Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 956
Membres
1 014 489

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Commentaires de livres faits par Marshoo

Extraits de livres par Marshoo

Commentaires de livres appréciés par Marshoo

Extraits de livres appréciés par Marshoo

date : 16-07-2016
Celui qui possède reçoit toujours plus, et celui qui n'a rien, on lui enlève plus encore.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
date : 16-07-2016
- Oh, quels brutes, tous ceux qui martèlent dans nos cervelles torturées que les artistes doivent souffrir. Quel infâme mensonge romantique ! Ce n'est pas parce que Millet crevait de faim et de froid mais peignait de magnifiques toiles que Corot est moins grand, lui fait a des rentes.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
date : 16-07-2016
L'angoisse de vivre fait rage en moi depuis que je sais penser - de même que la maladie depuis que j'ai reçu la vie - je les ai toutes les deux héritées. Elles sont la malédictions injuste qui me poursuit. Pourtant, j'ai souvent le sentiment que j'ai besoin de cette angoisse de vivre - elle m'est nécessaire - je ne pourrais vivre sans elle.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
" Le magazine Elle a listé ce que les femmes demandent à l'homme contemporain tout en s'interrogeant si ce n'est pas trop. Je vous laisse juge.
Texte intégral : "On le rêve... Crapule mais intègre... Rêveur mais lucide... Irrésistible mais fidèle... Musclé mais intello... Rustique mais citadin... Loquace mais mystérieux... Brut mais profond... Viril mais serviable... Doux mais torride... Barraqué mais délicat... Courageux mais raisonnable... Drôle mais sérieux... Bon vivant mais immortel."
Un mec normal quoi.
Jusqu'à preuve du contraire... "
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
[Pourquoi, quand un homme a du succès avec les femmes, c'est un séducteur, et quand une femme a du succès avec les hommes, c'est une salope ?]
Post-scriptum (si vous doutiez encore de l'acuité de ce cliché en notre époque éprise d'égalité et de liberté sexuelle):
- Un homme à femme : c'est un séducteur ; une femme à hommes : c'est une pute.
- Un entraîneur : c'est un homme qui entraîne une équipe sportive ; une entraîneuse : c'est une pute.
- Un professionnel : c'est un sportif de haut niveau ; une professionnelle : c'est une pute.
- Un coureur : c'est un homme qui est bon joggeur, ou pilote de F1 ; une coureuse : c'est une pute.
- Un homme qui fait le trottoir : c'est un cantonnier ; une femme qui fait le trottoir : c'est une pute.
- Un courtisan : c'est un homme proche du roi ; une courtisane : c'est une pute.
- Un gars : c'est un jeune homme ; une garce : c'est une pute.
- Un péripatéticien : c'est un philosophe partisan de la doctrine d'Aristote ; une péripatéticienne : c'est une pute.
- Un homme public : c'est un homme connu ; une femme publique : c'est une pute.
- Un homme facile : c'est un homme agréable à vivre ; une femme facile : c'est une pute.
- Un homme de petite vertu : cela ne se dit pas ; une femme de petite vertu : c'est une pute.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
"Comme m'avait dit un jour mon notaire, non sans cynisme : "Un homme qui se tape pleins de femmes, il pérennise l'espèce. Une femme qui se tape pleins d'hommes, elle fout le bordel dans les droits de succession."
Jusqu'à preuve du contraire..."
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
" Drauzio Varella, médecin et essayiste brésilien, fait les comptes : "Dans le monde actuel, nous investissons cinq fois plus d'argent en médicaments pour la virilité masculine et en silicone pour les seins des femmes que pour la guérison de la maladie d'Alzheimer. Dans quelques années, nous aurons des femmes avec de gros seins, des vieux à la verge dure, mais aucun d'entre eux ne se rappellera à quoi ça sert." Jusqu'à preuve du contraire..."
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
date : 07-01-2016
Le laid, pour le beau restera toujours laid. Alors que le beau, pour le laid, n'en paraîtra que toujours plus beau.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
06 Au feu rouge :
A. Ton papa est en pole position pour le Grand Prix de F1.
B. Ta maman se cache parce qu'elle a honte de ton papa.
C. Tu espères pour la tête du piéton-zombie qu'il aura traversé avant que le feu passe au vert.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
« Dans l’aube rougeoyante d’un petit matin de printemps, j’ai vu les roches veinées de Petra surgir à l’horizon derrière les haies de mon jardin… Le rire clair de Dahoum résonner en milliers d’éclats au-delà de la cime des grands arbres… Et la bouille de Wooley nous attendant, inquiet, à la porte d’Aqaba, un jour de mai 1914… »

Source : http://e-fractionsdiffusion.com/librairie/lawrence-darabie-a-contre-corps/
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
" - En voilà un qui va se faire défoncer la tête en prison ! commenta Mortimer. Ce porc n'aura que ce qu'il mérite !
- Tstt ! le tança sévèrement Barbara.
- Quoi ? C'est un porc, non ?
- Je n'aime pas que tu parles mal.
Mortimer soupira et, les yeux plissés, rectifia en prenant un ton affecté :
- Oh ! voilà un vilain dégénéré qui va rencontrer quelques désagréments lors de son incarcération !"
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
date : 31-07-2015
"- J'aimerais que la vie ressemble davantage à mes bouquins, se plaint Fern en sortant du lycée, son sac à dos et celui de Bailey sur ses frêles épaules. Dans les livres, les personnages principaux ne meurent jamais. S'ils meurent, l'histoire est gâchée ou, alors, elle s'arrête carrément.
- Tout le monde est le personnage principal de quelqu'un, rétorque Bailey.
[...]
Il y a des personnages secondaires, poursuit-il. Pense à ce qu'Ambrose a du ressentir ce matin-là, alors qu'il savait que sa mère travaillait dans une des deux tours. Assis à regarder les infos en se demandant s'il était en train d'assister à la mort de sa propre mère. Cette femme est un personnage secondaire pour nous, mais pour lui, c'est le rôle principal."
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
date : 06-06-2015
[08:41] VAM : Vous vous foutez de ma gueule ?
[08:55] HOUSTON : Ce sont certes des modifications très importantes, mais nous n'avons pas le choix. Le document que nous vous avons envoyé contient toutes les instructions nécessaires pour les réaliser à votre disposition. Vous aller aussi devoir commencer à électrolyser de l'eau pour alimenter en hydrogène l'usine à carburant. Vous recevrez très bientôt les détails de cette procédure.
[09:09] VAM : Vous m'envoyez dans l'espace à bord d'une décapotable.
[09:24] HOUSTON : Vous boucherez les trous avec de la toile à Habitat. Votre aérodynamisme sera suffisant dans l'atmosphère martienne.
[9:38] VAM : Ah ! la capote sera refermée, je suis soulagé.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
Pour l'instant, je ne m'inquiète pas d'être attaqué par un gang d'ados, de frat boys ou de beaufs. En plein jour, les respirants répugnent aux actes de violence éhontée sur les zombies. L'effet de meute et l'hystérie collective se réveillent après le coucher du soleil, lorsque le courage est alimenté par la bière, le whisky et l'obscurité. C'est typique des respirants. Ils ne tiennent pas à regarder en face et à la lumière du jour leur nature déplorable. Ils préfèrent l'affronter à la tombée de la nuit, quand elle est moins visible et plus facile à ignorer.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
date : 26-03-2015
Nous arrivons...
... d'un passé lointain.
Nous sommes déjà morts...
Vous pouvez seulement ressentir...
... La protection de notre énergie...
Telle la lumière des étoiles mortes.
Et cette énergie traverse les limbes jusqu'au cristal de votre conscience, explosant jusqu'à une interprétation...
Que vous, humains, appelez magie.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
" Les mecs sont tellement compliqués ! Son regard se pose sur des régimes de bananes. C'est tellement facile de savoir quels fruits sont bons et lesquels sont pourris. Ça se voit avant d'acheter. Pourquoi les mecs ne sont pas comme les bananes ? Pourquoi faut-il mettre son cœur sur la balance avant de voir que celui de l'autre est moisi ? "
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
date : 26-02-2015
" Je vous parle d'un temps que les adeptes du MP3 ne peuvent pas connaître. Le bon vieux temps où la musique se déclinait en deux faces et où, qu'il le veuille ou non, le consommateur de disques obtenait toujours deux titres pour le prix d'un. La face B, c'était le cadeau bonus, le truc en plus, ce morceau souvent inédit qu'il fallait aller chercher et découvrir de l'autre côté du miroir et qui vous entraînait souvent du côté obscur. Contraints de proposer deux chansons sur les galettes qui s'étaient imposées, face au rouleau, au début du phonographe, certains artistes se moquaient ouvertement de nous en recyclant des fonds de tiroirs, des jam-sessions enregistrées à la va-vite ; le même titre chanté a capella ou au contraire livré dans sa version instrumentale. D'autres y mettaient du coeur et se forçaient à offrir au fan un supplément d'âme et de qualité. Et les plus grands, comme les Beatles ou Elvis, incapables au faîte de leur gloire d'enregistrer de mauvais titres, ne sortaient que des singles avec double face A, que l'on pouvait retourner indéfiniment sans arriver à décider quel titre était le meilleur. Le mouvement perpétuel appliqué à la musique populaire.
La face B est indéfectiblement liée à un format, le 45 tours, et à une époque allant de l'après-guerre jusqu'à l'invention du CD, lorsque ces microsillons assuraient la majeure partie des ventes de musique. La vogue de la face B déclina un peu dès les années 1970, où l'album (ou 33 tours) remplaça le 45 tours dans le coeur des mélomanes. Mais le terme n'a pas disparu, en dépit de l'avènement des formats à une face comme le CD, qui glissait des faces B à la suite des faces A, et malgré la dématérialisation des supports. C'est qu'avec le temps, «face B» est aussi devenu synonyme de pépite, de trésor caché, de morceau que seul l'initié possède ou revendique. Pour les rappeurs, la face B (ou B-side), c'est le refuge de la contestation, du délit d'initié, la zone d'ombre où se retrouvent les vrais experts, les puristes...
Les 180 titres réunis ici ne prétendent pas être les meilleurs versos de 45 tours jamais enregistrés. La qualité a moins primé dans notre choix que l'importance, le succès, ou l'ingéniosité déployée pour contourner la figure imposée du titre à glisser impérativement au dos d'un enregistrement. La plupart sont pourtant des classiques de la musique populaire, des tubes, des titres devenus d'autant plus mythiques qu'ils se sont imposés au grand public en dépit de l'ombre qui leur avait été faite initialement. Pensez que quelques-uns des plus grands titres de l'histoire de la musique populaire du XXe siècle - «Rock around the clock», «Be Bop-a-Lula», «La Bamba», «Amsterdam» - étaient à l'origine relégués à l'arrière-plan ! Ce florilège démontre aussi l'énormité des erreurs commises par les directeurs artistiques et les producteurs, incapables d'identifier un authentique hit. Ne les blâmons pas. Souvent, les artistes eux-mêmes ont fait le mauvais choix. Mais une chanson populaire finit toujours par s'imposer. Voici donc la petite histoire de 180 chansons sans lesquelles la face du rock, de la pop et de la variété aurait été changée. "
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
[Séléné / Thomas]
" Un demi-sourire désabusé étira ses lèvres.
-Je n'ai pas d'amis, je traîne avec eux parce qu'ils sont là. Eux ou quelqu'un d'autre... Tout le monde finit toujours par te trahir. Au moins avec eux, je sais à quoi m'en tenir.
- C'est la chose la plus débile que j'ai jamais entendue.
J'étais révoltée par son nihilisme blasé. Je m'étais tant de fois sentie inférieure, accablée par ma propre médiocrité, et lui, il avait tout et il gâchait son temps avec une bande de crétin prétentieux.
- Tout le monde t'admire à Darcourt, tu as un don, et au lieu d'en profiter et d'en faire profiter les autres, tu glandes avec ces tocards.
Il racana et exécuta une suite d'accords dissonants.
- Ah oui ! C'est vrai. Mon talent. Toutes les filles veulent coucher avec moi pour que je leur écrive une chanson. Super, je suis la rock star du lycée, ricana-t-il, blasé.
Un éclair traversa ses yeux noirs et il ajouta d'un ton goguenard :
- Toi aussi, tu la veux, ta chanson ?
Je tressaillis sous l'insulte et je me sentis rougir malgré moi. Une rage froide m'envahit. Surtout ne pas entrer dans son jeu. Je soutins son regard jusqu'à ce que le sien flanche.
- Il faudrait d'abord que tu me la chantes, répondis-je sans perdre mon flegme. Tu as déjà écrit des morceaux ?
Il m'observa en silence un instant.
- Quelques-uns.
- Tu ne veux pas en jouer un, que je voie si ça en vaut la peine ?
- Non.
- Pourquoi ?
- Je préfère pas. Je n'ai pas envie de faire fuir les invités de notre cher Laszlo, dit-il sur un ton sarcastique.
- C'est nul, tu joues les mecs cool, mais au fond t'as la trouille. Continue comme ça, avec tes potes débiles, et tes petites reprises pour emballer les minettes. Ne prends surtout pas de risques, on ne sait jamais, tu pourrais réussir à faire quelque chose de ta vie.
Le sang se retira de son visage, et ses yeux étincelèrent de rage. Il attrapa sa guitare et quitta la pièce en claquant la porte. "
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
" SAC D'OS
Ou comment la mort fournit à Jack l'occasion d'échafauder une combine de plus...

Cette histoire est librement adaptée de "Mountain Jack Tales" du folklore américain. Conformément à la tradition orale, elle a été énormément modifiée par mes soins, ce qui est une manière polie de dire que j'ai plagié tout ce qui m'intéressait, changé des détails pour me faire plaisir et inventé le reste - Bill. "
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
" Qui lave le cendré
Ne se mariera jamais"
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
date : 31-01-2015
« Je me suis précipitée vers lui
et je l'ai pris dans mes bras.
Ses poils étaient gelés.
Il était lourd, mon Harrington,
très lourd pour mes petits bras
d'enfant.
Mais mon amour pour lui était
encore plus gros. »
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
date : 31-01-2015
« J’ai profité de ce répit pour faire quelques recherches. D’abord le téléphone. Un S63. Nommé ainsi parce que conçu en 1963 par la Socotel, une société qui, pour moi, avait un nom ressemblant plutôt à une boîte important des ananas et des noix de coco. Délicieux. Troisième génération des postes standardisés. Le must : le S63 (DCHFT6720) est arrivé après ses frangins, le PTT24 (DCHFT3784) et le U43 (DCHFT3783).
De la pure poésie.
Tout en plastique, plus quelques éléments en métal et des composants électroniques. Un kilo 480. Haut de 13 cm. 27 cm de long sur 26 de large.
Je m’amusais intensément.
J’étais le seul à savoir qu’il existait déjà, aux Pays-Bas ou en Flandre, quatre cents ans avant, et que des types, la fraise autour du cou, s’en servaient pour réserver une place à bord d’un coche d’eau.
Mais ce n’étaient pas des vérités à énoncer au grand jour. On m’aurait traité de dingue.
Ce que je devenais peut-être… »
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
date : 31-01-2015
« J’avais les jambes qui tremblaient. Je me suis assis sur une banquette installée au milieu de la grande salle. Pas de panique, ça n’allait pas durer. Déjà, depuis le temps honni de ma jeunesse, j’avais toujours craint les musées, que je visitais, étreint par une terreur intense. Les parents devraient réfléchir deux fois et tourner sept fois leur dentier dans leur bouche avant d’emmener la chair de leur chair, le squelette de leur squelette, dans ces horribles morgues surpeuplées de fantômes. Picasso, c’est terrifiant, tous ces gens qui s’enfuient en morceaux qui ne se recollent jamais, James Ensor, c’est déprimant, toutes ces horribles couleurs criardes et éthérées, Van Gogh ou Jérôme Bosch, c’est un cauchemar, sans parler de la Vénus de Milo, en qui les enfants voient une grande mutilée, et sans parler de toutes ces autres femmes difformes aux fesses hottentotes ou callipyges. Et Saturne, le vieillard lubrique de Goya, qui déguste monstrueusement ses enfants, ces mêmes enfants que les parents traînent dans les musées, en dévorant leur mental de la même manière. »
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
date : 23-12-2014
"Sauver quelqu'un, est-ce que ça oblige à sacrifier quelqu'un d'autre ?"
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
date : 13-12-2014
"Il s'est dit des trucs cons, et des trucs pas cons. Mathilde à un moment a dit que "l'amitié, c'est gérer les affinités. L'amour, c'est concilier les différences" " ce qui est nettement plus perilleux", a rétorqué Léo."
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
date : 12-12-2014
[Lu sur un panneau] "Vous entrez dans la vallée du Mammouth perdu... ET C'EST TRES DANGEREUX "
Avez vous apprécié cet extrait ? 0


  • aller en page :
  • 1
  • 2

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode