Commentaires de livres faits par fan06
Extraits de livres par fan06
Commentaires de livres appréciés par fan06
Extraits de livres appréciés par fan06
Oui, les hommes et les femmes sont différents. Leur vision du couple l’est, mais surtout leurs modes de communication se situent dans des domaines opposés : lorsque la journée se termine, la femme aspire à raconter, à parler ; l’homme préfère le silence, cherche à se changer les idées. La femme reste « insecure », en amour comme dans la vie en général (sauf si elle se transforme en « superwoman »). Elle craint pour son avenir, elle a peur de manquer d’argent. Elle a besoin d’en parler, de savoir où elle en est.
Le bonnet du Père Noël.
Le dos de la coccinelle.
Qui d'autre est rouge ?
Si vous lisez ce livre, c’est que vous avez lu et apprécié Les quatre accords toltèques et les autres livres qui lui font suite. Mais, après le décollage, la chute a sans doute été brutale… Car, comme de nombreux lecteurs, vous avez sans doute découvert que ces accords sont simples, évidents, universels, puissants, mais… difficiles à mettre en pratique.
Le constat est unanime : un livre, aussi génial soit-il, n’est pas un stage et ne peut pas le remplacer… Mais alors y a-t-il des solutions et, si oui, quelles sont-elles ? C’est précisément l’objet de ce petit cahier d’exercices : vous aider à pratiquer ces fabuleux accords dans votre vie quotidienne, et ceci dès aujourd’hui…
Comment ? Vous trouverez à l’intérieur toutes sortes de moyens pour vous y aider : des tests pour vous auto-évaluer, des questions pour vous aider à réfléchir, des études de cas pour vous entraîner à les appliquer, des exercices en tous genres : listes à compléter, dessins à faire, tableaux à remplir, énigmes à résoudre, engagement à prendre, etc.
Mais s’il s’agit d’un cahier, le côté ludique n’est pas oublié : vous y trouverez donc des textes en tous genres, des contes pour nourrir votre imaginaire et des citations à méditer, ainsi qu’une pincée de théorie pour faire prendre la sauce…
Amusez-vous bien !
Une psy (en l’occurrence, moi) met forcément un jour ou l’autre son nez (donc son cerveau) dans l’univers de la cuisine. Tant d’émotions y sont vécues ! Complicité entre copains autour d’une pizza ou d’un plat de pâtes, érotisme d’un repas aux chandelles, exaspération des parents face à un enfant qui refuse de manger son poisson, générosité envahissante de la mamma qui remplit abondamment les assiettes… Anorexie, boulimie, troubles alimentaires mais aussi intolérances diverses avec leurs conséquences sur le psychisme. La nourriture et la cuisine sont des incontournables du divan. Ce n’est pourtant pas vraiment un essai de psy que je vous présente, mais en quelque sorte un livre de recettes. Non pas de recettes de cuisine, bien que je vous en présente quelques-unes, mais de recettes de mieux vivre dans la cuisine. Une recette n’est pas une solution toute faite, c’est une liste d’ingrédients et une proposition d’agencement et de mise en œuvre de ces ingrédients en vue d’obtenir un résultat.
Un petit sac style rétro pour les soirée cocktail. Discret, le petit sac idéal pour sublimer une tenue de soirée.
Sac Nine
Un petit sac à main translucide avec doublure amovible pour les jours où l'on ne veut rien cacher du contenu de son sac.
La doublure se clipse et se déclipse. Vous pouvez confectionner plusieurs bandoulières pour le même sac, ainsi vous pourrez changer de sac tout en gardant la même base au grès de vos envies ou selon vos tenues vestimentaires.
Bree avait de l’eau jusqu’à la taille. Quand elle se cogna le genou, elle ne sut pas si elle était tombée ou si une vague l’avait poussée contre un rocher. Par réflexe, elle serra plus fort l’enfant agrippé à son cou. Jonathan poussa un faible gémissement dans les ténèbres. Bree avança péniblement, un bras devant elle, jusqu’à ce qu’elle atteigne une partie du rivage où poussaient de l’herbe et des fougères. Elle escalada la pente abrupte et resta agenouillée pour reprendre son souffle.
Elle jeta un coup d’œil derrière elle, mais l’homme n’était pas visible de là où elle était. Pour un vieux pêcheur gras et alcoolique, Bob était fort. Et lâche. Et cruel.
Qu’il soit maudit !
Saisie d’un vertige, elle ferma les yeux. Regarder le bateau qui tanguait au loin affectait encore son équilibre.
Ça va. On s’en est sortis — jusqu’ici.
Elle berça son fils de quatre ans pour essayer de lui prodiguer un réconfort qu’elle ne ressentait pas.
Ils avaient laissé l’océan derrière eux, mais pas l’eau. Il pleuvait à verse. La seule lumière visible était celle du bateau qui s’éloignait. Bree se leva et serra son manteau autour de Jonathan.
— Vous m’aviez promis de m’emmener au port ! cria-t-elle.
Cela ne servait à rien, mais Brianna Meadows n’avait jamais été du genre à recevoir des coups sans broncher.
— Estimez-vous heureuse ! lui lança Bob. Je vous ai déposée sur la côte !
— Ils vont nous tuer !
— Et je préfère rester en vie. Je suis désolé pour votre fils, mais vous n’apportez que des ennuis.
— Mais…
Il ajouta quelque chose, que le vent et la pluie l’empêchèrent d’entendre. Le moteur du bateau se mit à rugir quand Bob accéléra. C’était une embarcation rapide et maniable, un peu trop légère pour la tempête qui approchait. Bree avait versé une grosse somme à Bob pour qu’il la dépose sur le continent, où elle aurait pu prendre un car. Au lieu de l’emmener jusqu’à un port, il l’avait abandonnée sur le rivage au premier signe de danger. Bien sûr, il était habitué à promener des touristes, pas à échapper à des hommes armés.
Les kilomètres défilaient sans qu’elle s’en aperçoive. Mais à travers le brouillard de ses larmes, elle ne voyait rien. Rien, en dehors du vide immense qui occupait dorénavant son esprit et vers lequel elle était irrémédiablement tournée.
Dix mois s’étaient déjà écoulés depuis la mort tragique de Jérémy et la culpabilité continuait à la ronger sans relâche.
Comment tout cela avait-il pu arriver ?
Comment le destin avait-il pu les frapper aussi durement, aussi impitoyablement ?
Pourquoi n’avait-elle rien pu faire ?
Et surtout, pourquoi Jérémy avait-il croisé sa route ? Il serait encore bien vivant sans elle…
Malgré le temps écoulé, le sentiment de vide était toujours là. Corrosif, béant, silencieux, nauséeux… Chaque matin, l’espace d’une seconde, lorsqu’elle se réveillait, elle était heureuse. La nuit arrivait à engourdir sa souffrance ainsi que le manque. Puis son sourire la quittait et tout lui revenait en mémoire. Ses journées ressemblaient alors à un interminable cauchemar, lui laissant un goût amer dans la gorge et le sentiment qu’une immonde boule de cendre lui encombrait le ventre.
Les images spectrales qui hantaient le Vide menacèrent à nouveau de l’engloutir. Elle les repoussa. Il fallait qu’elle oublie. Elle le savait. Tout le monde le lui disait.
Un cri d’impuissance, d’injustice et de colère naquit dans son cœur, et s’épanouit dans sa gorge à travers un long sanglot douloureux, presque animal.
Elle secoua la tête. Des imbéciles. Tous. Que pouvaient-ils connaître du goût du malheur ? L’espace d’un instant, elle envia à ses amis leur innocence. Mais elle ne pouvait pas leur en vouloir. Ils ne pouvaient pas savoir
— Quoi donc ?
— Quelqu’un se fait appeler la mort, c’est écrit bizarrement !
— Je ne l’ai pas sur ma liste, s’étonna Richard.
— Moi non plus.
— Sébastien a raison, certifia Irwin, y’a bien un la mort de connecté, c’est écrit comme en hiéroglyphe. Regardez !
Il passa le portable à ses camarades qui vérifièrent tour à tour.
— Ah bah ça, c’est pas croyable ! s’interloqua Richard.
L’écran du portable affichait entre chaudassedunord et grossequeue : LáMØrt.
Seth en eut la chair de poule.
— C’est sûrement un défaut de réseau, supposa Greg, sans conviction.
— Non, c’est impossible ! affirma Richard.
— C’est toi ? demanda Sébastien. Tu me fais encore une de tes sales blagues ?
— Non, je t’assure.
— Si c’est toi, dit Seth, ce n’est pas une blague d’un très bon goût.
— Mais, putain, regardez, je suis encore connecté en tant que gothicman ! Et puis comment voulez-vous que je fasse ? Vous êtes cons ou quoi ?
Son père, Joaquim Blake, aimait et respectait les femmes. Ce qui ne l’empêchait nullement de s’en servir pour satisfaire uniquement ses besoins sexuels.
Comme il le disait si bien : Je suis né pour baiser. Ou encore : Je baise donc je suis.
Il avait enseigné à Warren et au frère de ce dernier, Dean, que beaucoup de femmes ne demandaient et n’attendaient que ça.
Et que tant qu’il y avait des chattes à baiser, ils ne devaient pas s’en priver. C’était le credo de son père.
Un credo dont il avait également fait le sien depuis longtemps. Toutes y passaient : célibataires, en couple, futures mariées, mariées, mères de famille, divorcées.
Je sens ensuite dans mes membres de violents fourmillements qui me paralysent peu à peu. Je crie, je tape de toutes mes forces sur la vitre… Je n’ai plus la lucidité pour voir et comprendre tout ce qui se passe au-dehors de ma bulle de verre.
Un fracas du diable m’explose les oreilles, une puissante lumière m’aveugle, le sol tremble puis se dérobe sous mes pieds, je tombe…
La foudre vient de nous tomber dessus…
Et le chaos total s’impose dans mon esprit.
« Improbable » devant être pris dans le sens du vieux français : invraisemblable, dont on ne peut pas apporter la preuve. Il s’agit d’enquêtes ne devant pas être menées officiellement. Il existe diverses raisons pour vouloir cacher les activités d’un enquêteur et c’est justement ce que je vous propose de découvrir. Entre vos mains, vous tenez une partie de mon journal de bord, dans lequel j’ai retranscrit mes aventures, parce que je trouve important d’en laisser une trace.
Il faut donc vous préparer à l’improbable. Sans adhérer à la théorie du complot mondial, il y a quand même énormément de choses cachées au public, dont les médias ont interdiction de parler. Et c’est justement quand il arrive un drame dans une instance « cachée » qu’on me demande d’intervenir. Vous pouvez croire à ces enquêtes ou non, moi je ne livre que les faits…
Ces sensations, qu’il appelait souvent « choses », il les avait goûtées il y a longtemps, dans un autre espace-temps.
Aujourd’hui, son regard brillait d’un éclat plus terne, moins vivace. C’était le regard d’un homme de soixante-treize ans qui avançait en s’appuyant sur sa canne avec difficulté et gaucherie. Il jurait parfois contre son épine dorsale qui s’était voûtée au fil des ans et faisait de lui « ce vieux con pourri » incapable de soulever autre chose que son bol de café le matin.
Thensen ne voyant plus l'intérêt de veiller sur Zhei dont la perversion dépasse ses propres limites, la prêtresse s'est endormie à même le sol. Son sommeil n'a pas pu être profond avec tous ces râles qui étaient sur le point de lui donner un haut le cœur.
Thensen se croyait au-dessus de tout ça. Après tout, les orgies, ça lui connaît. Elle n'est pas pure ni pudique. Le sexe à plusieurs lui est courant. Mais, la kitsune est à un niveau bien supérieur au sien. Un niveau tel que Thensen se remet également en question. Elle est plus âgée que Zhei et ne pratique pas la moitié de ses actes charnels. Et vu de l'extérieur, en tant que spectatrice, elle ne pensait pas être aussi dégoutée d'assister à une orgie. Était-ce à cause des homme-poissons ? Oui, sûrement, car elle est hermétique à leur charme.
De la bouteille aux médocs, de la cigarette aux pires drogues.
Je me suis retrouvé à squatter ici et là.
- Accouche !!!
- MMM… ah oui, vous voulez savoir si j'ai pu rencontrer ceux qui veulent raser notre cimetière pour y mettre un parking?
- Oui, oui, on veut tout savoir.
- Nous avons négocié et pour finir je les ai tous bouffés.
Je ne sais pas depuis quand, mais…
Les gens ont fini par croire que c'était normal.
Mais une fois que je me retrouve au sol, à plat ventre, avec le gros qui me tient les bras et appuie de tout son poids sur mon dos, je ne peux plus faire grand-chose. Je les traite de tous les noms, mais ils ne répondent pas. Je leur dis qu’ils peuvent prendre mon portefeuille, ma voiture, tout ce qu’ils veulent, mais putain, qu’ils me lâchent.
Toujours pas de réponse.
J’essaye de rouler sur le côté, mais le gros enfonce son genou dans ma colonne vertébrale et tire mes bras vers le haut. Mon épaule commence à se déboîter et je crie, moins de douleur que de frustration.
À l’intérieur du bar, tout le monde est encore en train de boire tranquillement. Doug raconte des histoires des années soixante, quand il se droguait avec les beats, tandis que les autres professeurs écoutent, rient et font semblant d’être impressionnés. Je le sais parce qu’il y a cinq minutes, j’étais parmi eux.
Maintenant, je suis dehors avec ces deux gars et j’ignore complètement qui ils sont.
– Ce train va partir en retard, dit-elle. Je me demande ce qui se passe. D’après l’horloge qui est sur le quai, il est déjà plus de midi. Mais ce n’est pas étonnant, j’imagine, dans les circonstances actuelles. (Elle ajouta alors quelque chose qui me surprit.) Si je m’endors, Barney, ne perds pas de vue la valise, tu m’entends ? Tout ce que nous avons au monde est là-haut, sur le filet à bagages, et je ne voudrais pas que quelqu’un nous le pique.
J’étais justement en train de penser que c’était étrange qu’elle m’ait dit ça, puisqu’il n’y avait personne d’autre que nous deux dans la voiture, lorsque la porte s’ouvrit, laissant passer un homme qui la referma bruyamment derrière lui. Il ne nous adressa pas la parole, comme s’il s’apercevait à peine de notre présence. Il enleva son chapeau, le posa sur le filet à côté de notre valise, puis s’assit en face de nous. Il jeta un coup d’œil à sa montre et ouvrit un journal, son visage disparaissant derrière les pages pendant un certain temps. À un moment, il dut le poser sur ses genoux pour se moucher, et surprit mon regard fixé sur lui. Il hocha la tête.