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Les commentaires de koalavolant

Commentaire ajouté par koalavolant 2023-07-07T16:20:57+02:00
Bronze

J’avais déjà lu ce livre, mais je suis à peu près persuadé de ne pas en avoir fait de chronique. Il n’empêche que le redécouvrir a dû m’aider à comprendre certaines choses avant la fin.

On pars sur une histoire de fantôme assez classique, mais à l’écriture qui fait beaucoup : en effet, le livre se lit vite, les chapitres s’enchaînent bien, et il y a des morceaux intéressants. Mais surtout, ça tourne autour de David Ash, qui, ne veut pas croire aux fantômes. C’est un personnage assez classique, pas si intéressant, mais qui, dans son côté borné a quelque chose d’intrigant. Il refuse obstinément de croire en tout ça.

J’ai bien aimé les descriptions, lorsqu’il se passait quelque chose. Il y avait vraiment une certaine ambiance dans l’histoire. Je n’aimais pas spécialement les personnages, parce qu’ils semblaient tous un peu tordus déjà. Mais la raison de leur façon d’être, forcément, questionne.

Et bien qu’il est facile de deviner la réelle histoire de la maison dans laquelle se trouve David, ça reste quand même bien, parce qu’on y perçoit les indices donnés par le livre.

Après, il est vrai que les personnages à côté – qui ne sont pas dans la maison – ne sont pas si intéressants, sauf peut-être Edith qui m’intriguait beaucoup.

Il y a quelques autres “histoires” dans l’histoire, qui si au début elles sonnent comme un cheveu sur la soupe, restent assez intéressantes à voir, pour découvrir un peu le procédé du personnage principal, et comment il est.

Il y a certaines choses qui m’intriguent, sur lesquelles le livre ne revient pas une fois le twist final, et j’ai trouvé la fin un poil abrupt, mais il n’empêche pas qu’on garde une bonne structure de récit.

Cela se lit bien, c’est agréable, et c’est une bonne lecture. De plus, je pense, que ça peut faire un peu peur. Même si ça n’a pas été mon cas.

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Bronze

J’ai donc lu la fin de cette pentalogie, qu’est le noir est ma couleur. Et si j’ai aimé ma lecture, si j’ai aimé la conclusion et l’explication de tout ça, je ne suis pas totalement satisfait de ce dernier tome. Sûrement parce que je trouvais que certains personnages (Lisa) étaient insupportables.

Sûrement parce que je trouve que l’action met du temps à venir et que le tour se résolve un poil vite pour moi.

Ça restait une bonne lecture. La romance était trop choupi, j’ai toujours aimé la magie des couleurs, aussi.

Et puis, tout de même, on en apprends plus sur la magie du Noir, et je trouvais ça super intéressant, mais pas assez approfondi, au final.

En fait, la fin m’a paru facile. Trop facile.

Néanmoins, j’ai vu que l’auteur voulait peut être écrire des spin off, et en vrai je ne dirais pas non.

Et je retiens que j’ai adoré le fait qu’Alexandre reste humain, et que malgré tout, il sert à quelque chose.

Ce fut une courte chronique, mais si vous cherchez une série sympa, avec une magie sympa, je vous la conseille !

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Commentaire ajouté par koalavolant 2023-06-27T14:17:04+02:00
Lu aussi

C’est une petite histoire, avec tout ce que j’aime dedans, que l’île au manoir. Des histoires de “fantômes”, de passé sombre, de mystère à résoudre, et des enfants qui doivent y réfléchir. Sauf que cette fois en plus, le héros est momentanément handicapé par un plâtre.

J’ai bien aimé la mise en page toute bleue, avec plein de décor autour, ça change des pages blanches de d’habitude.

Et j’ai aimé aussi l’histoire. Bon, je sais qu’Estelle Faye aime l’océan, et là, ça se sentait bien. Mais j’aime bien comment était décrit l’océan, et j’aimé l’histoire de la petite Sélène. J’ai eut bizarrement peur que ça sois trop rapide, pas assez intéressant, mais même dans ce genre de petit récit, j’ai retrouvé des choses intéressantes, comme un magicien ou un autre type de créature. Et les personnages étaient assez mignons, et intéressants dans leur façon d’être.

Bref, ça se lit vite quand on est adulte, mais c’est tout mignon, et j’adore particulièrement la couverture.

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Commentaire ajouté par koalavolant 2023-06-26T11:50:54+02:00
Bronze

Je ne savais pas à quoi m’attendre avec ce livre, sinon que j’avais retenu que certains personnages étaient handicapés. J’avoue ne pas avoir lu le derrière, ou alors il y a longtemps.

Et j’avoue que si la couverture sonne vraiment comme un young adult un peu bit lit romance où on va avoir une héroïne badass qui découvre sa vie et des tropes dont je ne suis pas trop fan…

Ben en fait non.

Et ça fait du bien.

Déjà parce que ça parle de Bretagne qui est ma région de cœur. Ça parle aussi de ses légendes, de son ambiance si mystérieuse, et surtout, de ce qu’il se passe quand une île est isolée, et des croyances qui se renforcent par des gens qui ne voient pas assez le monde autour.

C’était super bien écrit, j’ai adoré l’écriture qui, douce, savait décrire l’environnement et poser cette ambiance mystique et onirique. Bien qu’à des endroits je me sois perdu sur qui était quoi, il en reste que ça m’a fait du bien.

Ca m’a fait du bien, parce qu’on est quand même sur une héroïne avec des pouvoirs, sur un fond de romance, mais les personnages sonnent justes. Et les légendes aussi. Et ça change de d’ordinaire.

J’ai aimé voir les rebondissements, les parti pris de l’autrice, la façon insidieuse de nous présenter l’univers, la magie qui l’entoure. Et je retrouvais la Bretagne que j’aimais.

Les personnages, parlons-en. Gwenaëlle m’a semblé assez intéressante, dans la mesure où elle semble savoir ce qu’elle fait, mais en fait non, et elle se découvre tout au long du récit. L’homme qu’elle aime et dont j’ai oublié le nom, m’a semblé plus bizarre, plus nébuleux, parce qu’il la suit un peu partout et ça fait un peu étrange quand même…

J’ai beaucoup aimé l’histoire des sorcières, aussi, et ces personnages mystérieux. J’ai aimé la petite, et un peu moins Lisette. Mais à défaut d’apprécier Lisette ou même Bénédicte, j’ai aimé leur rôle.

Et le livre montre des femmes fortes, qui se déchirent entre elles pour des hommes. Et pour moi, c’est ça la véritable malédiction de l’île. Au-delà du livre, ça m’a rappelé qu’on vit dans un monde où alors que les femmes devraient se soutenir en sororité, finissent par se déchirer pour ceux qui les mettent en arrière.

Je ne sais pas si le livre voulait quelque part faire réfléchir là-dessus, mais moi c’est ce que ça m’a fait.

A part ça, je m’intéresse énormément à la chasse aux sorcières, et ça m’a un peu remis en parallèle avec cette époque.

Ce qui fait que j’ai aimé les sujets de ce livre, son ambiance, ses personnages, et sa Bretagne qui est celle que j’aime à lire.

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Bronze

Que se passera-t-il, si vous aviez dans votre ventre, un enfant qui pourrait plus tard devenir un tueur en série ? Question ambiguë, tordue, que le livre se pose en nous proposant une histoire un peu fantastique avec des enfants prédéfinis.

L’héroïne se retrouve enceinte d’un enfant qui un jour tuera des gens, et tout cela chamboule complètement sa vie. Elle doit faire avec, prévoir le mal qu’elle va engendrer, et ne pas savoir quoi en faire.

J’avais une crainte avec ce livre, c’est que finalement ça ne soit pas aussi bien que le pitch le proposait. Si l’extrait m’avait intéressé, je craignais l’humour noir trop prononcé, le sarcasme et le cynisme ambiant.

Je me suis finalement retrouvé avec un récit touchant, poétique et surtout, marquant. On découvre l’héroïne, sa vie, sa famille qui n’a rien d’une famille et ses déboires dans la vie. Si le récit met du temps à s’installer, ça ne m’a pas dérangé. Le livre se lit vite, les phrases s’enchaînent, tout est fluide, c’est super agréable.

C’est ce que j’ai aimé le plus dans le livre : comment c’était écrit. En faisant preuve de justesse, d’humour, et de phrases qui s’enchaînent sans aucun souci, la lecture se veut fluide, et en même temps, nous tape en plein dedans.

Et notamment, bien que ce soit moins impactant pour moi qui ne suis pas mère, on nous présente une mère qui doit faire des choix dans son éducation, qui doit décider si elle aime son fils, ou si elle prend d’autres décisions. On est face à un vrai conflit interne, et c’est super intéressant de voir tout ce cheminement mental.

J’ai adoré la voir regarder son fils se mettre à correspondre à son destin, et faire des choix par rapport à ça. Je n’en dis pas plus, bien sûr, mais ça rajoute à l’écriture très réaliste du livre, et j’ai beaucoup aimé ses décisions, et même sa dernièredécision qui est assez particulière.

Je pense que ce livre mérite d’être lu. Au-delà d’un thriller, ou d’un policier, ou d’un livre de littérature noire en général, je pense qu’il démontre pas mal de choses sur notre société. Ou même sur la psychologie des meurtriers, et sur le personnage auquel on ne pense jamais : la figure de la mère de ces monstres.

Même si je ne suis pas mère, et que je pense que je ne peux pas me mettre à la place d’une d’entre elles, je trouve quand même le récit, bien amené pour répondre à cette question.

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Lu aussi

Maintenant que je suis grand, adulte, je peux lire des livres horribles qui parlent de tueurs en série qui tuent de façon immonde, mais que l’auteur sait présenter comme des êtres humains aussi.

Donc. Puisque j’ai vu toute une saison de la série Hannibal, je me suis dit, pourquoi ne pas essayer les livres.

J’avoue avoir préféré la série, parce que le livre n’avait pas Bryan Fuller comme réalisateur, et que j’avoue que les visuels font beaucoup dans mon appréciation de l’œuvre.

En soit, le livre était bien quand même. J’ai bien aimé l’écriture a des endroits, notamment quand Will Graham était un peu dans sa tête, à tenter de comprendre les assassins. Et aussi, j’avoue, quand on voit Hannibal Lecter. On le voit peu. Mais il avait un charme fou, les dialogues étaient intéressants, et le personnage tordu au possible.

J’ai bien aimé l’histoire du Dragon Rouge, ce personnage mystique, mystérieux, qu’on découvre au fur et à mesure du livre, et qui sait ce qu’il veut, malgré sa folie. J’ai aimé voir ce qu’il faisait, et comment il évoluait. J’ai aussi apprécié, comment cela se termine.

J’avoue que ce livre est tordu, glauque, et ne nous laisse pas de répit, mais je trouvais ça super intéressant. Il y a eut quelques moments de longueur, mais j’ai aimé comment la question de l’homme, de l’assassin, de pourquoi les gens tuent, m’a plu énormément. C’est aussi pour ça que j’ai apprécié Hannibal ou le Dragon Rouge. Plus que Will, bien que le personnage était sympathique.

J’ai détesté Freddie Lounds, mais ça, j’ai pas été surpris, je l’aime pas non plus dans la série.

En soit, les rebondissements étaient intéressants, la tension prenante, et j’avais un peu peur de voir comment ça allait se terminer.

Il me tarde de voir la suite, parce que clairement, la plume offre quand même quelque ironie et coup dur qui m’ont plu.

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Commentaire ajouté par koalavolant 2023-06-25T14:48:33+02:00
Lu aussi

Cela faisait longtemps que je n’avais pas lu un Arsène Lupin ! J’aime beaucoup ce personnage, tout en fraîcheur, qui a l’air de toujours tout savoir, tout préparer. Il est amusant, il est charmeur et charmant aussi.

Et dans 813, il va lui arriver pas mal de déboires, car tel Sherlock Holmes, il va se retrouver opposé à son propre Moriarty. Et quel Moriarty ! Cet adversaire semble tout savoir sur le gentleman cambrioleur, et presque, j’étais déçu de voir qu’Arsène galérait à gagner.

Mais j’ai énormément aimé ces deux tomes, que j’ai lu comme un seul. J’ai apprécié voir Lupin avoir du mal, mais toujours se relever, et la fin qu’on nous propose, au moins pour la construction de personnages.

Le suspens, l’enquête, tout ce qui fait finalement 813 m’a beaucoup plu. Si au début j’étais dubitatif, un peu ennuyé, au final, j’en ressors ravi, et un peu triste.

J’aime beaucoup comme je l’ai dit le personnage d’Arsène, qui reste central tout du long, mais en même temps, a certains endroits il m’a agacé, à vouloir toujours manipuler son monde, pour son propre bon vouloir.

Mais au final, je trouve que le livre justement lui apprends la vie à ce propos.

Bref, ça m’a remis dans l’histoire d’Arsène Lupin, et je suis curieux de savoir ce qu’il va se passer ensuite.

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Bronze

Pour le début du prix des auteurs inconnus, on peut dire que je commence fort, puisque je commence par la lecture d’un “gros” livre. La Nuit fait en effet à peu près 600 à 700 pages (ça dépendait de comment j’agrandissais mon application de lecture), et est donc assez dense. Mais si l’extrait ne m’avait pas déçu, le reste non plus.

Tout n’était pas parfait, aussi, je vais ainsi eh bien… Rédiger une chronique comme il se doit.

Commençons par le commencement. Ce que le livre nous annonce, ce qu’il nous promet : une histoire avec un peu de fantastique en fond, qui reste subtil et en fond, dans un monde futuriste, mais en fait rétrogradé, proche de l’époque des Misérables. Je fais le parallèle, parce qu’il y a quelques moments qui m’y ont fait penser.

On nous présente un monde un chouïa dystopique, sinon proche de cette époque où les nobles faisaient ce qu’ils voulaient, quand les pauvres trinquaient pour eux.

J’ai bien aimé comment c’était posé, comment chaque personnage provient d’un environnement différent, et que chacun nous fasse découvrir une facette de l’univers. J’ai apprécié le discours sur les femmes, bien qu’il soit simple, il reste un tant soit peu marqué et marquant. Notamment pour Rozen.

Qu’une héroïne se cache sous des doublures de maquillages, pour éviter de devoir cette femme qu’on donne à marier, m’a pas mal plu. C’est dommage, d’ailleurs, qu’elle subisse finalement les aléas d’une romance qui ne m’a fait ni chaud ni froid, bien que je l’aie comprise, en termes de raisons et d’écriture, j’aurais des choses à redire. Seulement, je ne peux pas le faire sans spoiler, aussi, je ne peux pas le faire ici.

J’ai apprécié Rozen et son petit jeu, son rôle de personnage central, de femme qui se bat pour ce qu’elle veut, pour sa liberté.

Du reste, on découvre bien sûr d’autres personnages “principaux”, comme Swen, qui m’a intéressé grâce à son rôle de sidekick, puisque au final, on ne voit pas le “prince” (enfin le garde dans ce cas), mais son bras droit, et c’est plutôt rare pour être cité. On rencontre aussi Olem, qui fera écho au début du livre, et Isore, qui m’a fait penser à une Fantine pour qui le malheur et la malchance semblent quotidiens. C’est d’ailleurs celle qui m’a le moins touché, parce que je ne me suis pas senti impliqué dans son histoire, pourtant horrible, qui montre un autre aspect important de la société et des femmes.

Néanmoins, si je parle surtout des personnages plus que de l’histoire, c’est puisque l’histoire dépend de ses personnages. Il y a une chose que j’ai appréciée dans “La Nuit”, c’est que ses personnages résonnaient réellement. Ils étaient vivants. Ils avaient cet attrait que j’apprécie dans l’écriture de ceux-ci, des dialogues corrects, une profondeur d’existence qui sent qu’ils sont travaillés, qu’ils ne sont pas juste des clichés d’eux-mêmes.

Et c’est aussi pour ça que j’ai un tant soit peu moins aimé vers la fin. Parce que ces personnages résonnants perdaient quelque peu de leurs saveurs pour devenir le cliché de leur “trope” de base, au lieu d’en devenir plus complexe.

Il y a aussi une chose que j’ai appréciée dans l’ouvrage, c’est le côté politique. J’ai… Beaucoup de mal avec la politique, je n’aime pas la fantasy politique. La Nuit n’est pas de la fantasy politique, mais on retrouve pas mal de batailles politiques avec Le Masque de Loup, ou même Rozen, et je dois admettre que c’était agréablement bien fait, pas lourd, pas ennuyant. Ça coulait de source, et les dialogues et batailles de mots étaient plaisants.

En soi, cela démontre une certaine qualité d’écriture, et un travail réel sur tout ce qui fait pour finir la saga de La Nuit.

Et petite chose : j’ai beaucoup apprécié ce personnage du Masque du loup, bien que j’aie quasiment deviné à l’instant son secret.

Finalement, si la fin peut laisser sur sa faim, j’ai appris que l’autrice s’était amusée à écrire 1500 pages avant de les couper par tome et… Je dois admettre que c’est assez audacieux et intéressant. Donc ça ne m’a pas dérangé, mais j’avoue que mon attrait s’est essoufflé sur la fin, et je ne sais pas si je lirai la suite.

Même si je pense que l’ouvrage vaut la peine d’être lu, et que malgré sa longueur, je ne me suis pas ennuyé, pas avant les 100 dernières pages. C’est plaisant, bien écrit, réfléchi, bref, on était proche du coup de cœur.

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Lu aussi

Septième tome des annales du disque monde, et je retrouve ce qui fait le charme de cette série : des persos ambigus, un peu drôles, souvent justes, et qui sont dépassés par ce monde un peu bizarre. Ici, on nous présente une aventure un peu dans une sorte d’Egypte, avec des momies, des pyramides, et des règles à respecter, encore et toujours. J’ai beaucoup aimé le personnage principal de cette aventure. Teppic est… Normal. Dans le sens, où malgré son éducation, il n’a rien d’un roi et il semble un peu insouciant. Il m’a rappelé le héros dans Trois soeurcières, à ceci près qu’il était plus ambigu en terme d’alignement. J’ai beaucoup aimé ce personnage, et ce qui lui arrive. Tout est mélangé avec le spatio temporel, et on fait aussi des parallèles avec les cultures anciennes. J’ai aimé le déroulement, et surtout la conclusion de fin. J’ai bien rigolé, malgré quelques passages un peu longuets, et je l’ai terminé assez vite. Ma chronique est assez courte, mais en vrai, si vous aimez les annales du disque monde, on est sur du classique, et j’ai bien aimé ma lecture. Ce que j’ai aimé aussi, c‘est que je me suis rendu compte que Pratchett faisait parler ses personnages de façon différente, et c’est appréciable.

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Bronze

J’aime les livres qui prennent les tropes de base, et les broient pour en faire quelque chose de bien plus humain et réaliste. J’aime aussi, bien sûr, les livres qui parlent du Petit Peuple, au-delà des vampires et des loups-garous. Et vous vous en doutez, l’eau du Léthé nous embarque un peu dans tout ça. Que ça soit en 1586 et 2014, ce livre nous fait découvrir Strasbourg, et ses mystères étranges, à partir du Peuple Invisible.

Ce Peuple, qui, de toute évidence, se bat pour une seule chose : l’eau du Léthé. Cette eau aux propriétés fascinantes, autant pour le camp du “bien” ou du “mal”. Même si, dans ce roman, cette nuance n’est pas tant exprimée, et se veut plus nuancée, justement.

J’ai beaucoup aimé les deux points de vue, mais surtout, bien sûr; le personnage clé qui relie les deux : Kieran Matheson. Ce personnage ambigu, qui n’est pas parfait, et qui a fait beaucoup de choses mauvaises, dans les principes. Mais pourtant, est-il si vilain que ça ? Là est la grande question de l’ouvrage, qui nous le présente sous toutes ses formes. Surtout confiant, bien sûr, mais aussi hésitant, et mal en point. Et j’ai aimé ça. J’ai aimé ce que le livre nous propose, au niveau de ce personnage. Un air tout puissant, mais loin d’être parfait. Un personnage auquel on s’attache ou non, mais qui nous interroge.

Et ceci est aidé que nous sommes du point de vue de deux inconnus de l’enchanté : Katell ou Frank.

Katell m’a énormément touché, et j’ai beaucoup aimé son histoire, qui en quelques moments devient des plus difficiles. Et pourtant, elle continue de s’accrocher à la vie. Du reste, Frank est plus posé, plus passif. Il fait moins autant qu’il observe. Pour une introduction à l’univers, j’ai trouvé que c’était intéressant. Et j’ai apprécié ces deux protagonistes assez différents.

J’ai apprécié aussi les rebondissements, les nuances des personnages. Et, aussi bizarre que ça puisse paraître, j’avais un tant soi peu deviné la fin, mais ça ne m’a pas dérangé, j’ai trouvé ça super. Parce qu’encore une fois, ça sortait des tropes de base et ça présentait un aspect presque plus réaliste à la chose.

D’autant que pour son univers fantaisiste dans un fond de Strasbourg, je trouve que l’eau du Léthé se lit bien, et questionne parfois.

Bref j’ai bien aimé ma lecture, et je lirais sûrement la suite.

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