1998
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Qui suis-je ?
je vais maintenant me faire un peu de " pub" pour des textes que j'écris. Venez vite les lire car après cette lecture, vous serez bouleversés à jamais. Voilà l'adresse : http://booknode.com/forum/viewtopic.php?f=10&t=86572&p=480502#p480502
Tu vois la fille que tu viens de traiter de grosse ? Elle a fait une tentavie de sucide ya pas longtemps. La fille que tu viens de traiter de laide ? Elle passe des heures à se mettre du maquillage devant le miroir en espérant que les gens l'aiment. Le garçon que tu viens de faire tomber ? Il est maltraité à la maison. Tu vois l'homme avec les cicatrices ? Il a combattu pour son pays. Le gars dont tu viens de te moquer parce qu'il pleure ? Sa mère est en train de mourir. Mets ça sur ton mur si tu es contre l'intimidation, la méchanceté gratuite et le mépris. Je suis sûre que 95% d'entre vous ne le mettront pas, mais je suis sûre que les gens avec un cœur le feront.
Un enfant handicapé n'est pas un enfant malade et n'est pas contagieux. Il demande juste qu'on l'accepte tel qu'il est dans la société ! 97% d'entre nous ne copieront pas cette annonce et ne l'utiliseront pas dans leur QSJ.
Serais-tu, comme moi, l'un des 3%, à afficher ce texte au moins 1h sur ton QSJ ?
Si tu as un coeur vas-y. ♥
L'espoir fait vivre, le rêve le fait durer <3
La vie est un chaos, la mort une liberté ...
On ne voit bien qu'avec le cœur, l'essentiel est invisible pour les yeux ;)
"L'absence de l'être aimé laisse derrière soi un lent poison qui s'appelle l'oubli."
Claude Aveline
"Donner est un plaisir plus durable que recevoir ; car celui des deux qui donne est celui qui se souvient le plus longtemps."
Chamfort.
"Qui donne ne doit jamais s'en souvenir, qui reçoit ne doit jamais l'oublier."
Sentances et proverbes Rabbins.
"Le difficile n'est pas d'être avec ses amis quand ils ont raison, mais quand ils ont tort."
André Malraux
"Les feux de l'amour laissent parfois une cendre d'amitié."
Henri de Régnier
"Avoir beaucoup d'amis, c'est n'avoir pas d'amis."
Aristote
"Sur vingt amis, dix-neuf disent de vous du mal, et le vingtième, qui en dit du bien, le dit mal."
Rivarol
"Un des bonheurs de l'amitié c'est d'avoir à qui confier un secret."
Alessandro Manzoni
"L'esprit oublie toutes les souffrances quand le chagrin a des compagnons et que l'amitié le console."
William Shakespeare
"Tu Deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé."
Antoine De Saint-Exupéry
"L'amour comme un vertige, comme un sacrifice, et comme le dernier mot de tout."
Alain-Fournier (Henri Alban Fournier, dit
"L'enfer, [...] c'est de ne plus aimer."
Georges Bernanos
"L'amour, c'est des grand mots avant, des petits mots pendant et des gros mots après."
S.Guitry
"L'amour consiste a être bête ensemble"
Paul Valery
"Aimer, ce n'est pas se regarder l'un l'autre, c'est regarder ensemble dans la même direction.
Antoine de Saint- Exupéry
"Quand je n'aime plus, j'ai autant d'envie de ne plus être aimé, que j'en ai d'être aimé quand j'aime."
Fontenelle
"Quand on aime pas trop, on aime pas assez."
Bussy-Rabutin
Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage,
Traversé çà et là par de brillants soleils ;
Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage,
Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils.
Voilà que j'ai touché l'automne des idées,
Et qu'il faut employer la pelle et les râteaux
Pour rassembler à neuf les terres inondées,
Où l'eau creuse des trous grands comme des tombeaux.
Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve
Trouveront dans ce sol lavé comme une grève
Le mystique aliment qui ferait leur vigueur ?
- Ô douleur ! Ô douleur ! Le temps mange la vie,
Et l'obscur ennemi qui nous ronge le cœur
Du sang que nous perdons croît et se fortifie !
Charle baudelaire les fleurs du mal
Homme libre, toujours tu chériras la mer !
La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme
Dans le déroulement infini de sa lame,
Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer.
Tu te plais à plonger au sein de ton image ;
Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton cœur
Se distrait quelquefois de sa propre rumeur
Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage.
Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets :
Homme, nul n'a sondé le fond de tes abîmes,
Ô mer, nul ne connaît tes richesses intimes,
Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets !
Et cependant voilà des siècles innombrables
Que vous vous combattez sans pitié ni remord,
Tellement vous aimez le carnage et la mort,
Ô lutteurs éternels, ô frères implacables !
Toi qui, comme un coup de couteau,
Dans mon cœur plaintif es entrée ;
Toi qui, forte comme un troupeau
De démons, vins, folle et parée,
De mon esprit humilié
Faire ton lit et ton domaine ;
- Infâme à qui je suis lié
Comme le forçat à la chaîne,
Comme au jeu le joueur têtu,
Comme à la bouteille l'ivrogne,
Comme aux vermines la charogne,
- Maudite, maudite sois-tu !
J'ai prié le glaive rapide
De conquérir ma liberté,
Et j'ai dit au poison perfide
De secourir ma lâcheté.
Hélas ! Le poison et le glaive
M'ont pris en dédain et m'ont dit :
" Tu n'es pas digne qu'on t'enlève
À ton esclavage maudit,
Imbécile ! - de son empire
Si nos efforts te délivraient,
Tes baisers ressusciteraient
Le cadavre de ton vampire ! "
Viens, mon beau chat, sur mon cœur amoureux ;
Retiens les griffes de ta patte,
Et laisse-moi plonger dans tes beaux yeux,
Mêlés de métal et d'agate.
Lorsque mes doigts caressent à loisir
Ta tête et ton dos élastique,
Et que ma main s'enivre du plaisir
De palper ton corps électrique,
Je vois ma femme en esprit. Son regard,
Comme le tien, aimable bête,
Profond et froid, coupe et fend comme un dard,
Et, des pieds jusques à la tête,
Un air subtil, un dangereux parfum,
Nagent autour de son corps brun.
Ce soir, la lune rêve avec plus de paresse ;
Ainsi qu'une beauté, sur de nombreux coussins,
Qui d'une main distraite et légère caresse
Avant de s'endormir le contour de ses seins,
Sur le dos satiné des molles avalanches,
Mourante, elle se livre aux longues pâmoisons,
Et promène ses yeux sur les visions blanches
Qui montent dans l'azur comme des floraisons.
Quand parfois sur ce globe, en sa langueur oisive,
Elle laisse filer une larme furtive,
Un poète pieux, ennemi du sommeil,
Dans le creux de sa main prend cette larme pâle,
Aux reflets irisés comme un fragment d'opale,
Et la met dans son cœur loin des yeux du soleil.
Il me semble parfois que mon sang coule à flots,
Ainsi qu'une fontaine aux rythmiques sanglots.
Je l'entends bien qui coule avec un long murmure,
Mais je me tâte en vain pour trouver la blessure.
À travers la cité, comme dans un champ clos,
Il s'en va, transformant les pavés en îlots,
Désaltérant la soif de chaque créature,
Et partout colorant en rouge la nature.
J'ai demandé souvent à des vins captieux
D'endormir pour un jour la terreur qui me mine ;
Le vin rend œil plus clair et l'oreille plus fine !
J'ai cherché dans l'amour un sommeil oublieux ;
Mais l'amour n'est pour moi qu'un matelas d'aiguilles
Fait pour donner à boire à ces cruelles filles !
C'est la Mort qui console, hélas ! Et qui fait vivre ;
C'est le but de la vie, et c'est le seul espoir
Qui, comme un élixir, nous monte et nous enivre,
Et nous donne le cœur de marcher jusqu'au soir ;
À travers la tempête, et la neige, et le givre,
C'est la clarté vibrante à notre horizon noir ;
C'est l'auberge fameuse inscrite sur le livre,
Où l'on pourra manger, et dormir, et s'asseoir ;
C'est un Ange qui tient dans ses doigts magnétiques
Le sommeil et le don des rêves extatiques,
Et qui refait le lit des gens pauvres et nus ;
C'est la gloire des dieux, c'est le grenier mystique,
C'est la bourse du pauvre et sa patrie antique,
C'est le portique ouvert sur les Cieux inconnus !
Sous une lumière blafarde
Court, danse et se tord sans raison
La Vie, impudente et criarde.
Aussi, sitôt qu'à l'horizon
La nuit voluptueuse monte,
Apaisant tout, même la faim,
Effaçant tout, même la honte,
Le Poète se dit : " Enfin !
Mon esprit, comme mes vertèbres,
Invoque ardemment le repos ;
Le cœur plein de songes funèbres,
Je vais me coucher sur le dos
Et me rouler dans vos rideaux,
Ô rafraîchissantes ténèbres ! "
bon bah voilà une bonne chose de faite, mon mur ne fera que grandir et s'épanouir de jours en jours ;)