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Glenn Gould piano solo



Description ajoutée par Orion-galaxy 2013-03-21T18:56:09+01:00

Résumé

«Mais ce jour-là, lors de son dernier concert donné à Chicago le dimanche 28 mars 1964, quelque chose s'était effondré dans le troisième mouvement de la Sonate opus 110 de Beethoven, quand se déplore le Klagender Gesang, le chant de douleur. Il n'avait pu faire le crescendo qui sous-tend la plainte. Il ne pouvait faire cela. Pas devant eux, les deux mille qui regardaient, attendaient la fin. C'était comme se dévêtir, ou mourir. Il fallait se cacher. Il savait que la fugue allait venir très vite, où il pourrait se masquer de sérénité. Mais il reviendrait aussi, encore, voilé, perdendo le forze, l'Arioso de douleur, et alors, la pédale una corda ne suffirait pas à teinter d'absence la phrase qui s'efface. Il faudrait encore moins de son.»

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Classement en biblio - 3 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Caroline 2014-01-08T13:18:18+01:00

"il aurait voulu que ses enregistrements de Beethoven ( deuxième concerto ) possédasse le son de ceux de Schnabel, pauvre en harmoniques. A quoi son ingénieur du son répondit : « Vous n’avez qu’à les écouter au téléphone sur un appel longue distance.»

/.../ j’aime cette idée que la musique puisse finalement n ‘être que cela : un appel longue distance. On joue, on ne sait qui on appelle. On n’ignore qui appelle en soi. Une simple vibration de l’air entre deux lointains, une ligne bruissante joignant deux êtres dont on ne sait rien, sinon qu’ils sont perdus".

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Glenn Gould piano solo

  • France : 1995-03-15 - Poche (Français)

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