Louis Aragon
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Note moyenne : 7.4/10Nombre d'évaluations : 246
43 Citations 111 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Un recueil de poème très facile d'approche pour les débutants et d'une beauté sans pareil.
Afficher en entierMoi qui avait eu énormément de mal à finir Aurélien, par sa longueur, j'ai dévoré et adoré ce recueil ! J'y retrouve tout ce que j'ai aimé dans Aurélien : la beauté du verbe, la poésie qui apparait dès l'arrivée de l'amour... Sans le longueur indigeste du roman. Et la préface est incroyable, un vrai nid de merveilles pour une étudiante en lettres comme moi !
(commentaire du 13.06.2021)
Afficher en entierPetit recueil de 121 pages sur Paris regroupant les plus grands auteurs de la littérature française, et les plus grands poètes. Je ne peux dire que j'ai apprécié toute la lecture car certains passages m'ont moins séduite que d'autres.
Afficher en entierJ'ai adoré lire ces poèmes d'Aragon qui s'inspire de sa muse de toujours. Ses mots sont si beaux
Afficher en entierL'épaisseur du roman m'a d'abord un peu freiné, mais finalement, l'addictivité rend la lecture rapide et frénétique !
Mon premier livre d'Aragon, que j'ai eu un peu de mal à accrocher à cause du style et de l'écriture, mais que j'ai fini par apprécier, par la justesse de ces mots (quelques passages m'ont fait un peu tiquer concernant les personnes noires, c'est ce qui m'a le plus gêné...). On retrouve beaucoup de symbolique dans chaque description, on a presque l'impression d'errer dans un rêve.
Les personnages sont bien amenés, un peu nombreux parfois, mais j'ai bien aimé le changement de points de vue fréquent. On retrouve un peu de nous en chacun d'eux, on se demande ce qu'on ferait à leur place.
L'histoire en elle-même est plus complexe qu'une simple histoire amoureuse. J'ai trouvé saisissant Spoiler(cliquez pour révéler)la soif d'Aurélien pour Bérénice, les tourments du couple Blanche/Edmond et ces personnages qui tournent autour d'eux
Je ne saurais pas trop dire pourquoi j'ai autant aimé ce livre, qui me rebutait un peu, mais je le place dans ma Liste d'Or Spoiler(cliquez pour révéler)car la fin m'a heurté violemment !
Afficher en entierCertains vers sont d'une beauté et d'une justesse remarquable. D'autres sont un peu plus nébuleux, et ne m'ont pas permis de comprendre entièrement la pensée d'Aragon.
Mais c'est véritablement et incontestablement bien écrit.
Afficher en entierUn petit livre étrange. Aragon parle de l'homme et de la femme. Du désir, du plaisir, de l'infirmité, la poésie des mots adoucit le cru du fond. C'est tellement court qu'il ne faut pas passer à côté.
Afficher en entierJ'ai beaucoup apprécié, c'est une expérience intéressante ! On se plonge dans les méandres des souvenirs et pensées d'Aragon, les lieux, la guerre, ses amours. C'est très touchant. Je n'ai pas compris tous les poèmes mais ils n'étaient pas moins agréable a lire. C'était particulier, et j'aime qu'on me sorte de mes habitudes.
Afficher en entier"Aurélien", c'est une histoire d'amour, c'est Aurélien, c'est Bérénice... c'est l'impossible.
Je me suis pris une claque littéraire avec ce chef d'œuvre bouleversant.
La qualité du style, de l'écriture, de la narration.
L'auteur pointe avec justesse la nature humaine grâce aux nombreux personnages secondaires.
Et puis ces descriptions d'un Paris mythique qui, pour moi, est un personnage à part entière.
Un roman entre mélancolie et désarroi, mais surtout poésie.
Afficher en entierPlus de 700 pages pour nous décrire cet amour entre un dandy rentier et désœuvré et une femme en quête d’amour absolu. Ne seraient-ce quelques soirées mondaines et des rencontres d’anciens combattants qui le sont beaucoup moins, il ne se passe rien. Il faut donc trouver refuge dans le style pour arriver au bout ; et ceci n’est pas toujours suffisant à mon humble avis. Pourtant, toujours à mon humble avis, le plus beau passage du livre est sans conteste le chapitre LXX : huit pages de bonheur absolu. C’est dans ce chapitre qu’est selon moi le mieux décrit ce que ressent Aurélien : « Par moments, Aurélien se révoltait, il voulait être heureux, il voulait Bérénice, il n’admettait pas qu’elle lui fût refusée, il s’oubliait vaincu pour échafauder des plans insensés, des entreprises d’audace. Puis le sentiment de sa défaite l’emportait. Il lui semblait alors que toute raison était de s’en persuader, de s’en pénétrer, et de tâcher de s’acclimater à cette défaite, de s’y conformer. Réduire sa vie et ses pensées au cadre de cette réalité. Ne plus l’oublier un instant. Mesurer ses ambitions, son activité, à son humiliation. Refaire sa vie en fonction de cette humiliation même. »
Afficher en entierOn parle de Louis Aragon ici :
2016-11-23T18:18:25+01:00
2016-04-19T19:18:27+02:00
2015-01-07T21:48:58+01:00
2015-01-07T21:30:57+01:00
2015-01-07T21:30:12+01:00
2011-12-11T20:33:19+01:00
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Dédicaces de Louis Aragon
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Editeurs
Gallimard : 33 livres
LGF - Le Livre de Poche : 9 livres
Seghers : 8 livres
Denoël : 1 livre
Galerie des Beaux-Arts : 1 livre
Corti : 1 livre
Folio : 1 livre
Au Sans Pareil : 1 livre
Biographie
Poète et écrivain français
[Littérature française]
Né à Paris le 03 octobre 1897
Décédé à Paris le 24 décembre 1982
Après une brillante scolarité, Louis Aragon entame des études de médecine. Incorporé en 1917, il part pour le front où il rencontre André Breton. La guerre finie, il se consacre avec une énergie décuplée à l'écriture et publie 'Feu de joie', 'Mouvement perpétuel', ou encore 'Anicet ou le panorama'. Il participe à la création du mouvement artistique Dada, puis à la naissance du surréalisme qu'il théorise dans 'Une vague de rêve'. Sa notoriété ne cesse de s'accroître notamment avec 'Le Paysan de Paris'. En 1928, il rencontre Elsa Triolet : c'est le début d'un mythe largement mis en scène par ses protagonistes. Inscrit au Parti communiste dès 1927, Aragon s'engage dans la lutte politique et rompt définitivement avec Breton et les surréalistes. Journaliste à L' Humanité, il entame une nouvelle carrière de romancier avec le cycle romanesque 'Le Monde réel' (' Les Voyageurs de l'Impériale', 'Aurélien' ou encore 'Les Communistes'). Pendant la Seconde Guerre mondiale, Aragon devient l'un des poètes de la Résistance, célébrant l'amour absolu et l'action politique. Après la guerre, il fonde le Comité national des écrivains avec Jean Paulhan. Combats politiques et publications (' Le Fou d'Elsa') rythment la fin de sa vie. Se clamant 'réaliste socialiste', il prône l'avènement du communisme. Les dénonciations des atrocités commises sous le régime stalinien et la mort de sa compagne le désarçonnent mais n'altèrent en rien son credo : assimiler l'écriture à une quête de soi.
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