympathique.

On suit la vie d'une jeune femme au cours de sa vie, ses choix et ses péripéties dans la vieille Angleterre.

Une très belle plume et un beau vocabulaire, qui rend le tout plaisant à lire même si parfois ce peut être long. En effet, quelques longueurs, beaucoup de descriptions et de dialogues assez peu utiles pour l'histoire. J'avoue avoir sauté pas mal de pages.

Intriguée par les sœurs Brontë et leurs étranges vies, si courtes mais quel héritage ! Tellement bien écrit, l'histoire est triste, mais les personnages attachants et tellement Victoriens !

C'est aussi l'histoire de l'émancipation des femmes, surtout celles qui ne pouvaient ni compter sur leur fortune et leur nom, ni sur leurs atouts physiques.

Une orpheline est recueillie par sa tante qui lui mène une vie impossible. Elle ne reçoit aucune tendresse mais son cœur brûle si intensément qu'elle déborde dans son corset ! Jane est un personnage si actuel, féministe avant l'heure, indépendant, qui ne veut pas se laisser conduire dans sa vie sans l'avoir choisi, réfléchi (même si parfois elle est tentée par la facilité...). Elle ne fait pas l'impasse sur les difficultés, ni sur ce qu'elle doit surmonter pour arriver à cet idéal auquel elle aspire. Droite, avec des principes, dure même mais souple, c'est une lecture très intéressante dans notre monde d'aujourd'hui.

Jane Eyre, un film vu dans mon enfance et qui m'avait bouleversée mais dont je me rappelle que la fin. Donc j'ai eu envie de lire le roman, alors qu'il y a si peu de temps encore ne lisais absolument jamais de classiques.

Les deux premiers chapitres m'ont révoltée car Jane Eyre, orpheline, qui a été recueillie par le frère de sa mère, est maltraitée par sa tante et ses cousins. J'ai presque tout de suite été emportée dans l'histoire de cette petite fille martyrisée et rapidement j'ai été captivée par sa personnalité et son destin.

Assez vite je me suis trouvée dans le style de lectures d'antan, où les enfants souffraient, où les adultes étaient odieux et ça m'a ramenée au monde du XIXème siècle tel que je le voyais étant petite. Ben oui parce que voilà... Ça se passait plutôt mal à cette époque pour les enfants ! Surtout les pauvres, et surtout les orphelins. Comme si la vie ne s'était pas suffisamment acharnée et qu'il fallait que les détenteurs de la vérité en rajoute une couche. Ceux-là, c'étaient les chrétiens de tous poils, qui voulaient apprendre à ces pauvres gamins les vertus de l'humilité, de la frugalité (en les affamant carrément), et de l'austérité en général ainsi que des châtiments corporels, pendant que eux-mêmes vivaient dans l'opulence et le tape à l'œil le plus indécent et vulgaire qui soient tout en oubliant le principe de charité chrétienne.

Mais Jane est une petite rebelle. Elle ne trouve pas normales les méchancetés et les humiliations qu'on lui inflige. De plus, arrivée à l'âge adulte, elle émet des idées ouvertement féministes, trouvant injuste que les hommes aient tous les droits, y compris celui de faire des choses agréables pendant que les femmes sont assignées uniquement à des tâches sans joie.

C'est une histoire lente mais toutefois prenante, et par certains aspects déconcertante, car elle raconte en détail une manière de vivre et les liens sociaux que les moins de 150 ans ne peuvent pas connaître.

En réalité, pour moi ce roman ça a été les montagnes russes. Par moment prenant, puis d'un ennui mortel pendant de nombreuses pages car il ne se passe pas grand-chose et le peu qui se passe on sent qu'on va devoir attendre longtemps pour en connaître la raison.

Ce qui m'a le plus marquée, c'est que les gens riches, nobles ou pas, étaient horriblement méprisants envers le petit peuple, extrêmement mal élevés avec eux et totalement sans filtre, comme s'ils parlaient à un animal qui ne comprend pas ce qu'on lui dit. C'étaient des gens immondes.

Il y a toutefois une histoire d'amour. Un amour sincère, fort, puissant, qui ne se soucie que de l'être et non du paraître. Mais est-il réellement partagé ? Cette question m'a fait trembler…

Puis il y a les lois divines et humaines de l'époque.

Ce roman a réveillé mon ambivalence congénitale avec ses moments intéressants puis ce qui m'a paru interminable avant de redevenir passionnant puis de nouveau long et monotone… J'ai aimé, un peu, beaucoup, moyennement, énormément…

C'est bien écrit mais souvent trop développé à mon goût. On se noie dans les sentiments décrits sur des pages et des pages.

J'ai vu dans ce roman beaucoup de vanité, de mépris pour les classes dites inférieures, d'insensibilité, voire de dureté. J'y ai vu une analyse extrêmement pointue et fine de la nature humaine dans ce qu'elle peut avoir de bon ou de pervers. J'ai vu à quel point la ferveur religieuse peut mettre en danger avec un pied au bord du fanatisme quand le discernement fait défaut. J'ai surtout été effarée par la douleur que peuvent s'infliger certaines personnes par crainte de la colère de Dieu et peur du jugement des Hommes.

Jane est une altruiste, elle est généreuse et totalement désintéressée. C'est un personnage magnifique ! Mais elle n'est pas la seule…

À la fin de ces 760 pages, le constat est que le plaisir de lecture a été plus fort que l'ennui qui m'a plusieurs fois accablée.

[Lu en anglais]

Je n'avais aucune idée de ce dont parlait ce livre avant de le commencer. Du coup, même si "l'introduction" m'a parut longue (le premier tiers ne parle que de l'enfance et de l'éducation de Jane Eyre), je ne tremblai pas non plus d'impatience de voir la romance arriver.

Ne pas ce qui va arriver signifie aussi que je ne connaissais pas la tragédie qui allait venir. Signe que je me suis attaché aux personnages : j'ai du faire une pause (longue pause) au moment où le drame allait arriver. Parce que même si l'histoire ne semble aller nulle part, que les choses avancent très lentement, on est pris par le style d'écriture très agréable.

Je pense que ma lecture aurait été plus ardue en français car pour ce genre de livre, les traducteurs prennent toujours le français le plus soutenu (alors que l'anglais a beaucoup moins de lourdeur).

Bref un bon livre, long mais que je ne m'attendais a aimer autant.