Commentaires de livres faits par meslivresfavoris
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Commentaires de livres appréciés par meslivresfavoris
Extraits de livres appréciés par meslivresfavoris
_ Elle ne contient pas une goutte d'alcool; rétorque Diana, élégante dans sa robe noire malgré son aller-retour fatiguant à Idris. Mais il est vrai qu'elle peut provoquer de légères hallucinations.
_ Alors c'est pour ça que je te voir en sept exemplaires, dit Magnus à Alec. Mon fantasme ultime.
- Alors que dois-je faire pour y remédier, Drusilla ?
- Formule clairement tes désirs si tu veux les voir se concrétiser.
- Tu es pleine de sagesse.
- C'est une phrase que j'ai lue sur un mug, admit Dru.
- Les mugs de ce monde sont plein de sagesse.
Jace à Clary
J’ai juste envie que tu vives.
Les yeux bleus.
Les boucles cuivrées.
Le fait que Simon Snow est le magicien le plus puissant au monde. Que personne ne peut lui faire du mal. Même pas moi.
Que Simon Snow est vivant.
Et que je l'aime d'un amour désespéré.
-
Il n'est pas un monstre. Il est juste un méchant. Il n'est pas un méchant. Il est juste un garçon. Je suis en train d'embrasser un garçon. Je suis en train d'embrasser Baz.
-
Te regarder était juste comme regarder le soleil.
I’m in love with him.
And he likes this better than fighting.
-
Snow m'a ambrassé la nuit dernière jusqu'à ce que ma bouche soit endolorie. Il m'a tellement embrassé que je m'inquiétais de le changer avec tout ma salive. Il se tenait à quatre pattes au-dessus de moi et m'a fait atteindre sa bouche - et je l'ai fait. Je le ferais encore. Je traverserais toutes les moindres distances pour lui.
Je l'aime.
Et il apprécie ça plus que de se battre.
- Mais non, c'est un maître du suspense... essayé-je de le convaincre. Il a juste besoin d'un chapitre un peu plat pour te faire rebondir dans le prochain.
- Écris plus vite, toi là-haut! implore mon frère en regardant vers le ciel, déclenchant mon éclat de rire.
- Charlotte, Will me provoque !
- Et le soleil se lève à l'est, dit Jem à personne en particulier.
Je hoche la tête en ouvrant de grands yeux, sans m'arrêter de sourire comme une idiote.
-Toutes des soumises en formation, pendant que je me formais moi-même. Il y a des endroits à Seattle ou dans les environs, où on peut apprendre à faire ce que je fais.
Quoi ?
-Oh.
-Ouais, j'ai payé, Anastasia.
-Pas de quoi se vanter. Et tu as raison... je suis profondément choquée. Et vexée de ne pas pouvoir te choquer, toi.
-Tu as porté mon slip.
-Ça t'a choqué ?
-Oui.
Ma déesse intérieure fais un saut à la perche au-dessus d'une barre de quatre mètres cinquante.
-Et tu es venu dîner chez mes parents sans culotte.
-Ça t'a choqué, ça aussi ?
-Oui.
Alors là, la barre viens de remonter de cinq mètres.
-J'ai l'impression qu'il n'y a qu'au département de la lingerie que je peux te choqué.
-Tu m'as dit que tu étais vierge. Ça a été le plus gros choc de ma vie.
Je pouffe de rire.
-Oui, en effet, tu aurais du voir ta tête !
-Tu m'as laissé te cravacher.
-Ça t'as choqué ?
-Ouais.
Il hausse les sourcils, étonné, puis il semble réfléchir à ce que je viens de dire en caressant son menton.
-Tu as raison. Dans la vie, on tire partit de ces talents, Anastasia. Ça ne change rien au faite que j'ai envie de toi. Ici. Maintenant.
[...]
-Je n'ai pas fini mon poisson.
-Entre moi et le poisson, c'est le poisson que tu préfères ?
Je relève la tête brusquement ; ses prunelles brûlent comme de l'argent en fusion. Mais je ne flanche pas :
-Je croyais que tu tenais à ce que je finisse tout ce qu'il y a dans mon assiette ?
-En ce moment, mademoiselle Steele, je me fou de votre assiette.
-Christian, tu ne te bats pas à la loyale.
-Je sais. J'ai toujours été comme ça.
Ma déesse intérieure m'encourage : tu peut y arriver. Tu peux le combattre avec ses propres armes. Je peux ? D'accord. Comment ? Mon inexpérience me pèse comme un boulet. Prenant l'asperge, je regarde Christian en me mordillant ma lèvre. Puis, très lentement, j'insère la pointe de l'asperge entre mes lèvres pour le sucer.
Les yeux de Christian s'écarquillent de façon infinitésimale, mais perceptible.
-Anastasia, tu fais quoi, là ?
Je croque la pointe.
-Je mange une asperge.
Christian change de position.
-Je crois que vous vous moquez de moi, mademoiselle Steele.
Je feins l'innocence.
-Je ne fais que terminer mon repas, monsieur Grey.
Je le sens enfin sourire.
-Non, toi raccroche.
[...]
-Vous pouvez raccrocher, maintenant, mademoiselle Steele.
-Vous y tenez vraiment, monsieur ?
-Au lit, Anastasia.
-Oui, monsieur.
Nous restons tout les deux en ligne.
-Tu crois que tu arriveras un jour à faire ce qu'on te dit, Ana ?
Il sourit :
- Fouettés, ricane-t-il
-Oui, et je vais te la donner.
-Vraiment, monsieur Grey ?
Je le défie avec un sourire. On peut être deux à jouer ce jeu-là.
-Tu compte m'en empêcher ?
-Il faudra que tu m'attrapes.
Ses yeux s'écarquillent légèrement et il sourit en se levant lentement.
-Vraiment, mademoiselle Steele ?
Le bar est entre nous, Je n'ai jamais été plus heureuse qu'il existe qu'en ce moment.
-En plus, tu te mordille la lèvre, souffle-t-il en se déplaçant légèrement vers sa gauche, tandis que je me déplace vers la mienne.
-Tu n'oseras pas. Après tout, toi aussi tu lève les yeux au ciel.
J'essaie de le raisonner. Il continue à allé vers la gauche. Je me décale.
-Oui, mais toi, tu viens de faire monter les enjeux d'un cran.
Ses yeux étincèlent, une impatiente folle émane de tout son être. Je feins la nonchalance :
-Je cours très vite, tu sais.
-Moi aussi.
Il me pourchasse dans sa propre cuisine.
-Tu vas venir sans faire d'histoires, oui ?
-Ça m'es déjà arrivé ?
-Mademoiselle Steele, que voulez-vous dire par là ? ricane-t-il. Ça va être bien pire si je suis obligé de venir te chercher.
-A condition que tu m'attrapes, Christian. Et, en ce moment, je n'ai aucune intention de te laissé faire.
-Anastasia, tu pourrais tomber et te faire mal. Ce qui te placerait en infraction directe à la règle numéros six.
-Et je suis en danger depuis que je vous connais, monsieur Grey, avec ou sans règles.
-En effet.
Soudains il se jette sur moi, ce qui me fait hurler ; je m'élance vers la table de la salle à manger, que j'interpose entre nous. Mon cœur bat à tout rompre et l'adrénaline m'inonde le corps... qu'est-ce c'est excitant ! Je suis redevenu une petite fille, enfin, pas vraiment. Je le guette qui s'avance vers moi d'un pas délibéré. Je recule lentement.
-Tu sais distraire un homme, Anastasia.
-Vous satisfaire est notre priorité. Te distraire de quoi ?
-De la vie. De l'univers.
Il agite une main dans le vide.
-Tu avais en effet l'air très préocuppé quand tu jouais du piano.
Il s'arrête et croise les bras, amusé.
-On pourrais passé la journée à ça, bébé, mais je vais finir par t'attraper, et ça sera encore pire pour toi.
Tout d'un coup, je ne sais pas pourquoi, je lève les yeux... et je me retrouve prisonnière du regard gris de Cristian Grey.
Crise cardiaque.
_ Je crois que c'est l'inverse.
_ Quoi?
_ Anastasia, c'est toi qui m'a ensorcelé.
- Il en existe de toutes sortes, dit Mark. Avec des loutres, des lapins, des chiots...
Béât, Kieran tourna son visage vers les étoiles.
- Quel monde merveilleux que celui-ci.