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Merde, j'ai vraiment dit ça ? Sa bouche s'entrouve, mais il se ressaisit aussitôt.
- Non, Anastasia. Premièrement, je ne fais pas l'amour. Je baise... brutalement. Deuxièment, il y a encore des papiers à signer. Et troisièmement, vous ne savez pas encore à quoi vous vous engagez. Quand vous l'apprendrez, vous risquez de fuir à toutes jambes. Venez, je vais vous montrer ma salle de jeux.
Baiser brutalement ? Merde alors, qu'est-ce que c'est... cochon. Mais pourquoi veut-il me montrer sa salle de jeux ?
- Vous voulez qu'on joue à votre Xbox?
Il part d'un grand rire.
- Non, Anastasia, ni avec ma Xbox ni avec ma Playstation. Venez.
- Je ne comprends pas pourquoi vous ne m'en avez rien dit.
- On n'a jamais abordé le sujet. Je n'ai pas l'habitude de dévoiler mon statut sexuel à tous ceux que je croise. Enfin ! On vient à peine de se rencontrer !
Je regarde mes mains. Pourquoi est-ce que je me sens coupable ? Pourquoi est-il aussi fâché ? Je lève les yeux vers lui.
- Eh bien, vous en savez beaucoup plus long sur moi, maintenant, rétorque-t-il, les lèvres pincées. Je savais que vous n'aviez pas beaucoup d'expérience, mais vierge !
Dans sa bouche, on dirait un gros mot.
- Merde, Ana, je viens de vous montrer...
Il gémit.
- Nom de Dieu. Quelqu'un vous a-t-il embrassée avant moi ?
- Evidemment.
Je tente de prendre un air offusqué. Bon, d'accord... deux fois.
- Aucun gentil jeune homme ne vous a fait perdre la tête ? Je ne comprends pas. Vous avez vingt et un ans, bientôt vingt-deux. Vous êtes belle.
Il repasse la main dans ses cheveux.
Belle. Je rosis de plaisir. Christian Grey me trouve belle. Je fixe mes doigts noués en tentant de ravaler un sourire béat. Il est peut-être myope ? Ma conscience vient de relever sa tête hébétée. Où était-elle quand j'avais besoin d'elle ?
- Et nous voilà en train de discuter sérieusement de ce que je veux vous faire, alors que vous n'avez aucune expérience en la matière. Il fronce les sourcils.
- Comment vous y êtes-vous prise pour éviter le sexe ? Expliquez-moi.
Je hausse les épaules.
- Personne ne s'est vraiment, enfin... Montré à la hauteur. Sauf vous. Manque de bol, vous êtes une espèce de monstre.
- Pourquoi êtes-vous fâché contre moi ?
- Je ne suis pas fâché contre vous. Je suis fâché contre moi-même. J'avais supposé...
Il soupire, me scrute attentivement puis secoue la tête.
- Vous voulez partir ? me demande-t-il d'une voix radoucie.
- Non, à moins que vous ne vouliez que je parte.
Non... je ne veux pas partir.
- Bien sûr que non. J'aime que vous soyez ici.
Il fronce les sourcils et consulte sa montre.
- Il est tard.
Il relève la tête pour me regarder.
- Vous vous mordez la lèvre, dit-il d'une voix rauque, en me dévisageant d'un air songeur.
- Désolée.
- Ne vous en excusez pas. C'est simplement que ça me donne envie de la mordre, moi aussi, cette lèvre. Fort.
Je m'étrangle... comment peut-il me dire des choses pareilles et s'imaginer que je n'en serai pas troublée ?
- Venez, murmure-t-il.
- Quoi ?
- Nous allons rectifier la situation immédiatement.
- Que voulez-vous dire par là ? Quelle situation ?
- Votre situation. Ana, je vais vous faire l'amour, maintenant.
- Oh.
Le sol vient de s'effondrer sous mes pieds. Je suis une situation. Je retiens mon souffle.
- Si vous y consentez. Je ne veux rien vous imposer.
- Je croyais que vous ne faisiez pas l'amour ? Que vous baisiez brutalement ?
Je déglutis. Tout d'un coup, j'ai la bouche sèche. Il m'adresse un sourire coquin, dont les effets se font ressentir jusque-là.
- Je peux faire une exception, ou alors combiner les deux, on verra.
J'ai vraiment envie de vous faire l'amour. Je vous en prie, couchez avec moi. Je veux que notre arrangement fonctionne, mais il faut que vous ayez une idée de ce à quoi vous vous engagez. Nous pouvons commencer votre entraînement de base dès ce soir. Mais n'allez pas vous imaginer que je me suis converti aux fleurs et au chocolat ; c'est seulement le moyen d'atteindre mon but, et puis j'en ai envie, et vous aussi, j'espère.
Je rougis... En fin de compte, certains rêves finissent par se réaliser.
Jace : Elle ne baisse jamais les bras... Et aussi son...Euh, laisse tomber.
"Jace, envisagerais-tu de sortir avec Simon?"
Jace : est-ce que le fait de faire un plongeon dans une piscine pleine de lames de rasoir pourrait être une alternative?
"Jace, Que ferais-tu si Clary te quittait pour Simon?"
Jace : Je penserais qu'elle est possédée.
Avec combien de filles es-tu sorti?
Jace : Une, deux, trois, quatre - est-ce que les jumelles ça compte pour une ou deux?
Décris toi en 3 mots.
Jace : Mieux que le sexe.
Quand as-tu l'intention de faire l'amour avec Clary?
Jace: J'ai rien de prévu samedi.
Est-ce que ça t'arrive de te demander ce à quoi Clary rêve?
Jace : Moi, je présume.
Qu'est ce que tu dirais si Clary avait une jumelle complètement identique?
Jace :Ce serait chaud...
- Quand tu m'embrasses, Gwendolyn Shepherd, c'est comme si je perdais le contact avec le sol. Je ne sais pas comment tu fais ni où tu as appris ça. Si c'était par un film, alors il faudra le voir ensemble.
Il s'arrêta un moment puis poursuivit.
- En fait, je veux dire que quand tu m'embrasses, je ne veux rien d'autre que te sentir et te tenir dans mes bras. Merde, je suis si terriblement amoureux que c'est comme si on avait renversé un bidon d'essence quelque part en moi et qu'on y avait mis le feu ! Mais, pour l'instant, nous ne pouvons pas... nous devons garder la tête froide. Ou du moins, l'un de nous deux.
Le regard qu'il m'adressa fit s'envoler définitivement tous mes doutes.
- Gwenny, l'entendis-je dire encore, tout cela me fait une peur atroce. Sans toi, ma vie n'aurait plus aucun sens, sans toi... je voudrais mourir tout de suite s'il t'arrivait quelque chose.
Je voulus lui sourire, mais j'eus soudain une énorme boule dans la gorge.
- Gideon, je... commençai-je, mais il ne me laissa pas parler.
- Je ne voudrais pas que... Il ne faut pas que tu ressentes les choses comme moi, Gwenny. Parce que le comte utiliserait ces sentiments contre nous. Et qu'il le fera !
- C'est déjà trop tard, chuchotai-je. Je t'aime. Et sans toi, je ne voudrais plus vivre.
Il s'inclina devant un Simon visiblement agacé.
-Que me vaut l'honneur...
-On voudrait voir Jace, dit Clary. Il va bien ?
-Je n'en sais rien, répondit Magnus. Est-ce que, en temps normal, il reste allongé par terre sans bouger ?
Valentin ne cilla pas. Ses lèvres remuèrent à peine lorsqu'il répondit :
-Ah oui, et pourquoi ?
-Parce que, à l'évidence, vous êtes un psychopathe.
— Sauve ta peau d’abord, lui dit Shane. Tu pleureras ensuite.
Le slogan idéal pour Morganville
- Tu crois que, si je tirais une flèche en pensant à un trou du cul, je toucherais Erik? demanda celui-ci avec nonchalance.
- Ça ne m'étonnerait pas, répondit Heath.
Clary retint son souffle. Il avait fini par les dires ces mots qui ne s'effaçaient pas.
Il partit d'un rire amer.
- ... de te protéger des garçons qui ont de vilaines pensées sur ton compte. Or, j'ai exactement les mêmes.
- Mais tu m'as dit que, dorénavant, tout ce qui t'intéressait, c'était d'être mon frère.
- J'ai menti.
"Tu aurais pu avoir n'importe quoi."
"Mais je ne voulais rien d'autre que toi."
Jace, qui s'était appuyé au chambranle de la porte, se redressa :
- Et comment voulais-tu que je t'embrasse ? Tu as des préférences ?
Bercée par les battements frénétiques de son coeur, elle répondit à son baiser. Sur les lèvres de Jace s'attardait le goût sucré de la pomme. Elle caressa ses cheveux ; elle avait envie de la faire depuis le jour où elle l'avait rencontré. Ses doigts s'enroulèrent autour des mèches soyeuses. Son coeur aussi s'affolait. (...)
Il se pencha pour l'embrasser. Leurs lèvres se touchèrent, d'abord timidement, puis avec plus d'audace.
- C'est une fille, répondit Jace, une fois revenu de sa surprise. Tu as forcément déjà vu une fille avant, Alec. Ta sœur Isabelle en est une.»
- J’ai deviné, répondit Jace. C’est l’explication la plus probable.
- Tu as deviné ? Tu devais être sacrément sûr de toi, étant donné que tu aurais pu me tuer avec ton tatouage ! [..]
- J’étais sûr à 90%.
- Je vois…
Le garçon avait dû percevoir un changement dans la voix de Clary, car il se tourna vers elle. Elle lui assena une gifle qui manqua lui faire perdre l’équilibre. Surpris, il porta la main à sa joue :
- Pourquoi tu as fait ça ?
- Pour les 10% qui restent, répondit-elle. »
- Quoi ? fit Jace, indigné.
Alec le secoua sans ménagement.
- Tu étais censé aller faire un tour ! Qu'est-ce que tu as fabriqué pendant 6 heures ?
- C'était une longue promenade.
- Je vais te tuer, marmonna Alec en lâchant la veste de Jace. J'y songe sérieusement.
- Se serait contre-productif, non ? »
- Non, pas pour moi, déclara-t-il en plantant son regard dans le sien. »