Après avoir dévoré la série Calendar Girl, j’attendais avec impatience la sortie d’International Guy. Déjà parce que j’aime le style léger, simple et addictif de l’auteur, et ensuite, j’étais curieuse de voir ce qu’elle allait faire avec, non pas un, mais trois héros mâles !

Pour l’instant, on voit principalement Parker, le Dream Maker. Bo et Royce sont aussi de la partie, mais ils sont plus en retrait (dommage, car je sens que Royce est bien parti pour être mon préféré !)

On se retrouve donc en présence de trois marraines la Bonne Fée !

Oui, ces hommes sont là pour changer nos vies ! Bon, surtout la vie des femmes riches, célèbres ou de pouvoir pour l’instant, mais ils sont là pour faire fonctionner la magie.

Le premier tome ne m’a pas autant accroché que celui de Calendar Girl mais… oui y a un gros MAIS !... il ne faut pas oublier qu’ils sont trois à se partager l’affiche et qu’il faut présenter et mettre en scène ces trois mâles (pour un livre de la même épaisseur.)

La suite de ma chronique est disponible sur mon blog : http://sousmaplume13.canalblog.com/archives/2018/08/02/36603003.html

En lisant les premières pages, j’ai eu du mal à voir un lien avec le résumé. J’ai cru me retrouver dans une romance d’adolescents, et ça a failli me refroidir. Non pas que je n’apprécie pas ce genre de lecture, mais ce n’était pas ce qu’on me promettait à la base. Mais petit à petit, je me suis laissée prendre au jeu.

Le début est nécessaire pour comprendre la relation et surtout l’amitié qu’il y a entre Phoebe et Alithia, parce que sans elle, il n’y aurait pas d’histoire !!

D’un côté, on a la française peu sûre d’elle, de l’autre l’américaine qui assure ! Mais cette différence, au lieu de les séparer, va les rapprocher ! Et quand Alithia retourne aux Etats-Unis, leur amitié reste forte et survit à la distance ! Et c’est comme ça que l’on va assister à leurs retrouvailles, huit ans plus tard !

Les deux jeunes filles ont changé… les expériences de la vie (bonnes ou mauvaises) les ont changé et elles appréhendent un peu les retrouvailles. Mais une fois face à face, c’est de nouveau comme avant !

Et c’est en allant retrouver son amie pendant trois mois, que Phoebe fait la connaissance de Jason. On peut dire que la première rencontre est électrique, et que les différences et les clichés fusent des deux côtés !

Ce livre est un vrai rafraîchissement ! Ok, ils se prennent la tête, souvent pour pas grand-chose, mais ils sont touchants tous les deux ! On sent que, malgré les différences (leur origine, leur vécu… l’opposition ville/campagne, modernité/tradition…), il y a tout de suite quelque chose de fort entre eux. Ils sont très terre à terre dans leur relation (au moins au début), mais on sent que le coup de foudre à frapper… Cependant, ce serait beaucoup trop facile de le reconnaître dès les premières pages !

En plus, ils sont entourés d’une batterie de personnages qui sont tout aussi attachants et qui mettent de la vie dans ces pages !

J’ai vraiment passé un bon moment en lisant ce livre, surtout après avoir passé le descriptif de leur enfance et de la rencontre entre les deux miss ! Et je me prenais au jeu à tel point que j’avais envie de prendre Phoebe et Jason par la peau du coup et cogner leurs têtes ensemble pour leur remettre les idées en place ! Il faut dire que dans ce livre, il n’y a pas d’approche du style « Conte de fée » « Et il vécurent heureux… »… c’est plutôt que, quand on aime quelqu’un, on a des points communs, mais il faut aussi accepter les différences et faire des concessions. Les idées arrêtées et bornées ne peuvent que nuire et il faut se battre pour ce qu’on veut !

Après le plaisir que j’avais eu à lire Gabriel, j’avais hâte de lire celui sur Matt. Il faut dire que Matt est le petit chouchou de ces dames ! C’est peut-être même le personnage le plus apprécié de l’univers Carter Corp (voir des jeux Is It Love).

Cette fois-ci, Angel Arekin cède la place à Eva de Kerlan pour diriger l’orchestre.

L’héroïne, Emma, est un peu comme un bonbon : douce et sucrée, mais avec ce petit côté piquant et pétillant (elle est un peu plus douce que celle qu’on a dans le jeu). On retrouve aussi Daryl, le jumeau canaille, avec son humour à lui et son côté caustique (enfin, la version Daryl de l’épisode de Matt… je le vois plus… épicé… là, il est un peu trop doux, trop gentil.)

Et il y a Matt…. le gentil Matt… le sexy Matt…

Eva de Kerlan a su retranscrire la personnalité du personnage, mais elle passe quand même à côté d’une partie du personnage. L’auteur a une belle plume, mais trop de poésie et d’enrobage rend Matt un peu trop guimauve. On retrouve son humour, mais il manque un peu de répondant. Certaines scènes ont souri alors qu’on aurait pu rire aux éclats. Il manque ce degré de folie qui caractérise le Matt dont on est tombé sous le charme.

Après, j’ai lu des avis où les miss se plaignaient qu’il n’y ait pas plus de scènes de sexe… Autant, dans Gabriel, elles collaient avec le personnage, l’ambiance, et tout… Autant dans Matt, je ne vois pas l’intérêt de mettre du sexe pour du sexe. On va pas se cacher, on aime voir les personnages échanger leurs sueurs (on peut avoir le supplément chantilly ?). Mais il ne faut pas que ça occulte tout le reste et qu’on n’ait que ça.

Bref, nous sommes face à un livre qui adapte très bien le jeu, qui nous permet de passer un très bon moment mais on reste sur notre faim, car il manque ce petit plus qui l’aurait élevé à la même place que Gabriel !

J’ai hâte de découvrir quel sera le prochain personnage adapté (la logique voudrait que ce soit Ryan) et surtout quelle sera la plume aux commandes. Car c’est aussi ça que j’apprécie avec ces livres, découvrir un nouvel auteur dernière chaque histoire.

Gabriel…. Ah Gabriel !

C’est le premier personnage à avoir été traité dans le jeu, normal qu’il ait la première place pour les livres !

Je sais que beaucoup n’apprécie pas le personnage (surtout dans le jeu), car il a une attitude assez particulière vis-à-vis de l’héroïne

Contrairement au jeu, le livre approfondit le personnage de Gabriel. Il faut dire qu’un roman permet plus d’amplitude de ce côté-là. Exit les choix à tout bout de champ, on fonce droit au but ! Et on peut dire qu’il sait ce qu’il veut le Gaby (allez hop, mademoiselle ! Petite séance de sport dans le bureau !)

C’est grâce au livre sur Gabriel que j’ai découvert la plume d’Angel Arekin (en dehors du scénario écrit pour le personnage de Colin). Et j’ai tout de suite accroché à ce style assez direct, qui change de ce que j’ai l’habitude de lire (résultat, je me retrouve avec un partie de la saga des Mordret dans ma bibliothèque… chroniques à venir !!)

Au début, je me demandais comment ce style allait correspondre à Gabriel (eh oui, c’est la première histoire que j’ai joué… même si c’est pas mon perso préféré, je vais le défendre le bougre !). J’avais une petite appréhension en commençant ma lecture. Mais la plume fluide et vivante d’Angel a très vite balayé tout ça (nettoyage impec ‘ !) L’histoire est rythmée, cadencée, et même si on connaît l’histoire par le jeu, c’est un plaisir de la redécouvrir. Car il ne faut pas oublier que le roman est adapté ! Forcément, l’histoire ne sera pas exactement la même !!

Et les petites piques que se lancent Gabriel et Ashley, c’est juste du bonjeur ! Et ça a même provoqué son lot de fous rires. Car la première fois qu’Ashley l’appelle Berlinetta…. j’ai compris Bayonetta… imaginer Gabriel avec de grandes cuissardes de cuir… ça a failli me tuer !!

On retrouve de nombreuses scènes clés, ces mêmes scènes qui nous ont fait rêver dans le jeu, et qu’on apprécie toujours autant ! Autant, pour chaque chapitre, il fallait attendre 3 semaines pour une nouvelle sortie, autant là, on peut se laisser aller et dévorer goulument cette histoire ! Parce qu’il ne faut pas se le cacher, elle est addictive ! Impossible de lâcher le livre tant que le mot fin n’apparaît pas !!

Angel Arekin a vraiment fait du beau boulot ! Et elle a su faire apprécier le personnages même à celles qui ne l’aimaient pas trop !

Moi et la Confrérie de la Dague Noire, c’est le Grand Amour depuis le premier jour. Mais vraiment vraiment ! J’attends chaque nouveau volume avec une impatience dévorante !

Alors je reste réaliste, il y a des tomes qui sont moins prenant que d’autres… mais c’est le cas de nombreuses séries ! Et c’était un peu le cas des derniers sortis, mais celui-là, il remonte la pente sans problème !

Dans ce volume, la trame principale, c’est le couple Xcor / Layla… Bon Layla, je l’aime pas…. C’est pas sa faute (enfin pas trop) mais elle ne se remet pas en question, ou pas avec les bonnes questions. Comme on l’a vu dans les précédents volumes, Layla a eu des jumeaux avec Qhuinn (pour les détails du pourquoi du comment, je vous laisse lire la série, surtout à partir de l’Amant Désiré). Quand ce dernier apprend que, lorsqu’elle était enceinte, elle allait voir Xcor (en tout bien tout honneur) alors qu’il est leur ennemi, Quinn voit rouge… et franchement, j’ai vraiment ressenti sa rage et sa colère dans les lignes du livre. Il m’a vraiment fait mal au cœur parce que personne ne cherche à comprendre ce qu’il ressent. Bon, il n’est pas tout blanc (surtout dans sa façon de gérer sa colère et son attitude envers Blay), mais on sent le père qui se soucie de ses enfants. Alors que la Layla…. se pointer enceinte chez un tueur, ben ça la dérange pas plus que ça… elle ne voit même pas où ça cloche ! Et le pire, c’est que toute la gente féminine du Manoir la défend (moi, je lui aurait surtout mis une paire de baffes !)

Xcor, lui est plus complexe ! Autant dans les volumes précédents, je lui aurais fait la peau, autant là, il m’a bien plu. On sent qu’il est prêt à faire de nombreux sacrifices, que ce qu’il ressent est sincère. Il a vraiment eu une très belle évolution dans la série, et j’aime bien ce qu’en a fait J.R. Ward. Car même s’il évolue, il reste le chef des Bâtards ! Ce n’est pas un changement radical, j’aime ce côté chez lui. Il suit sa ligne de conduite. Et bon, la nouvelle qu’on apprend sur lui dans le livre n’est pas des moindre !

Vous trouverez ma chronique complète sur mon blog : http://sousmaplume13.canalblog.com/archives/2018/07/27/36590137.html

Au début, je voulais faire une chronique pour chacun de ces livres, mais impossible… L’un ne va pas s’en l’autre, comme Ciaràn ne va pas sans Abigael.

Nous avons ici deux livres pour essayer de cerner l’incernable Ciaràn.

Que nous réserve-t-il ? Quelles sont ses idées tordues ? Que va-t-il faire d’Abigael ?

C’est une histoire un peu sombre, qui explore les recoins de nos personnalités, et surtout le côté sociopathe de Ciaràn. On apprend à découvrir ce qui se cache derrière ce mot, les actions que ça peut entraîner ainsi que leurs conséquences. L’histoire montre tout un empiècement complexe et captivant à la fois ! Et si on ne sait pas trop ce qui nous attend au début, on se laisse entraîner dans l’aventure et on lit chaque page avec impatience et fébrilité !

Ce qui est intéressant, c’est que Sans Cœur nous présente l’histoire du point de vue d’Abigael, et Sans Ame nous raconte la suite du point de vue de Ciaràn, et cela permet d’avoir une vision assez intéressante ! Et de découvrir les personnages de différentes manières !

Vous trouverez ma double chronique sur mon blog : http://sousmaplume13.canalblog.com/archives/2018/09/09/36690486.html

On a croisé Declan dans Love Business.

Monsieur avait percé rapidement à jour le petit tour que Béni jouait à sa famille et comptait bien en profiter pour avoir quelque chose qu’il désire… et ce quelque chose, c’est Merryn, l’assistante de Béni.

Une fois encore, Angel Arekin utilise les mots comme un peintre utiliserait son pinceau, avec efficacité, chaque mouvement nous entraînant encore plus dans son œuvre. Chaque mot est utilisé avec précision, déclenchant en nous tout un éventail de sentiments et d’émotion. C’est cette souplesse dans son écriture, cette justesse dans le choix des phrases et des expressions qui rendent l’histoire vivante, prenante et tout simplement addictive ! Quand j’ai commencé à le lire, j’ai eu beaucoup de mal à lâcher le livre pour faire autre chose. On se plonge tellement facilement dans l’histoire, que l’on veut connaître la suite des aventures des personnages le plus rapidement possible.

Comme toujours, Angel Arekin nous régale avec des personnages hauts en couleurs !

Merryn a tout de suite su me toucher. Elle semble avoir une vie normale, un travail, un petit ami… sauf que Declan occupe un peu trop ses pensées, surtout depuis une certaine nuit qu’ils ont passée ensemble. Merryn m’a aussi touchée, car elle est assez critique vis-à-vis de son apparence comme n’importe quelle femme puisse l’être envers elle-même… elle perçoit le moindre petit défaut comme quelque chose qui la rend moins belle, alors qu’elle est juste magnifiquement femme (et oui, arrêtons de voir les vergetures et autres petites « imperfections » comme des tares !)

Vous trouverez ma chronique complète sur mon blog : http://sousmaplume13.canalblog.com/archives/2018/09/06/36682823.html

J’ai découvert la plume d’Angel Arekin grâce à son livre sur Gabriel de la saga Is It Love.

Déjà à l’époque, j’avais adoré sa plume à la fois fluide et piquante ! On ne s’ennuie pas une seule seconde !

Et on retrouve cette plume efficace dans Love Business ! Dès les premières lignes du livre, on se fait happer dans l’histoire. C’est tellement addictif qu’on a du mal à lâcher le livre, ne serait-ce que pour quelques minutes ! Il faut le noter et l’apprécier, car c’est difficile de trouver ce genre de livre qui sait nous attacher avec son histoire.

Avec Love Business, le pari est gagné !

Le pitch ne parait pas hors du commun, une jeune femme faisant appel à un escort, mais d’une ligne directrice simple, l’auteur arrive à en faire une aventure qui nous tient en haleine à tout moment ! On suit les rebondissements avec délectation, on attend les échanges avec impatiences, ces petites joutes verbales si vivantes ! Finalement les choses simples font les meilleures histoires !

Vous trouverez ma chronique complète sur mon blog : http://sousmaplume13.canalblog.com/archives/2018/09/05/36680252.html

En surfant sur le site d’Elixyria, la couverture de ce livre avait accroché mon regard, et le résumé m’avait intriguée. J’étais curieuse et je voulais découvrir cette histoire. J’ai donc profité d’une offre pour l’acquérir au format ebook (Elixyria fait de nombreuses offres, vous pouvez les découvrir sur leur page Facebook)

Je me suis donc plongée avec envie dans cette lecture. Mais, elle me laisse un sentiment d’inachevé.

Je ne dirai pas que j’ai été déçu par ma lecture, mais il manque quelque chose. Et il y a des petits écueils à mon avis.

Au début, je trouve le personnage d’Anthéa bien amené. On sent qu’elle doute d’elle, qu’elle est perdue et torturée. Ce flou mental et psychique est très bien décrit, tout comme ses interactions avec les autres personnages. Mais très vite, elle devient… agaçante. Autant dans certaines histoires, on a des personnages agaçants qui font avancer l’histoire, autant là, j’ai l’impression que ça la dessert. Car au final, ses réactions donnent juste envie de la frapper.

Quant aux personnages masculins (Azraël, Lucifer et Gabriel), ils sont intéressants mais pas assez approfondis.

En fait, cette histoire pourrait se résumer à « trop rapide » et « pas approfondie ». Les évènements, les révélations, les actions… tout va beaucoup trop vite, sans trop de détails, sans que l’histoire ne soit approfondie et exploitée pleinement.

C’est cette impression qui laisse un goût d’inachevé lorsque l’on arrive au point final.

C’est une bonne lecture pour passer le temps, mais elle aurait pu être beaucoup plus intéressante !

Un résumé court, une couverture simple, et une simple petite annotation annonçant du Feel Good.

Et je dois dire que ce livre nous offre ce qu’il promet ! A chaque page, à chaque ligne, ce n’est qu’un doux plaisir. Il m’a fait l’effet d’une petite sucrerie que l’on déguste avec une tasse de thé ou un bon chocolat chaud (désolée pour le café… mais je l’aime pas XD)

On suit les aventures sentimentales de Lily, ou plutôt son absence de vie sentimentale mais avec ses nombreuses prises de tête !

J’ai vraiment adoré le personnage de Lily. C’est une jeune femme au look gothique qui s’occupe d’une classe de CLIS le jour et joue dans un groupe de métal la nuit (bon pas toutes les nuits, mais ça lui donnait un petit côté Batman comme ça). Sa vie sentimentale semble être au 36e dessous ! Elle est amoureuse d’un membre de son groupe (le séducteur de ces dames par excellence), sa meilleure amie cherche absolument à la caser à tout prix (et on sent bien qu’elle en a vécu des expériences) et au boulot, tout n’est pas tout rose ! En gros, elle sent que sa vie lui échappe totalement.

Mais il ne faut pas s’attendre à une histoire triste. Les choses sont dites avec simplicité et émotion.

En fait, ce livre, il faut le ressentir. Je pourrais dire beaucoup de choses, mais ça ne décrirait pas totalement cette histoire.

Si vous voulez passer un bon moment, vous vider la tête tranquillement, c’est le livre qu’il vous faut ! Avec ça, vous finissez détendus et avec le sourire !