La perspective d'un primate
Auteur
- Jean-Fabien (Écrivain)
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Classement en biblio - 3 lecteurs
extrait
C’est drôle de voir autant de filles dans les bars ici. En France, tu ne vois que les belles, parce que quand tu es moche, ton mec te dit assez vite « non mais tu ne peux pas sortir comme ça, c’est pas sérieux !? Fais un régime et on verra dans six mois ».
(Message subliminal subtil s’il en est. Si avec ça, elle ne comprend pas qu’elle est en dehors de notre cible, c’est qu’elle est encore plus bête que moche, ce qui est coton tout de même).
~ Ha ouais, mais non, ici c’est le pays de la liberté !
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Un torchon
Un torchon est encore mieux écrit. Ce livre est vraiment le bas de gamme, je ne pense pas que l'on puisse tomber plus bas. Un humour au ras des pâquerettes complètement débile, un gamin de maternelle est plus évolué. L'auteur traite les femmes comme des moins que rien. Un style s'il y en a un plus que médiocre
Je l'ai fini en diagonale.
Pour conclure, si je pouvais je mettrais moins 5 étoiles mais hélas on ne peut pas mettre des notes négatives. Si j'étais auteur ou éditeur j'aurais honte de publier de tel chose
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Voici un roman tout en humour, très second degré sur les relations hommes/femmes et la vie de son héros Jean-Fabien.
Evidemment on rit, les expressions et les trouvailles de l'auteur sont vraiment hilarantes mais j'ai aussi trouvé le personnage de Jean-Fabien touchant de maladresse.
Oui il m'a agacée, oui il m'a permis de passer pour une illuminée en rigolant toute seule dans le train mais j'ai aussi ressenti beaucoup de tendresse pour ce personnage macho/sexiste/un brin misogyne. Jean-Fabien (le héros, pas l'auteur) c'est un peu le Jean-Claude Duss moderne, version plus classe.
Bref, à lire sans modération pour rire et démystifier ces relations hommes/femmes : on se retrouve tous et toutes un peu dans ces portraits brossés très habilement ! (moi aussi j'aime les parenthèses ;) )
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Date de sortie
La perspective d'un primate
- France : 2013-12-13 (Français)
Activité récente
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Résumé
Présentation de l'éditeur
Roman introspectif, journal initiatique d’un quadra à la dérive, ping pong entre hommes et femmes, La perspective du primate est tout cela à la fois, mais est avant tout un roman qui mènera son héros de l’Indonésie aux Etats-Unis, en passant par Aix-en-Provence et le Mexique à travers nombre d’aventures rocambolesques.
Deuxième roman de Jean-Fabien à l’humour décapant, ce sont les éditeurs qui l’ont refusé qui en parlent le mieux !
« La narration et le style témoignent d’une réelle maîtrise dans lesquels percent un humour et un cynisme brillamment incisif. » – JC Lattès
Un mot de l'auteur
Ma voisine du 7ème en découvrant mon oeuvre se serait exclamée : 20 cm de bonheur !
Bon en fait, 21 (règle a l'appui).
Mais de quoi ça parle ?
C'est au choix l'errance d'un quadra à la dérive ou le journal introspectif d'un ingénieur en quête de l'âme soeur, suivant que c'est plutôt l'absurdité du monde de l'entreprise ou la littérature romantique qui vous passionne (je ne suis pas contrariant).
Et le style coco ?
C'est un peu le croisement entre un clown sous acide et un gros nase qui aurait avalé trop de parenthèses et les régurgiterait façon vache normande (comme ça).
Y'a une histoire quand même, rassure-moi ?
Jean-Fabien - le héros, pas l'auteur - est cadre dans une grande boîte privée (elle est même au CAC40 nous dit-il, et ça, ça en impose). Il passe donc son temps à tenter de comprendre ce qu'on lui demande de faire, tout en accumulant des miles Flying Blue (ceux qui ont déjà travaillé dans une grande boîte comprendront sûrement). Il fait aussi des expériences sur le sexe opposé en essayant tout bonnement de formaliser la procédure de séduction ultime (rien que ça... c'est qu'il a du temps le bougre). C'est donc un roman plus près de la science que de la fiction, ça fait pas un pli.
Alors évidemment, comme il fonctionne par essai-erreur, il se prend des gadins (pas mal en fait), mais comme c'est fait avec fraîcheur - tendance Pulco citron - et que le personnage est un gros loser, on s'y attache de plus en plus, et on a vraiment envie de savoir s'il va réussir à la fin à quelque chose (en tout cas, c'est ce que ma maman m'a dit en le lisant, et l'avis d'une mère, ça compte - même si elle a sans doute développé un poil trop d'empathie en identifiant un peu trop le héros ( ?) à son propre fils).
A noter que si vous l'achetez avant la fin du monde, vous bénéficiez d'une promo exceptionnelle : un câlin offert pour un livre acheté.
Une occasion à ne pas rater donc.
Jean-Fabien
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