Le début d'un affrontement intensif plutôt palpitant.
Yamcha meurt, boh, ce n'est pas un personnage que j'aime énormément, et d'autres personnages plus attachants trouvent la mort.
Plein d'émotions, et de péripéties, c'est un tome intéressant.

Goku est mort. Je trouve que Toriyama a fait fort, pour ce tome, et c'est loin d'être négligeable : même s'il n'est pas mort définitivement et qu'on continue de le voir, tuer un personnage mythique est acte de courage. Et quand en plus ça fait avancer le scénario, c'est un plus.
Sangohan et Piccolo est un duo surprenant, et attachant.
J'ai bien aimé ce tome.

On en apprend plus sur les origines de Goku, et c'est très intéressant. Cependant, Raditz est un "méchant" sans grande saveur, fort heureusement, il sera vite remplacé par Végéta et Nappa.
N'empêche, Raditz est un grand frère en or :P

Une lutte acharnée et une fin qui, pour une fois, m'a surpris.
Ce n'est pas tant le résultat qui m'a surpris, mais le chemin pour y parvenir. Un bon tome, même pour moi qui ne suis pas un inconditionnel de la saga.

Son Goku a grandi, mais est plus débile que jamais, et ça devient lourd.
Chichi est moins inintéressante qu'avant, et c'est la seule partie de la saga où elle n'est pas si agaçante que ça. Le tournoi est bien fait, heureusement, car c'est le seul point positif.

Encore une quête vers un combat qui ne mènera à rien de bien extraordinaire dans le fond. Heureusement, la forme est bien plus étudiée.
Goku est plus agaçant que jamais, et ses compagnons... sont légèrement inutiles. Va falloir qu'ils en prennent l'habitude au vu de ce que certains vont devenir.

La saga, extrêmement prévisible, perd en intérêt, mais certains personnages nous épatent, tout de même.

On débute avec l'une des intrigues les moins intéressantes et les moins bien étudiées de toute la saga, et ce n'est pas peu dire.
Piccolo est bien plus intéressant dans la suite, ses objectifs sont ici sans aucun fondement, ce qui les rend ridicules.

Un second tournoi plein de nouvelles rencontres, bien plus intéressant que le premier qui n'était déjà pas si mal. Celui-ci se veut bien plus "réaliste", dans la mesure où Dragonball peut l'être.

Un tome avec un brin de psychologie, alléluia !
Non, sans rire, cette saga est tellement dans l'exagération, qu'elle en devient vite gonflante. Ce tome-ci fait exception, je l'aime bien.

La quête reprend, bien plus intéressante et structurée que les trois tomes précédents...
Goku montre qu'il peut être intelligent, et c'est à partir de ce tome qu'il commence, à mon humble avis, à ne plus être une immonde tête à claques.

J'aurais aimé que l'on mette plus l'accent sur la fuite, le reste étant presque dénué d'intérêt (je dis bien presque).
On redécouvre (un peu) le personnage de Bulma dans ce tome, mais à chaque fois que je commence à bien l'aimer, elle fait un truc débile qui me pousse à la détester.
C'est dingue, les persos comme ça !

C'est vers ce tome que la saga commence, à mon avis, à déraper sérieusement.
Chaque fois, l'ennemi qu'ils affrontent est le plus puissant du monde, trololo. Au final, c'est à croire que ça doit pas être bien difficile d'être le plus puissant de l'univers, dans cette saga. Goku, Freezer, Piccolo, Végéta, Cell, Boo, et j'en passe !
C'est à ce niveau que je trouve la saga de Toriyama presque pathétique. Dommage, il y a du potentiel.

On fait connaissance avec des ennemis récurrents, ceux de l'armée du Ruban Rouge. Beaucoup les adorent, moi je les trouve presque inintéressants.
Cependant, un rebondissement vers la fin aura des conséquences intéressantes pour la suite, et c'est ce qui donne de l'intérêt à ce tome.

Quelques rebondissements et le premier tournoi d'une longue et impressionnante série.
Je ne suis pas fan de la saga (que je trouve beaucoup trop exagérée), mais les premiers tomes sont très bons.

Un tome qui fait apparaître pour la première fois deux personnages récurrents. Lunch, que je trouve parfaitement inutile, et Krillin, déjà plus intéressant et surtout attachant.

Dans ce second tome, Son Goku démontre qu'il est bien plus puissant qu'il en a l'air, et cet élément est plutôt bien présenté, ce qui est, en mon sens, une excellente chose puisque son potentiel est central à l'intrigue de la saga.

Un début de saga assez sympathique, bien que l'innocence de Songoku soit assez rapidement débile, à mon sens.
Sérieusement, je veux bien comprendre qu'il vive reclus, mais de là à ne pas connaître les filles, et j'en passe !
Bref, je peux tout de même comprendre rien que par ce tome pourquoi cette saga a eu autant de succès.

Ce neuvième tome suit les événements de l'avant-dernier épisode de la deuxième saison.
Dans cet épisode, on en apprend plus sur Aelita, sur le fameux Franz Hopper et son journal, mais aussi sur Lyoko.
Ulrich est toujours plus héroïque, Yumi toujours autant dévouée envers ses amis, et Aelita toujours l'incarnation de la douceur... j'adore.

Très fidèle à l'épisode de la saison 2 du même nom, Ultimatum montre que Code Lyoko sait aussi montrer les côtés les plus menaçants de l'antagoniste principal, puisqu'il fait ici chanter Ulrich, Aelita et Jeremy en les menaçant de tuer Odd et Yumi.

Code Lyoko s'attaque ici au phénomène des voyages temporels, mais aussi de l'addiction, car c'est tout simplement ce qui frappe Jeremy, même si ses motivations sont louables: il devient accroc aux retours vers le passé, qui lui permettent d'accroître ses capacités intellectuelles.

Basé sur le second épisode de la seconde saison, "Terre Inconnue" introduit un Cinquième Territoire, "Carthage", dont l'existence sera un élément majeur de l'intrigue de la série.
Aelita, quant à elle, ne se sent pas très bien sur Terre, et elle sent qu'elle n'y a pas sa place.

J'ai tout bonnement adoré ce livre, très bonne adaptation de la série.

Ce cinquième livre est l'adaptation du premier épisode de la seconde saison du dessin animé.
Les Lyoko-guerriers, tout comme XANA, ont évolué: si eux peuvent désormais bénéficier de véhicules créés par Jeremy, XANA a créé un nouveau type de monstre, plus puissant et dangereux que les autres, la Tarentule.
Cependant, ils ne se laissent pas abattre, puisque, suite à un nouveau programme de scan, Aelita peut définitivement vivre avec ses amis sur Terre.
Rapidement, elle est prise de violents cauchemars, qui semblent la relier à une mystérieuse maison, l'Ermitage.

Ce quatrième tome est basé sur le dernier épisode de la saison 1, portant d'ailleurs le même titre.
Pour ce final de saison, XANA, ne supportant pas que Jeremy soit parvenu à matérialiser Aelita, mais profitant tout de même de l'absence de celle-ci pour activer une tour en toute impunité, matérialise à son tour quelqu'un... ou quelque chose ! Des Kankrelats apparaissent à Kadic, et s'en prennent aux élèves !
Avec l'aide de Jim, les Lyoko-guerriers combattront ces monstres tout en se rendant à l'évidence d'une chose: Aelita n'est peut-être pas faite pour vivre sur Terre.

"Code Terre" est la retranscription romanesque du vingt-cinquième épisode de la première saison, et je le trouve particulièrement réussi.
Dans cet épisode, après toute une saison de recherches intensives, Jeremy parvient enfin à ses fins: matérialiser Aelita pour qu'elle soit avec Yumi, Ulrich, Odd et lui sur Terre.

Adaptation romanesque d'un épisode de la saison 1 du même titre, "Gravité Zéro" se démarque par son originalité, puisque XANA s'attaque à du très lourd en diminuant considérablement la gravité au collège Kadic, et pendant le match de foot d'Ulrich, qui plus est !