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Les commentaires de Jordan

Commentaire ajouté par Jordan 2020-01-09T02:00:37+01:00
Diamant

Rarement eu la chance de lire un roman aussi juste, poétique et déchirant. J'ai l'impression qu'Arnaud Cathrine est entré dans mon cœur et dans ma tête pour en extraire toutes les émotions et les retranscrire noir sur blanc. Nous avons toutes et tous déjà été Vince. Revenir sur les premiers émois, les premières expérimentations et les premiers chagrins n'a jamais été aussi bouleversant.

Merci Arnaud Cathrine pour ce chef-d’œuvre d'un réalisme aussi troublant que fascinant.

Le teenage me paumé et amoureux de l'amour est comblé.

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Poignant, dévastateur et émouvant, History Is All You Left Me est un récit chargé de mélancolie qui nous sert le cœur et l’éparpille. Adam Silvera explore avec une finesse infinie et une tendresse indescriptible les impacts de la perte d’un être cher. L’amour sans l’autre, l’amour dans l’autre, l’amour qui nous quitte sans jamais nous quitter vraiment. Ses mots sont justes, vifs, presque éprouvants tant ils appuient parfaitement là où il faut. Pendant toute ma lecture, j’étais à fleur de peau, sur le fil du rasoir entre effondrement et espoir. L’atmosphère générale du récit, peu important la page sur laquelle on tombe, déborde de nostalgie et de chagrin. History Is All You Left Me est une histoire finalement dure à lire car elle nous ramène à nos craintes et tristesses profondes, aux pièces abimées et écorchées qui font partie du puzzle de nos vies. Un roman bouleversant et admirable qui m’a absolument époustouflé.

Les premières pages annoncent la couleur : dans la tête de Griffin, tout n’est que chaos et perdition. Nous pénétrons au cœur des pensées d’un héro abattu, détruit par la mort de son petit-ami, Theo. Impossible pour nous de pas vouloir le serrer dans nos bras et lui assurer que tout va s’arranger. Griffin est un personnage principal hors-du-commun, chargé d’un amour et d’un chagrin aussi abyssal l’un que l’autre. Dès lors, on s’attache à lui pour ne plus jamais nous défaire de cet amour qu’on lui voue. Il en va de même avec Jackson, un jeune homme ultra attachant, différent de Griffin mais tellement, tellement émouvant. Adam Silvera dépeint ici des héros brisés, mis en miettes suite au décès de Théo et à la disparition de cette source dont ils puisaient l’amour qu’ils recherchaient respectivement depuis toujours.

--> CHRONIQUE INTÉGRALE : https://motsdejo.wordpress.com/2018/05/08/history-is-all-you-left-me-adam-silvera/

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Commentaire ajouté par Jordan 2018-05-15T13:22:40+02:00
Diamant

Intimiste, vibrant et saisissant, Arrête avec tes mensonges est un roman qui nous emporte et nous enroule en son sein. Il émane de cette histoire à la fois brutale et infiniment douce une chaleur envoûtante qui nous berce et nous ramène à ces amours perdues, qui ne sont plus douloureuses, mais qui demeurent inoubliables. C’est un récit qui bouleverse universellement tant il vise, avec pudeur et véracité, nos émotions les plus profondes. Les destins de Philippe et Thomas sont renversants. Arrête avec tes mensonges, c’est avant tout une histoire d’amour silencieuse, qui se fait discrète parce que cachée, mais dont l’impact est retentissant auprès des héros et des lecteurs. Une romance sublimée par ses non-dits qui m’a complètement retourné et qui me restera en tête pendant longtemps.

Les premières pages imposent ce qui sera le point d'honneur de cette histoire : les mots de Philippe Besson se veulent directs mais poignants grâce à leurs envolées lyriques. Je suis instantanément tombé amoureux du style magnifique et maîtrisé de l’auteur. Pendant ma lecture, je me sentais véritablement au creux d’un cocon chaud et invisible duquel je ne voulais sortir sous aucun prétexte. Lire Arrête avec tes mensonges, c’est comme s’emmitoufler sous une couette épaisse un jour de pluie : on se sent emprisonnés de la meilleure des façons possibles dans un univers qui n’appartient qu’à nous. Philippe Besson excelle dans l’art de nous couper le souffle en déversant, noir sur blanc, les passions ardentes qui ont consumé sa jeunesse.

--> CHRONIQUE INTÉGRALE : https://motsdejo.wordpress.com/2018/05/15/arrete-avec-tes-mensonges-philippe-besson/

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Avec Les Belles, Dhonielle Clayton nous entraîne au cœur d'un univers noir et obsédant où rien ni personne n'est vraiment ce qu'il laisse paraître. À une époque où l'illusoire est plus alléchant et fascinant que la réalité, ce roman laisse entrapercevoir quelques réflexions plutôt intéressantes sur la beauté et les faux-semblants qui doivent prendre le pas sur le tangible. Si j'ai énormément apprécié cet aspect de l'intrigue, son rythme ultra entêtant et son atmosphère à la fois mystérieuse et interpellante, il m'a manqué un degré supérieur d'intensité pour totalement me prendre au jeu. En effet, même si Camélia est une héroïne forte et combative, je l'ai trouvé assez têtue et parfois trop aveugle pour m'attacher à elle au maximum. J'ai trouvé certains des protagonistes qui gravitent autour d'elle bien plus expressifs, crédibles et fouillés qu'elle et, partant de là, je me dis qu'il y a quelque chose qui cloche. Fort heureusement, les rebondissements qui peuplent cette histoire permettent de lui conférer une force certaine qui me laisse avide de connaître la suite des aventures des Belles.

Dès les premières pages, je me suis senti embarqué dans un univers ultra coloré, ultra excitant et ultra novateur. Les mots de l'auteure possèdent véritablement "le truc" qui nous permet de visualiser, autant que faire se peut, le monde qu'elle projetait en couchant ses pensées à l'écrit. Le monde d'Orléans est absolument fascinant, regorge de secrets et déborde d'un attrait qui émane pratiquement du livre. J'avais vraiment envie de m'enfoncer, aux côtés de Camélia, au cœur de ces rues, ces paysages et ces pièces magnifiques qui s'articulaient petit à petit derrière mes rétines. La plume de Dhonielle Clayton est hyper satisfaisante et parfaitement maîtrisée. Les descriptions ne manquent de rien et ne tombent pas dans le surplus inutile. On croit, sans aucune peine, à tout ce qu'elle nous expose et c'est un véritable ravissement.

Derrière ce lieu fait d'opulence et de luxe se cachent de terribles mystères qui, lorsqu'ils nous sont exposés, s'avèrent être d'énormes révélations. Tout au long de notre lecture, on sent bien qu'il y a un malaise qui s'amuse à nous étreindre de plus en plus sans jamais se dévoiler totalement. J'ai tellement aimé cet élément-clé du récit. Le climat est envoutant tout en étant, de façon sous-jacente, anxiogène au possible, presque inquiétant. Si Camélia met plus de temps que le lecteur à le comprendre, on saisit pourtant qu'il y a quelque chose de malsain qui est tapi et rôde derrière la beauté illusoire et omniprésente.

C'est d'ailleurs pour cela, comme dit précédemment, que j'ai eu du mal à me connecter à son personnage et à croire en certaines de ses émotions. Certes, Camélia est une badass, une héroïne au caractère bien tranché qui sait ce qu'elle veut et qyu est prête à tout pour les personnes auxquelles elle tient. C'est un aspect indéniable de sa personnalité qui m'a touché et qui, je l'espère, sera approfondi et encore amélioré dans la suite de la saga. Néanmoins, alors que certaines réponses sont presque littéralement sous ses yeux, elle s'enfonce, parfois, dans une spirale de questionnements inutiles ou superficiels qui m'a assez frustré. Sa sensibilité, qu'elle utilise majoritairement à bon escient, tend malheureusement vers l'aveuglement et elle se laisse alors dissiper trop facilement. Le cœur prenant le pas sur la raison, certaines de ses réactions m'ont déplu ou m'ont semblé de trop. Cependant, à l'approche des derniers chapitres, elle semble être plus réfléchie et mature et j'espère qu'elle conservera cette personnalité bien plus intéressante et supportable à l'avenir.

SUITE : https://motsdejo.wordpress.com/2018/04/09/les-belles-t-1-les-belles-dhonielle-clayton/

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Commentaire ajouté par Jordan 2018-02-20T19:51:18+01:00
Or

Vibrant et coloré, Autoboyography est un roman qui fait la part belle à toute la palette d’émotions possibles et imaginables qui découle d’une relation amoureuse. Oscillant entre passion et répulsion, l’histoire de Tanner et Sebastian nous prend aux tripes, nous déchire et nous fascine. Christina Lauren nous permet de plonger au cœur d’une intrigue contemporaine aussi touchante que juste et explore de nombreuses thématiques trop peu abordées dans la littérature contemporaine. Grâce aux protagonistes complexes et profonds qui portent cette histoire, l’auteure parvient à nous en faire voir de toutes les couleurs tout en évoquant des sensibles sujets qui, à coup sûr, en raviront plus d’un.

Le lien qui unit Tanner et Sebastian est loin d’être simple : issu d’une famille mormon, Sebastian baigne dans un univers dans lequel la religion et le culte ont une importance capitale. J’ai énormément apprécié cet aspect de l’intrigue car, dès lors, tout un tas d’informations concernant la théologie du mormonisme nous est offert. Ceci, au-delà de nous permettre d’en apprendre beaucoup plus sur les croyances et pratiques de cette communauté, est un véritable atout pour mieux cerner, comprendre et identifier le personnage de Sebastian. A l’instar de Tanner, c’est un héros ambiguë, mature, à la fois sûr de lui mais qui se cherche encore en profondeur sur certains traits de sa personnalité. Indéniablement, c’est ici que se cache la force de l’auteure : ses héros sont humains, crédibles et époustouflants. Contrairement à Sebastian, Tanner est un jeune homme qui se connaît et est déterminé, il ne s’attend juste pas à la tempête que va représenter l’entrée de Sebastian au creux de son existence.

CHRONIQUE COMPLÈTE : https://motsdejo.wordpress.com/2018/02/14/autoboyography-christina-lauren/

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Or

Dans un monde alternatif où il est possible de connaître la date exacte de sa mort, il existe une application – Last Friend – qui va permettre à Rufus et Mateo, dont le destin est scellé, de se rencontrer et de nous éclater le cœur. En effet, They Both Die at the End est un véritable coup de poing, une lecture à la fois philosophique et introspective qui pousse son lecteur à la réflexion et le prend aux tripes. Adam Silvera nous livre ici un récit étonnamment lumineux et plein de vie, à la fois drôle, pétillant et doté de leçons de vie absolument inoubliables. Et vous, que feriez-vous s’il ne vous restait qu’une seule journée, à peine vingt-quatre heures, à vivre ?

C’est en utilisant cette question à la fois effrayante et pleine de possibilités comme point de départ que l’auteur est parvenu à créer des héros émouvants, uniques et absolument fascinants. Sans surprise, Mateo et Rufus portent cette histoire avec brio. Dès les premières pages, on s’attache à eux, c’est plus fort que nous. Bien que très différents, ils parviennent à nous toucher en plein cœur. Je suis follement tombé amoureux de leurs personnalités, leurs passés, leurs souvenirs et leurs désirs de vivre une dernière fois avant que tout ne s’arrête. Séparément, ils sont attachants. Ensemble, ils représentent une véritable force de la nature qui nous émerveille. Leur duo est tout simplement grandiose : leurs caractères se juxtaposent à la perfection, ils sont à la fois complémentaires et présents l’un pour l’autre autant qu’ils se cherchent, se perdent et se retrouvent dans leurs craintes et la joie qu’ils ressentent face à leur relation naissante. J’ai énormément aimé assister à l’évolution du lien qui les unit. Une journée, c’est très court et, pourtant, Adam Silvera nous tient en haleine d’un bout à l’autre de son récit alors qu’il ne décrit que quelques heures passées aux côtés de protagonistes loin d’être les seuls dans cette situation critique. C’est absolument déconcertant et fascinant.

CHRONIQUE COMPLÈTE : https://motsdejo.wordpress.com/2018/02/20/they-both-die-at-the-end-adam-silvera/

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Commentaire ajouté par Jordan 2017-12-27T22:40:12+01:00
Or

Poignant et déchirant, Poussière d'Homme est un véritable crève-cœur, une ode à ces amours perdues qui ne nous quittent jamais vraiment. David Lelait-Helo nous offre ici, grâce à sa plume à la fois intimiste et foudroyante, un récit sur l'absence et la douleur qui en découle. Les mots sont frappants, authentiques et terriblement justes. En couchant sa tristesse, l'auteur nous ramène, nous lecteurs, inévitablement à la nôtre. Si l'abondance de détails des premières pages m'a semblé oppressante, très vite, je me suis aperçu que cette omniprésence de précisions n'était là que pour souligner le réalisme de cette histoire. Ce héros, c'est nous. David Lelait-Helo nous jette dans la gueule du loup, nous nous retrouvons inexorablement piégés dans un tourbillon d'émotions profondément humaines et qui nous ramènent à nos propres craintes et nos propres cicatrices. Poussière d'Homme est l'un des romans les plus beaux et les plus honnêtes sur des sentiments parfois trop mis de côté ou ignorés. Poussière d'Homme, c'est de la mélancolie et de la nostalgie à l'état pur, un témoignage brut sur ce qu'il reste de nous après que l'autre soit parti, après qu'un pan de notre univers se soit effondré.

L’indicible douleur du héros s'empare rapidement de nous et, bien que j'ai trouvé que l'auteur soulignait beaucoup l'aspect viril et peu efféminé de ce personnage central, impossible pour nous ne pas nous identifier à ce narrateur dévasté. Son histoire est dure, bouleversante et inoubliable. Les pages s'enchaînent, comme animées d'une vie propre, tant on a besoin d'arriver au bout de ce chemin éprouvant. Les ultimes mots sonnent à la fois comme une délivrance et un adieu impossible. La vie, la mort, l'amour, la fin, tout cela ne fait plus qu'un dans lequel on se noie. Poussière d'Homme est une claque, une véritable prise de conscience.

Un récit puissant et incontournable que je recommande vivement.

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Diamant

http://wandering-world.skyrock.com/3281833024-FIREBIRD-T-1-A-THOUSAND-PIECES-OF-YOU.html

Allons droit au but : A THOUSAND PIECES OF YOU est un énorme coup de cœur. Je suis tombé amoureux d’absolument tout dans cette histoire : l’héroïne, l’écriture de l’auteure, les rebondissements, la poésie et la mélancolie qui se dégagent du roman et même (attention !) le triangle amoureux (et j’en suis le premier surpris). Claudia Gray nous offre ici la possibilité de faire un voyage tout simplement incroyable et inoubliable. J’ai été ému aux larmes, j’ai ri, j’ai suffoqué, j’ai paniqué, j’ai eu des papillons dans le ventre… Bref, ce récit nous fait véritablement traverser toute une palette d’émotions différentes et vraiment intenses. Je me suis précipité sur internet afin de recevoir la suite dans les plus brefs délais tant j’ai besoin de retrouver Marguerite et son univers à la fois grisant et passionnant.

L’intrigue commence in medias res, idée de l’auteure que j’ai trouvé absolument brillante. Pas le temps de prendre notre souffle, nous voilà déjà embarqués, aux côtés de Marguerite et Theo, au cœur de l’intrigue. Nous découvrons donc, très rapidement, leur caractère respectif et cela a été un bonheur infini. Marguerite m’a touché comme rarement des héroïnes de romans l’ont fait jusqu’à présent. Elle est brillante, émouvante, ultrasensible, prête à tout pour sauver ceux qu’elle aime et tellement, tellement humaine. Si quelques personnes peuvent être agacées par les moments qu’elle passe à se remémorer les souvenirs de son père et a parlé du manque qu’elle ressent depuis son départ, j’ai trouvé, au contraire, que cela ne faisait qu’apporter encore plus de profondeur et de beauté à son personnage. Marguerite est une jeune femme complètement crédible qui m’a touché en plein cœur et m’a ébloui. Elle n’a pas froid aux yeux et est dévouée à son entourage. Honnêtement, je crois qu’attendre pour la retrouver dans le second opus va me paraître horriblement long. Elle me manque énormément.

Il en va de même avec Theo et Paul qui sont deux protagonistes masculins juste époustouflants. Complexes, concrets, intenses et fascinants, ils sont tous les deux à la fois très différents et pourtant également attachants. Si, au départ, notre avis à leur sujet est plutôt manichéen, A THOUSAND PIECES OF YOU nous rappelle que rien n’est ni tout blanc ni tout noir dans la vie et que, bien souvent, toute situation est, finalement, faite de nuances de gris. Les deux jeunes hommes m’ont captivé et, tout comme ils l’ont fait avec Marguerite, ont capturé une partie de mon cœur et de mes pensées. Claudia Gray est, sans l’ombre d’un doute, extrêmement douée pour décrire ses héros et les doter d’une humanité et d’une splendeur éblouissantes.

Comme dit précédemment – et, maintenant que vous savez à quel point j’aime Theo, Marguerite et Paul, vous comprenez certainement – je suis tombé raide dingue amoureux du triangle amoureux qui naît et s’épanouit sous nos yeux. La façon dont Claudia Gray dépeint les sentiments de ses trois personnages est tellement parfaite et impressionnante que j’en suis encore sidéré. Tout est logique et entièrement réaliste. Chaque émotion est décrite avec brio et mélancolie et j’ai tellement, tellement aimé cela. Il y a une poésie qui émane de ce récit qui m’a complètement désarmé et pris de court. J’ai été complètement envahi par l’histoire grâce à la plume juste divine et déchirante de l’auteure.

Côté rebondissements, tout est aussi enivrant. D’un bout à l’autre de l’histoire, les surprises s’enchaînent à une vitesse folle et nous renversent. Certains retournements de situation sont absolument grandioses et inattendus au possible. Ils changent complètement la donne et, ainsi, on a l’impression de découvrir plusieurs intrigues en un seul roman. Claudia Gray maîtrise parfaitement l’art du suspense et de la tension. Grâce au Firebird, nous voyageons dans différentes dimensions, différentes régions et différentes époques qui sont à la fois magnifiques, hyper visuelles grâce aux descriptions sans défaut de l’auteure et véritablement saisissantes. On ne sait plus où donner de la tête tant tout est beau et prenant. L’intrigue est extrêmement solide, tout se lie, s’entremêle et s’entrechoque avec beaucoup d’intelligence et de rythme. Rien n’est laissé au hasard et, jusqu’à la fin, toutes les cartes sont cesse redistribuées. La conclusion m’a, d’ailleurs, énormément surpris et m’a laissé bouche bée. Les ultimes révélations sont frappantes au possible et, bien que le plus gros des évènements soit réglé, il me tarde vraiment terriblement de lire la suite. La fin du roman est vraiment géniale puisqu’elle nous propose la résolution d’un certain nombre de problèmes tout en laissant quelques portes ouvertes pour le deuxième volet. Un final explosif et ultra prometteur qui est un véritable reflet de l’histoire globale, finalement.

En résumé, A THOUSAND PIECES OF YOU est un livre qui m’a profondément marqué. Je me répète, mais la plume de Claudia Gray est chargée d’une émotion et d’une intensité qui m’ont véritablement touché en plein cœur. Il en va de même avec Marguerite, Theo et Paul qui forment un trio adorable et ultra attendrissant. Ce premier opus de la trilogie FIREBIRD est aussi fascinant émotionnellement qu’il est endiablé et volcanique au niveau de ses rebondissements. Aucun point noir à signaler ici : A THOUSAND PIECES OF YOU est une lecture mémorable et hypnotique qui, je l’espère vraiment, sera prochainement traduite en français !

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Commentaire ajouté par Jordan 2016-08-15T19:08:19+02:00
Diamant

http://wandering-world.skyrock.com/3281287458-SWEET.html

SWEET, c'est une petite bombe. C'est une de ses lectures rares et absolument divines qui nous transportent grâce à leur rythme incroyable et leur atmosphère ultra addictive. Je pense que je tiens-là ma lecture angoissante et gore de l'été et de l'année 2016. Vraiment. SWEET résonne comme un véritablement changement d'air et j'ai adoré cela. Ici, pas d'histoire de maladies, de cancers, d'amours impossibles ou encore de créatures mystiques. Non, au contraire : une intrigue explosive et captivante au beau milieu de l'océan avec, comme principaux thèmes, la dépendance et la critique d'une société à la recherche du corps parfait sur fond d'horreur et de luxe. Mon dieu, que ce cocktail est grisant. Je pense que je n'aurais pas pu lire SWEET à un meilleur moment de l'année : sous le soleil, au bord de la piscine, totalement détendu et prêt à m'engager au cœur d'un voyage littéraire aussi asphyxiant qu'exaltant. Cette histoire est indéniablement un de mes coups de cœur de l'été grâce à son intrigue inédite et terriblement palpitante.

Pour commencer, et cela va sûrement paraître surprenant vu l'ambiance du roman, j'ai trouvé SWEET vraiment très, très drôle. En effet, l'héroïne principale, Laurel, est aussi charmante et intelligente qu'elle est hilarante et pleine de répartie et j'ai trouvé cela absolument génial. C'est jeune femme pleine de confiance en elle concernant certains domaines et bien plus réservée sur d'autres et cela lui confère une personnalité hyper attachante qui m'a énormément plu. Laurel ne se laisse pas marcher sur les pieds et est déterminée. Faire sa connaissance et passer du temps à ses côtés a été un véritable plaisir. De plus, le duo qu'elle forme avec sa meilleure amie, Viv, apporte encore une touche de dynamisme et d'humour à l'histoire. Les deux adolescentes s'adorent et leur amitié et parfaitement crédible d'un bout à l'autre du roman. Je me suis éclaté avec elles, tout simplement. Je ne trouve pas d'autres termes pour décrire ce que j'ai ressenti à part ceux-ci, quand j'y réfléchis. J'écris ces mots à leur sujet avec le sourire aux lèvres, élément déjà amplement suffisant pour me faire dire que ce sont des héroïnes que j'ai adoré. Laurel est incroyable, drôle et émouvante et elle me manque déjà énormément.

SWEET est, de plus, écrit du point de vue de Tom, jeune homme célèbre et brisé qui m'a entièrement convaincu également. J'ai beaucoup aimé pouvoir découvrir sa perspective sur les évènements qui prennent place à bord du paquebot et sur les effets du Solu sur ses voyageurs. Tom qui, en apparence, semble superficiel et hautain au possible s'avère, finalement, être un garçon hyper adorable et auquel je me suis vraiment attaché. Par ailleurs, sa relation avec Laurel évolue plutôt progressivement et m'a semblé assez logique bien que, peut-être, un peu trop rapide. Néanmoins, j'ai adoré l'équipe qu'ils formaient et le fait qu'on sente bien qu'ils étaient vraiment unis. Les héros créés par Emmy Laybourne sont tous vraiment épais et possèdent un caractère bien défini. Honnêtement, je ne trouve rien du tout à leur reprocher. SWEET est véritablement un récit sans aucun défaut.

Passons à l'intrigue, puisque c'est LE point qui m'a le plus renversé. Les choses commencent calmement, je dirais. Rien de bien impressionnant n'a lieu même si, dès le départ, on sent bien que le vent va rapidement tourner. Tout est trop parfait, trop lumineux, trop beau pour que la tendance ne s'inverse pas. Petit à petit, on s'aperçoit que des taches d'ombre apparaissent sur ce tableau parfait. Puis, sans que nous n'en ayons vraiment conscience, nous nous retrouvons au cœur d'un chaos à la fois électrisant et passionnant. Vraiment. SWEET est tellement, tellement saisissant. Les descriptions sont hyper visuelles, le climat est angoissant et terrifiant dans le meilleur des sens et le rythme ne fait qu'aller crescendo. D'ailleurs, l'écriture de l'auteure est très cinématographique. Certaines scènes sont si bien décrites (sans aucune longueur, en plus) que j'avais l'impression d'admirer une fresque. Je n'avais jamais ressenti ça jusqu'à présent. L'auteure parvient à rendre sans difficulté ce qu'elle a en tête et c'est extrêmement impressionnant. On ne fait pas que lire le roman, on EST dans le roman. Très vite, la terreur s'empare de nous. Plus les jours passent, plus les effets du Solu deviennent dévastateurs et Laurel va tout faire pour s'en sortir. Ses espoirs et ses peurs deviennent immédiatement les nôtres et, vraiment, j'ai trouvé cela grandiose. On est pris corps et âme par cette histoire. Les rebondissements s'enchaînent et les coups de théâtres qui s'entremêlent nous effraient autant qu'ils nous captivent. Il y a quelque chose de profondément malsain dans ce roman qui nous fait perdre la tête et nous pousse à en demander encore plus. J'ai dévoré SWEET en moins d'une journée tant son rythme, ses personnages et son écriture sont enthousiasmants et galvanisants au possible.

Jusqu'à la conclusion, l'allure ne diminue jamais. On a aussi bien le souffle coupé que le cœur qui bat la chamade. L'ambiance apocalyptique du navire nous enivre et nous emporte. Cependant, après un final sans défaut, j'ai trouvé l'ultime chapitre bien trop ouvert à mon goût. Même si tout est fait pour que nous sachions vers quoi l'avenir de Laurel et Tom tend à évoluer, je reconnais qu'en savoir plus n'aurait pas été de trop. Cette fin colle parfaitement à l'ambiance du récit mais reste – et c'est bien dommage – trop large et évasive à mes yeux. C'est le seul petit reproche que je pourrais faire à l'auteure bien que, avec seulement trois pages qui ne me conviennent pas sur la totalité de l'histoire, je ne pense pas être en mesure de me plaindre.

En résumé, SWEET est un livre que j'ai adoré. C'est frais, c'est prenant, c'est terrifiant, c'est dynamique : bref, tout ce que j'aime. Les héros que nous rencontrons m'ont tous complètement charmé, la plume de l'auteure est digne d'un scénario de cinéma et l'intrigue du récit et son évolution sont absolument époustouflantes. Malgré une fin un peu trop ouverte à mes yeux, SWEET est un gros coup de cœur car c'est un livre vraiment rafraîchissant et plein de nouveautés. Des romans comme celui-ci, je pense que je n'en aurai jamais assez. Une lecture étourdissante et éblouissante sur laquelle je vous conseille de vous jeter dès sa sortie en France !

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Commentaire ajouté par Jordan 2016-08-11T19:49:45+02:00
Diamant

http://wandering-world.skyrock.com/3281147478-A-WORLD-WITHOUT-YOU.html

A WORLD WITHOUT YOU est un très beau coup de cœur. Ce roman m'a pulvérisé et m'en a fait voir de toutes les couleurs. Beth Revis nous offre, ici, un récit à la fois poignant et dramatique qui revient sur des émotions fortes comme le deuil, le déni, le chagrin et le refus de la réalité sur fond de maladie mentale. J'ai absolument adoré cette histoire. Bo est un personnage terriblement attachant qui m'a pris aux tripes et qui m'a profondément ému. Très rapidement au cours de notre lecture, on ne désire qu'une chose : le serrer dans nos bras et lui assurer que tout va s'arranger. De plus, Beth Revis ne met rien de côté en faisant des membres de la famille de Bo des protagonistes essentiels à l'histoire. J'ai tellement, tellement aimé cela. Tout est fait pour que ce récit soit le plus crédible possible et l'auteure est parvenue à rendre son histoire totalement réaliste. C'est aussi magnifique que c'est bouleversant, tout comme le roman.

En découvrant le résumé de ce livre sur Goodreads, j'avais un peu peur qu'il en dévoile trop et que nous soyons obligés de revivre les évènements que le synopsis aborde déjà. Fort heureusement, ce n'est pas du tout le cas. Nous rencontrons Bo juste après le décès de Sofia et sommes, dès lors, immédiatement plongés au cœur de l'intrigue. Bo est un jeune homme persuadé d'avoir des superpouvoirs alors qu'il est, en vérité, enfermé dans un établissement spécial pour les jeunes souffrant de troubles mentaux. Si les choses semblent parfaitement définies, dès les premières pages, nos convictions se voient être renversées. En effet, j'ai été complètement déboussolé et déstabilisé à plusieurs reprises tant le génie de l'auteure est infini. Bo réussit à nous convaincre que sa réalité est la bonne et que nous avons été trompés. A WORLD WITHOUT YOU m'a énormément rappelé LUCIDES de Ron Bass et Adrienne Stoltz ou encore JE T'AI RÉVÊ de Francesca Zappia de par cet aspect-ci. Bo nous fait perdre tous nos repères et je suis tombé amoureux de cette sensation. J'adore les romans qui me font perdre pied et celui-ci y est parvenu avec énormément d'émotions et de créativité. Bo est véritablement un garçon touchant. Il est brisé et perdu depuis la disparition de Sofia et Beth Revis a parfaitement réussi à rendre ce désespoir et cet abandon à l'écrit. A WORLD WITHOUT YOU est indéniablement un livre sans lumière. Ce roman, c'est de la tristesse, du déni et de la mélancolie à l'état pur. Forcément, j'ai adoré cela. Toutes nos émotions sont décuplées pendant notre lecture. Tout y est plus fort, plus asphyxiant, plus entêtant. La maladie mentale de Bo y est forcément pour quelque chose étant donné que son obsession devient rapidement la nôtre et que l'on se retrouve comme aspirés dans cette spirale de questions et de douleur infinie. J'ai été renversé par Bo et par ses pensées, aucun doute là-dessus.

Comme dit précédemment, Beth Revis ne met aucun personnage de côté. La famille de Bo est omniprésente d'un bout à l'autre de l'histoire et pouvoir découvrir la situation d'après sa perspective a été une vraie opportunité. Quelques chapitres sont écrits du point de vue de Phoebe, la sœur de Bo, et j'ai trouvé ces derniers absolument époustouflants. On sent bien que c'est tout un univers qui est touché et éprouvé par la maladie de Bo et non pas seulement notre héros. L'auteure nous permet de découvrir des êtres en souffrance qui tentent de s'accrocher au moindre espoir. Certaines scènes m'ont tiré des larmes tant je les ai trouvé criantes de vérité et d'humanité. A WORLD WITHOUT YOU ne peut pas vous laisser de marbre, c'est impossible. Tout y est bien trop réel, bien trop perturbant, bien trop marquant. Beth Revis a choisi la carte de l'honnêteté mais également celle de l'émotion et je dois bien avouer que la rencontre entre les deux m'a complètement dévasté.

A WORLD WITHOUT YOU nous permet également d'en apprendre beaucoup plus sur les différentes dégénérescences mentales qui existent. Cet aspect – plus scientifique, certes – du roman m'a également totalement conquis. On assiste, impuissants, à l'évolution de la folie et des délires de Bo et cela m'a coupé le souffle. Vraiment. On sait pertinemment qu'on ne peut rien faire et, dès lors, assister à cette chute progressive mais inévitable devient aussi angoissant qu'addictif. On se demande jusqu'où Bo est prêt à aller, jusqu'où son déni et son refus d'affronter la réalité vont le porter et, surtout, on se met, petit à petit, à comprendre pourquoi et comment il en est arrivé à un tel point. Tous les éléments de sa maladie nous paraissent justifiés à la fin du roman. Qui n'a jamais souffert de la perte d'un proche au point de vouloir tout quitter, même le vrai monde, pour éviter cette incommensurable douleur ? Bo nous ramène à ce qu'il y a de plus humain, de plus secret et plus brisé en nous et je crois que c'est ce qui m'a tant époustouflé dans cette histoire.

En résumé, A WORLD WITHOUT YOU est une lecture renversante et inoubliable. Je suis persuadé que Bo va longtemps me hanter et que je vais porter le poids de ce récit et des leçons qui en émanent pendant encore quelques temps. Beth Revis nous livre, à travers des héros qui ont fait exploser mon cœur, une histoire forte en émotions, en réalité et en humanité. A WORLD WITHOUT YOU, c'est une dose de chagrin pur qu'on s'injecte directement dans les veines. Je suis peut-être cinglé mais j'ai trouvé cette expérience absolument merveilleuse. Bo me manque déjà énormément, même si je sais qu'il ne va pas me quitter de sitôt. Une histoire déchirante et émouvante qui, je l'espère, sera prochainement traduite en français car elle mérite d'être mise entre le plus de mains possibles.

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