... : Merci infiniment de nous avoir sauvés !
Zeno : Si mon corps peut vous être utile, il est à votre disposition.
Ki-Jae : Ne dis pas ça sans réfléchir.
Zeno : Ah, Kuryû, rentre tes griffes.
Jae-Ha : Toi alors...
Yeon : Espèce de gros crétin !

"Oui, je deviendrai Alisha. J'épouserai le prince de Galgada et monterai un jour sur le trône en tant que reine. Je suis la seule à pouvoir le faire. J'en suis capable. Je... je protégerai cet homme et sa liberté." # Nina

"Je vais me marier à Galgada. Je donnerai tout pour devenir reine afin d'être le bouclier protégeant Fortuna. Cependant, je ne le ferai uniquement que si Azur est vivant. Je suis la prêtresse des étoiles. Mes yeux peuvent voir jusqu'au bout du monde. Si jamais Azur devait mourir dans des circonstances suspectes, je guiderai Galgada et deviendrai alors l'épée qui détruira Fortuna." # Nina

"Ce que ces pupilles honnêtes fixent... depuis tout ce temps, ça n'a jamais été le prince... Jusqu'à présent, je n'avais jamais rien trouvé que je désirais vraiment." # Azur

"Tu n'as pas été le pion auquel je m'attendais. Pour moi, tu es unique. Et je ne te laisserai pas mourir." # Azur

"Je ne suis pas de sang royal. Je suis comme toi... le double d'un prince décédé." # Azur

"La soeur est morbide, le frère est pervers... quelle famille !!!" # Bulma

Krilin : En un seul coup...
Yamcha : C'est pas possible. Qu'est-ce que ça veut dire ?
Grand-père : Alors là... je n'aurais jamais cru que c'était à ce point ! Le saligaud, c'est devenu quelqu'un d'extraordinaire.*
Bulma : P'tit Son est devenu aussi fort que ça ?
Grand-père : Hum, j'en suis étonné moi-même. Je comprends maintenant comment il a pu exterminer l'armée du Red Ribon à lui tout seul...
Krilin : Quel type incroyable. Je m'en étais même pas rendu compte parce qu'il a toujours le même air tranquille.
Yamcha : C'est vrai que mine de rien, il a affronté pas mal de dangers sans problème.

"Assurer la pérennité de la famille Plantagenêt est la seule chose qui m'importe. J'ai même sacrifié mon frère pour cela, je suis prêt à tout !" # Richard

Buckingham : Allez ! Dis-moi quel est ton véritable désir ? Avoue ce que tu convoites depuis toujours !
Richard : Ce que je veux...
Buckingham : Oui ? Continue...
Richard : Ce que je veux, c'est la couronne !
Buckingham : Eh bien, soit ! J'oeuvrerai sans relâche pour te l'offrir ! Souviens-toi toujours de cette douleur car désormais, elle scelle le serment qui nous lie ! Tel est le supplice infligé par le péché que nous commettons ensemble.

Buckingham : Pourquoi tu ne m'as jamais rien dit ? Tu croyais que je ne te ferais plus confiance si tu me mettais au courant ? Tu avais peur de me perdre ?
Richard : Te perdre ?
Buckingham : C'est ça. Je t'ai pris pour une femme lors de notre première rencontre. Tu es exactement comme je t'imaginais depuis ce jour.
Richard : Arrête ! Je suis...
Buckingham : Un homme, c'est ça ? Je le reconnais, tu en es un aussi ! Mais est-ce quelqu'un t'a déjà aimé pour tes attributs féminins ? Toute ta vie, tu as dû cacher qui tu étais réellement mais moi, je sais qu'on est pareils ! Je demande au Richard que personne ne connaît et que lui-même ne discerne pas entièrement de me confier ses véritables désirs et alors je le soulagerai de la moitié de son fardeau démoniaque ! Je sais que tu as besoin de moi pour assouvir ton ambition. Richard, tu n'auras plus d'autre occasion. A toi de faire en sorte que tes souhaits soient comblés sinon, ta vie s'achèvera sans que tu laies réalisé tes rêves !

"De ton vivant, il va forcément se passer énormément de choses. Quoiqu'il t'arrive, quoi que tu subisses, tu ne pourras jamais remonter le temps et effacer ce qui s'est passé. Tu n'as donc d'autre choix que de faire de toutes ces épreuves une part de toi que tes épaules devront supporter tout au long de ta vie."

"Je sais que pour elle, je serai toujours Six. Dans mon cœur aussi. Ces pseudonymes successifs ne sont que des coquilles vides, ils ne reflètent pas mon intériorité. Je suis certaine que, sur Lorien, j'avais un nom, un vrai, et pas juste un numéro. Mais ça remonte à si loin, et entre-temps j'ai tellement changé d'identité que je ne me le rappelle pas. Six, voilà mon vrai nom. Voilà qui je suis."

Des années se sont écoulées.
J'ai mené une vie instable, sans cesse en mouvement, de ville en ville. Je fuis tout lien et tout échange pour me concentrer sur mes facultés de combat et mes Dons. Après l'invisibilité, c'est la télékinésie qui s'est manifestée puis, ces derniers mois, j'en ai découvert un nouveau : je peux maîtriser et manipuler la météo.
Je me sers peu de celui-là, car c'est surtout un bon moyen d'attirer l'attention, ce que je dois à tout prix éviter.

"Après avoir enlevé à sa rivale, liberté, pouvoir, couronne, royaume, Elisabeth lui ravit la dernière chose qu'elle possédât encore : son enfant. Cette fois, la vengeance est complète."

_ Voilà comment on va procéder : à chaque fois que tu répondras correctement à une question, une fille enlèvera une couche de son kimono ! ça te motivera, hein ?!
_ Du moment que cette fille n'est pas Kirisa, ça pourrait me motiver.
_ Ah bon ? Pourquoi ? Elle te convient pas ? Elle est assez mignonne pourtant. Ah ! Je sais ! Le pelotage de seins est compris !
_ Je suis pas un article en promotion !!!
_ Allez, Kirisa, mets-y un peu du tien ! Tu veux que Hibiki soit promu avec toi, non ? S'il échoue, vous n'aurez plus l'occasion de partir ensemble en mission.
_ J'aurais mieux fait de ne pas venir... j'ai un rendez-vous, je dois vous laisser.

_ Si ses hôtes meurent, le kurohami peut survivre en mangeant d'autres humains. C'est tout simple.
_ Tu t'y connais bien.
_ Évidemment. C'est parce que c'est moi qui ai élevé ce kurohami.
_ Pourquoi ?
_ Pour un clave. Tu sais que les claves sont fabriqués à partir d'Akatsuki ? Plus l'Akatsuki est fort, plus le clave est puissant. Autrement dit, pour obtenir un clave puissant, il faut un akatsuki fort. Mais ce genre de bête n'apparaît pas à la demande. Du coup, je me suis dit "pourquoi ne pas créer mon propre Akatsuki" ?

"Tu as dépassé les Hokage, désormais Naruto. Tu es un héros reconnu et aimé de tous. Pourtant, tu aspires toujours à cette fonction. Quant à toi, Sakura, tu as évolué. Même si tu gardes des sentiments pour lui, ce n'est plus la même chose. Ce garçon a cherché à te tuer... pourtant, tu l'aimes encore. Tu n'as pas pu te résoudre à le rejeter. Tu t'es même donné pour mission de le sauver. Tu as toujours été généreuse... Sasuke, ton objectif, c'était Itachi. Maintenant qu'il est mort, que cherches-tu ? Que désires-tu ? Je n'ai jamais réussi à percer ton coeur, même lorsque j'étais ton maître, c'est encore le cas aujourd'hui." # Kakashi

Rikudo : Naruto... Que désires-tu réellement ? Qu'espères-tu, une fois cette bataille achevée ? Il faut que tu sois totalement sincère avec moi.
Naruto : C'est sûr, je ressemble peut-être un peu à cet Asura. Même si je n'ai pas son intelligence ni sa maturité. Tant de choses échappent à ma compréhension mais je sais ce que signifie avoir des amis. Et je veux tout faire pour les protéger.

"C'est le souffle du plus grand des dragons qui a forgé le Trône de Fer... les épées des vaincus, un millier d'épées, que l'on a fait fondre, comme autant de chandelles..." # Viserys Targaryen

Ce fut au vingt-deuxième jour de la cinquième lune de l'an 130 que les dragons dansèrent et moururent au-dessus de l'Oeildieu. A sa mort, Daemon Targaryen avait quarante-neuf ans ; le prince Aemond venait tout juste d'en avoir vingt. Vhagar, le plus grand des dragons Targaryen depuis la mort de Balerion, la Terreur Noire, avait décompté cent quatre-vingt-une années sur cette terre. Ainsi disparut la dernière créature à avoir vécu au temps de la Conquête d'Aegon, tandis que le crépuscule et la nuit avalaient le siège maudit d'Harren le Noir. Pourtant, si peu de monde était présent pour porter témoignage qu'un délai s'écoulerait avant que le récit de la dernière bataille du prince Daemon soit largement connu.

"Dites à mon demi-frère que j'aurai mon trône, ou que j'aurai sa tête."
Aegon II avait vingt-deux ans, il était prompt à la colère et lent au pardon. Le refus de Rhaenyra d'accepter son règne le mit en rage. "Je lui ai offert une paix honorable, et cette putain me crache au visage, déclara-t-il. Ce qui arrivera ensuite sera de sa faute."
Ce qui arriva ensuite, ce fut la guerre.

L'histoire a baptisé Danse des Dragons la lutte entre le roi Aegon II et sa demi-soeur Rhaenyra, mais il n'y eut qu'à Chutebourg que les dragons ont jamais dansé vraiment. Tessarion et Fumée-des-Mers étaient de jeunes dragons, plus souples dans les airs que leurs congénères plus âgés. Sans répit, ils se ruèrent l'un sur l'autre jusqu'à ce que l'un ou l'autre esquive au tout dernier moment. Prenant de l'altitude comme des aigles, piquant comme des faucons, ils décrivaient des cercles, claquaient des mâchoires et rugissant, crachant du feu, mais sans jamais venir au contact.

"Dans les Degrés, mes ennemis avaient appris à courir se cacher en voyant les ailes de Caraxès ou en l'entendant rugir... mais ils n'avaient eux-même aucun dragon. Il n'est pas aisé pour un homme de se faire tueur de dragons. Mais des dragons peuvent tuer leurs pareils et l'ont déjà fait. Tout mestre qui a étudié l'histoire de Valyria vous le dira. Je ne jetterai pas nos dragons contre ceux de l'usurpateur, à moins de ne pas avoir d'autre choix. Il est d'autres façons, meilleures, de les utiliser." # Daemon

Rhaenyra écouta ces termes dans un silence de pierre, puis elle demanda à Orwyle s'il se souvenait de son père, le roi Viserys. "Bien sûr, Votre Grâce, répondit le mestre.
_ Peut-être pouvez-vous nous dire qui il a désigné comme son héritier et successeur, poursuivit la reine, la couronne sur sa tête.
_ Vous, Votre Grâce", répondit Orwyle. Et Rhaenyra hocha la tête, ajoutant : "De votre propre aveu, vous admettez que je suis votre reine légitime. Pourquoi, en ce cas, servez-vous mon demi-frère, l'usurpateur ?"

Ser Marston tira son épée du fourreau, mit un genou en terre et ajouta : "Je jure sur mon épée à la vue des dieux et des hommes que nul ne vous portera atteinte tant que je serai à vos côtés."
Si le Lord Commandant avait imaginé que ces mots convaincraient le roi, il n'aurait pu se tromper davantage.
"Vous étiez à mes côtés quand le dragon a dévoré ma mère, répondit Aegon. Vous vous êtes borné à regarder. Je refuse que vous regardiez tandis qu'on tue l'épouse de mon frère."
Puis il quitta le chemin de ronde, et aucune parole de Marston Waters ne put le persuader de revenir ce jour-là, ni le suivant, ni celui d'après.