Cette cinquième intégrale, quel régal.
C'est peut-être mon préféré (ou deuxième préféré, après le second tome).
Les personnages ont parfois des développements inattendus, mais plaisants (enfin, plaisants... pas toujours pour eux, mais c'est sacrément bien fait et cohérent), on retrouve des protagonistes laissés au second plan, voir laissés tout court au tome précédent.
Les événements qui se produisent sont surprenant, c'est parfois à couper le souffle.
Un mot sur la série : c'est à partir de ce tome que la série télévisée commence petit à petit à s'éloigner de la trame des livres. Mais dans un cas comme dans l'autre, c'est palpitant.

Pour moi, ce tome-ci est un pivot dans la série de la Chanson de la Glace et du Feu.
S'il n'a pas conservé l'aspect très spectaculaire et riche en rebondissements de son prédécesseur, il reste agréable à lire.
Il joue le rôle qu'avait selon moi "Harry Potter et le Prince de Sang-Mêlé" dans la saga du célèbre sorcier : il clôt les intrigues passées au second plan et prépare pour une suite qu'on sent intense au fil de la lecture. Les enjeux grandissent, on le sent fortement.

Les nouveaux points de vue sont les bienvenus, ils sont agréables, et le tout est merveilleusement structuré.
Et puis Arya. Voilà.
J'ai adoré.

Dès que j'ai entendu la nouvelle, mon coeur a fait un bond : un nouveau tome de Harry Potter ? Sérieusement ? Oh oui !
J'ai attendu patiemment (enfin, presque) le jour de sa sortie en librairie. Entre temps, la nouvelle s'est précisée, il s'agirait d'une pièce de théâtre : la nouvelle aventure de Harry serait le texte de la pièce qui se jouait à Londres, et l'action se centrerait davantage sur Albus Severus, son fils. Un peu sceptique, je n'en restais pas moins surexcité.
Bah tiens, j'ai bien fait.
Qu'on soit clair, j'ai aimé ce nouveau tome. Mais je ne l'ai en revanche pas adoré comme j'ai adoré le reste de la saga.
D'une part, je ne retrouve pas la magie de la plume de Rowling. D'autre part, j'aurais préféré un roman, je l'avoue, c'est une légère déception qui n'est pas très justifiable.

Sinon, la nouvelle génération s'en tire bien. Rose, la fille de Ron et Hermione, a un rôle anecdotique, ce qui est dommage, mais Albus et Scorpius, et plus particulièrement l'amitié qui les lie, est intéressante et touchante.

L'intrigue est truffée de références - trop nombreuses à mon goût ! - aux précédents livres. La cérémonie de la répartition (OK, c'était inévitable et non dispensable) rappelle l'école des Sorciers, le baiser du Détraqueur et leur attaque nous rappelle Harry lançant son premier vrai Patronus corporel dans le Prisonnier d'Azkaban, de même que l'histoire se focalisant sur le Retourneur de Temps. Evidemment, le Tournoi des Trois Sorciers et les Diggory nous ramènent à la Coupe de Feu, Rogue meneur secret de la rébellion et agent double nous font remémorer les trois derniers opus.
Ce que je veux dire par là, c'est que les références nombreuses sont bienvenues, mais Albus et Scorpius peinent ainsi à se démarquer de leurs pères respectifs et de leurs aventures.

Question antagoniste, Delphi s'en tire bien, elle est intéressante, son histoire contient suffisamment de profondeur mais... je regrette qu'on n'ait pas davantage d'informations sur l'histoire de ses parents et son enfance.

Enfin, le gros point positif de ce livre, c'est la fin. Le final à Godric's Hollow nous ramène au tout début de l'histoire originale, donnant le sentiment qu'enfin, la boucle est bouclée. Joliment structuré, tout ça.

En bref, c'est une bonne pièce, mais une suite assez anecdotique, oubliable et même un peu regrettable des aventures de Harry Potter, et un commencement trop similaire aux débuts de son père pour le jeune Albus, alors qu'il souhaite justement se démarquer de lui.

Ce n'est pas mon tome préféré, pourtant je suis un inconditionnel de Peyo et des Schtroumpfs.

Morris et Gosciny font entrer la légendaire Sarah Bernhardt dans les aventures de Lucky Luke. La transition de personnage réel à personnage de fiction se fait bien, avec peut-être quelques maladresses.

Tintin explore maintenant le développement de l'Amérique Latine au début du siècle. De beaux dessins, des personnages attachants et un sujet peu exploité qui est bien dépeint par le principal protagoniste.

Un peu en deçà des aventures "classiques" de Lucky Luke. C'est assez drôle, quoique répétitif et déjà vu.

Avec la présence importante des indiens, ce tome est à la fois le plus drôle et le plus captivant, un subtil mélange qui surprend de la part d'une série qui en fait rarement preuve.

Pas fan de Luke, mais j'adore Jane, et cette aventure où elle est bien présente est géniale.
J'aime cet album, un peu à l'écart des autres au niveau de l'histoire et du scénario, mais ce n'est pas négatif.

Malgré l'humour et les situations bien "cartoonesques", on retrouve ici l'ambiance d'un western, un tour de force pour une BD.
Amusant et sympathique à lire.

Plus humoristique que ses prédécesseurs, ce numéro est drôle, mais un poil répétitif en ce qui concerne les antagonistes principaux, les Dalton.

Ce tome n'est pas le plus réussi, mais j'apprécie Luke dedans (ce qui est rare, j'aime cette série de BD majoritairement pour les personnages secondaires, comme les Dalton). L'histoire est bonne et bien structurée, c'est agréable.

Les Dalton sont ici mieux étudiés et on leur ajoute un peu d'histoire, ce qui n'est pas pour déplaire. Des méchants aussi amusants qu'attachants.

On n'imagine mal Luke faire campagne, et c'est pour ça que cet album est si plaisant : il est plein de rebondissements.

Le premier d'une longue série, et la série n'a (heureusement !) fait que s'améliorer depuis le temps, au niveau du scénario, des dessins, et de la qualité des bulles de dialogue.

Plein de rebondissements et de péripéties, il est rare que j'ai du mal à refermer un album de Lucky Luke, pourtant j'ai apprécié celui-ci.

Avec ces gags à gogo, on reste loin de l'esprit de Spirou et Fantasio, mais l'univers prend un certain recul avec cette nouvelle série, prouvant une certaine auto-dérision.
Amusant à lire.

On découvre le côté héroïque et paternel du Marsupilami. Ce personnage est mignon, attachant et toujours aussi drôle.

On découvre ici le Marsupilami, aussi drôle que le laisse supposer un nom pareil. Attachant, fort, bourré de tendresse, on ne peut qu'aimer.

Les Marsus font le plein de bêtises dans ce nouveau tome, ne les rendant que plus attachants et mignons !

Ce n'est pas mon tome préféré, mais l'histoire reste drôle et amusante.On ne peut pas détester, on ne peut qu'apprécier le personnage principal, attachant et délirant.

Les situations sont cocasses voire hilarante, l'ambiance chaleureuse et enfantine, les personnages attachants... je recommande.

Le Marsupilami vit ici une aventure captivante et désopilante. Je recommande.

Ici, les talents de toute la petite famille du Marsupilami sont mis en valeur. Le tout est amusant, couvert d'un humour bonne enfant.

Plutôt amusant et intriguant, le Marsupilami fait toujours autant sourire. J'ai beaucoup aimé ce tome.

Des gags, une aventure rythmée, on le dévore au fur et à mesure que l'on tourne les pages.