Alors tu ne devrais pas douter du pouvoir des mots. Grâce à eux, l'écrivain peut voyager dans le temps et l'espace. Il peut écrire une scène qui sera lue dans un mois, deux ans, trois siècles. Il peut évoquer les rues de Paris à Séoul ou à Washington.

Parce que, en ce bas monde, ça ne vaut pas la peine de perdre son temps à discuter avec tous les imbéciles. Il est plus facile de leur donner satisfaction, puis de les berner quand ils ne s'y attendent pas.

"Les monstres, c'est facile, Miss Rook, ce sont des monstres. Mais un monstre en costume ? Cela en fait un individu malfaisant, et ça, c'est bien plus dangereux."

He saw everything that happened, but at a distance, removed from himself and his surrounding ; but when the family and their closest friends had gathered again at the farmhouse the truth of what had happened began to breach his defences.

Nous étions bons et bienveillants. Nos dieux nous inspiraient amour, crainte et loyauté.

Alors elle songea; elle se dit,désespérée jusqu'au fond de son âme:《Voilà donc ce qu'il appelle être sa femme; c'est cela! C'est cela!》
Et elle resta longtemps ainsi, désolée, l'oeil errant sur les tapisseries du mur ...
Mais, comme Julien ne parlait plus, ne remuait plus, elle tourna lentement son regard vers lui, et elle s'aperçut qu'il dormait! Il dormait, la bouche entrouverte, le visage calme! Il dormait!

Vol'jin s'exécuta et grogna d'un air de satisfaction. Chen le prit apparemment pour tel car il recula. Une lumière vive fit pleurer les yeux du troll, puis la silhouette de Chen apparut progressivement. Le pandaren n'avait pas changé : solidement charpenté, avec une aura de gaité et un regard pétillant d'intelligence. Cette vision lui réchauffa le cœur.
Puis Vol'jin baissa les yeux vers son corps et faillit les refermer aussitôt. Des draps le couvraient jusqu'à la taille et presque tout le reste était enveloppé dans les bandages.

Chapitre 14 p 118

Derrière elle, une porte grinça. Elle se retourna et vit Miranda, en t-shirt jaune et long pantalon de pyjama orné de petits smileys, sortir de sa chambre. Ses cheveux tricolores étaient légèrement décoiffés, et Kylie constata qu'elle faisait plus jeune sans son maquillage.
-Salut! lança Kylie.
-J'ai cru entendre ... Qu'est-ce que c'est ?
-Un chaton. N'est-il pas, ou n'est-elle pas adorable ?
Elle souleva l'animal pour vérifier le sexe. Il se mit à s'agiter, cracha, même, mais elle le tenait fermement.
-C'est un mâle. Il regardait par notre fenêtre.
Elle le berça de nouveau contre sa poitrine et jeta un coup d'œil au frigo.
-Je crois qu'il a faim.
-Oh non!
Le mécontentement manifeste dans la voix de Miranda la fit se retourner.
-Quoi? s'exclama Kylie, sincèrement dérouté. Tu es allergique aux chats ?
-Toujours le même vieux coup, hein ? dit Miranda, mais Kylie voyait bien que sa coloc ne s'adressait pas à elle.
Miranda désigna le chat du doigt et agita son auriculaire d'avant en arrière.
-Les roses sont rouges, les violettes sont bleues, montre-moi qui tu es ou je te jette un sort.
-Stop! Je me métamorphose!
Les paroles venaient du chaton.