Dancefloor thérapie
Auteur
- Elisabeth Brousse (Écrivain)
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Classement en biblio - 6 lecteurs
extrait
Je feuillette un peu et découvre que le deuil se déroule en sept phases immuables.
Le choc, le déni, la colère, la tristesse, la résignation, l'acceptation, et, enfin, la reconstruction. Apparemment, ces sept étapes s'appliquent à toute perte : décès, emploi, santé, amour.
Afficher en entierCommentaires récents
Ce livre exprime pour moi très bien l'expression "parfois il faut vraiment toucher le fond pour mieux pouvoir remonter".
Un livre porteur d'un très beau message. La vie d'Élisabeth est chamboulée, on en ressent chaque infime partie, on entre dans son intimité, on la vit, on s'énerve, on s’offusque, on rit, on pleure avec elle. Une lecture très fragmentée, montrant des passages de sa vie de tous les jours, avec ses bons, et surtout, ses très mauvais côtés/moments... Mais la conclusion de ce livre, de ce récit vivant, est tellement belle. Malgré tout, malgré le déni, la colère, la peur, les trahisons, il y a toujours quelque part de l'amour. De l'espoir. Il y a toujours de la vie.
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Lecture pas déplaisante.
Ananas est chtarbe et irresponsable, mais comment réagirait-on à l'annonce d'un cancer ?
Elle...a choisit le déni. Et c'est aussi perturbant que décomplexant.
La plume est fluide. Juste pas mal saccadée. On a l'impression de lire un rassemblement d'annotations sorties en vrac d'une pochette surprise. À la fois c'est chronologique, à la fois c'est surtout zazimuté.^^
Certes je me suis amusée mais parfois c'est un peu trop cru pour moi (la chasse aux coups d'un soir hem). Délurée la donzelle.
Je ne sais pas trop quoi penser de ma lecture car majoritairement trop "yoyo" (ça part vraiment dans tous les sens). Par contre ça me donne envie de sympathiser avec l'auteure. Cette nana a un grain, et c'est un compliment ! Son auto-dérision est rafraîchissante. :)
Je la remercie au passage pour la découverte d'Alister "Qu'est-ce qu'on va faire de toi"...que je ne connaissais pas du tout ! XD
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Je remercie les éditions Michel Lafon pour l'envoi de ce Service Presse.
A l'origine ce livre m'a fait de l’œil car j'ai moi même un cancer bien que pas au même endroit. Et j'avoue qu'une curiosité malsaine m'a un peu habitée pour voir si nos parcours étaient similaire.
Le livre n'a que des bons commentaires et des cinq étoiles partout et du coup je me demande à coté de quoi je suis passée.
Si l'histoire est vraie, l'auteure est vraiment inconsciente... elle joue avec sa vie mais surtout son rapport à l'argent est vraiment malsain.
Peut être que le coté Dancefloor m'est passé au dessus parce que je suis casanière mais faire l'autruche à ce point sur l'argent c'est juste hallucinant. Par moment j'avais juste envie de lui filer des baffes pour faire rentrer du bons sens dans sa tête.
J'avais plus l'impression de lire un chick-lit qu'une histoire vraie....
En tout cas j'aime beaucoup sa doctoresse qui est trés humaine et trés sympa je veux bien l'échanger contre les miens ^^
Au final c'est un peu un avis mitigé, et je suis assez déçue du personnage principal.
Habituellement je ne fais pas de commentaire sur les prix mais là je m'interroge sur le prix de ce livre. 17,95 pour 300 pages alors que Dreamology qui en fait 345 est deux euro moins cher....
http://labibliothequedemiangemidemon.blogspot.fr/2016/02/dancefloor-therapie-d-elisabeth-brousse.html
Afficher en entierDates de sortie
Dancefloor thérapie
- France : 2016-01-28 (Français)
- France : 2017-02-02 - Poche (Français)
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Editeurs
Résumé
Avant, j’évoluais dans un carré confortable et ambitieux, entre mes rêves de prince charmant et mon travail à responsabilités.
À 31 ans, ça n’est pas facile de tout chambouler, mais j’ai réussi ! Dès que le chirurgien est entré dans ma chambre d’hôpital pour m’annoncer que j’étais atteinte d’un cancer, j’ai mis au point ma stratégie de survie.
Petit a : ignorer son diagnostic. Le déni est mon ami. Je ne suis pas malade. Je n’ai pas peur de mourir. Voilà.
Petit b : occuper mon esprit le jour et mon corps la nuit, à coups de rébellion au travail, de musique, de mojitos et de nouveaux amis.
Tout est bon pour oublier le can… le problème. Sinon, comment continuer à vivre?
J’ai déjà un nom pour ma méthode : la Dancefloor Thérapie.
Élisabeth Brousse a gagné le prix littéraire « e-crire aufeminin ». Librement inspiré de sa propre expérience de la maladie, Dancefloor thérapie est son premier ouvrage.
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