Katherine Pancol
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Note moyenne : 7.17/10Nombre d'évaluations : 2 287
6 Citations 1 279 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Un peu de mal à entrer dans l’histoire, mais l’écriture fait qu’on s’attache tout doucement aux personnages, jusqu’à vouloir retrouver cette famille un peu atypique et attachante. Lecture sympa
Afficher en entierUne jolie fresque familiale sur l'émancipation.
J'ai beaucoup aimé suivre les développements des personnages
Afficher en entierC'est le 8eme roman que je lis de cette autrice et c'est le premier avec lequel j'ai un peu de mal. J'adore son style d'écriture très imagée et colorée mais les comparaisons avec les insectes ne m'ont pas trop convaincue (due a ma phobie d'eux sûrement).
Afficher en entierJ'avais adoré la trilogie très connue de l'autrice et partais avec beaucoup d'espoir dans cette lecture MAIS c'est, à ce jour, une de mes plus grandes déceptions. J'ai détesté les personnages, la relation de l'héroïne avec son père m'a semblé malsaine et inappropriée, le rapport au sexe n'a pas relevé le niveau et j'ai passé bon nombre de pages pour ne pas avoir à rester trop longtemps dans cette lecture. Quel enfer.
Afficher en entierJ'ai adoré l'histoire de cette femme qui devient autrice. Et ses filles qui ne la soutiennent pas mais qui l'aident finalement.
Afficher en entierUne belle histoire d'amitié, fraîche, on passe un bon moment entre le Mexique et saint Tropez...
Afficher en entierJ'ai bien aimé ce roman, simple et tellement réaliste.
Afficher en entierJ'ai beaucoup aimé les yeux jaunes des crocodiles, mais là, je me suis ennuyée. Joséphine passe pour une cruche, son mari mort/pas mort et sa fille qui a des ennuis avec le gang n'apporte pour moi, rien à l'histoire et alors le comble, cet enfant qui vient du ciel et est très intelligent ... ça n'a aucun sens. Je ne comprends pas où l'auteure a voulu en venir et cette lecture m'a parut bien trop longue. J'ai plutôt l'impression qu'il fallait écrire pour écrire et que tous les genres ont été mélangés... l'apparition d'une licorne ne m'aurait finalement pas surprise !
Afficher en entierPas mal ce livre... On se demande quels sont les secrets de l'un et l'autre, et le style d'écriture rend les personnages attachants. On sent toute une noirceur derrière des mots d'apparence anodins, c'est le talent de l'autrice d'instaurer une atmosphère particulière dans un petit rien...
La fin était émouvante, j'ai bien aimé ce roman épistolaire !
Afficher en entierUn peu moins de 700 pages à lire, sacré pavé! Pas si important si on est captivé, me direz-vous. Le problème c'est que l'histoire est un peu longue à se mettre en place, à peu près 300 pages pour moi. Pourtant j'ai persévéré. Pourquoi, pour le titre et l'histoire des crocodiles et puis aux fils des pages on fini par se prendre au jeu. Finalement les personnages prennent de l'envergure et on est content d'avoir poursuivi la lecture.
On n'est pas dans le top de l'action, mais plus dans une histoire romantique... Avis aux amateurs.
Afficher en entierOn parle de Katherine Pancol ici :
2018-03-17T13:33:29+01:00
2018-01-01T12:42:09+01:00
2012-03-17T14:21:31+01:00
2011-06-16T18:55:22+02:00
2011-04-12T00:12:09+02:00
2011-03-19T13:21:12+01:00
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Dédicaces de Katherine Pancol
et autres évènements
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Editeurs
LGF - Le Livre de Poche : 22 livres
Albin Michel : 20 livres
Hachette Jeunesse : 15 livres
Seuil : 12 livres
Points : 7 livres
Hachette : 5 livres
Audiolib : 5 livres
France Loisirs : 4 livres
Biographie
Je suis née au Maroc, à Casablanca, j'ai grandi sous les palmiers de Media...
À cinq ans, je suis arrivée en France. Études littéraires (maîtrise et deux ans de doctorat de lettres modernes), prof de français-latin, petits boulots divers, et puis un jour ! coup de baguette, je deviens journaliste.
J'écris dans un journal (Paris-Match puis Cosmopolitan).
Mes premiers mots imprimés à l'encre noir sur blanc.
Un éditeur me remarque et me demande d'écrire un roman.
Un roman ! Moi ! Impossible !
Ce sera " Moi d'abord " en 1979. Le ciel me tombe sur la tête et le succès aussi. Je file à New York. Changer de ville, de pays. Voyager, vivre, m'amuser, connaître un autre monde. Écrire me paraît toujours aussi impossible. Mais la littérature me rattrape et c'est "La Barbare" en 1981. Puis, toujours à New York, j'écris "Scarlett, si possible" et "Les hommes cruels ne courent pas les rues ".
Je prends goût à l'écriture, à la vie qui va avec.
Je n'ai plus le choix. Je ne sais faire que ça. Et des enfants.
Une fille d'abord puis un garçon.
Je me marie, je divorce, j'emménage, je déménage.
Banal, hélas !
Je continue à écrire. L'écriture devient le moteur de ma vie. Je découvre que c'est dur et que c'est facile. Je découvre que le temps passe si vite ou si lentement. Que j'ai envie d'arrêter ou de ne jamais arrêter...
Je découvre un autre monde. Je voyage dans ma tête et c'est aussi bien...
J'écris des romans ("Vu de l'extérieur", "Encore une danse", "Une si belle image", "J'étais là avant", "Et monter lentement dans un immense amour", "Un homme à distance", "Embrassez-moi"). Des scénarios. Et des articles. Pour Paris-Match. Je voyage. Je passe dix jours à Manchester à suivre les mollets de Cantona ou une semaine dans le couloir de la mort d'une prison américaine. J'interviewe Reagan, Jospin, Chirac ou Meryl Streep, Johnny, Vanessa Paradis, Louise Brooks.
On récolte toujours en observant, on apprend. J'aime apprendre. J'aime la vie, l'amitié, les rencontres, les voyages, l'imprévu, j'ouvre grand les bras, même quand j'aurais envie de les refermer. Tout m'étonne, je ne suis jamais blasée.
Et puis, j'arrête le journalisme pour me consacrer à l'écriture.
Mes journées se déroulent selon un rite immuable : lever, thé et tartines, lecture des journaux, maison à faire tourner et papiers à remplir, promenade avec le chien Chaussette et enfin… seule, face à l'ordinateur, je retrouve mon autre monde, mon univers imaginaire avec des mots, des personnages, des idées qui volent dans l'air et que j'attrape. Ou pas. Certains jours, je les ramasse à la pelle, d'autres, je me lamente dans le désert !
Mais toujours la même envie de vivre et d'apprendre…
Je reprends à mon compte la phrase de Paul-Émile Victor : "Vivre, c'est se réveiller la nuit dans l'impatience du jour à venir, c'est s'émerveiller de ce que le miracle quotidien se reproduise pour nous une fois encore, c'est avoir des insomnies de joie."
Source : www.katherine-pancol.com
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