Commentaires de livres faits par Marshoo
Extraits de livres par Marshoo
Commentaires de livres appréciés par Marshoo
Extraits de livres appréciés par Marshoo
Texte intégral : "On le rêve... Crapule mais intègre... Rêveur mais lucide... Irrésistible mais fidèle... Musclé mais intello... Rustique mais citadin... Loquace mais mystérieux... Brut mais profond... Viril mais serviable... Doux mais torride... Barraqué mais délicat... Courageux mais raisonnable... Drôle mais sérieux... Bon vivant mais immortel."
Un mec normal quoi.
Jusqu'à preuve du contraire... "
Post-scriptum (si vous doutiez encore de l'acuité de ce cliché en notre époque éprise d'égalité et de liberté sexuelle):
- Un homme à femme : c'est un séducteur ; une femme à hommes : c'est une pute.
- Un entraîneur : c'est un homme qui entraîne une équipe sportive ; une entraîneuse : c'est une pute.
- Un professionnel : c'est un sportif de haut niveau ; une professionnelle : c'est une pute.
- Un coureur : c'est un homme qui est bon joggeur, ou pilote de F1 ; une coureuse : c'est une pute.
- Un homme qui fait le trottoir : c'est un cantonnier ; une femme qui fait le trottoir : c'est une pute.
- Un courtisan : c'est un homme proche du roi ; une courtisane : c'est une pute.
- Un gars : c'est un jeune homme ; une garce : c'est une pute.
- Un péripatéticien : c'est un philosophe partisan de la doctrine d'Aristote ; une péripatéticienne : c'est une pute.
- Un homme public : c'est un homme connu ; une femme publique : c'est une pute.
- Un homme facile : c'est un homme agréable à vivre ; une femme facile : c'est une pute.
- Un homme de petite vertu : cela ne se dit pas ; une femme de petite vertu : c'est une pute.
Jusqu'à preuve du contraire..."
A. Ton papa est en pole position pour le Grand Prix de F1.
B. Ta maman se cache parce qu'elle a honte de ton papa.
C. Tu espères pour la tête du piéton-zombie qu'il aura traversé avant que le feu passe au vert.
Source : http://e-fractionsdiffusion.com/librairie/lawrence-darabie-a-contre-corps/
- Tstt ! le tança sévèrement Barbara.
- Quoi ? C'est un porc, non ?
- Je n'aime pas que tu parles mal.
Mortimer soupira et, les yeux plissés, rectifia en prenant un ton affecté :
- Oh ! voilà un vilain dégénéré qui va rencontrer quelques désagréments lors de son incarcération !"
- Tout le monde est le personnage principal de quelqu'un, rétorque Bailey.
[...]
Il y a des personnages secondaires, poursuit-il. Pense à ce qu'Ambrose a du ressentir ce matin-là, alors qu'il savait que sa mère travaillait dans une des deux tours. Assis à regarder les infos en se demandant s'il était en train d'assister à la mort de sa propre mère. Cette femme est un personnage secondaire pour nous, mais pour lui, c'est le rôle principal."
[08:55] HOUSTON : Ce sont certes des modifications très importantes, mais nous n'avons pas le choix. Le document que nous vous avons envoyé contient toutes les instructions nécessaires pour les réaliser à votre disposition. Vous aller aussi devoir commencer à électrolyser de l'eau pour alimenter en hydrogène l'usine à carburant. Vous recevrez très bientôt les détails de cette procédure.
[09:09] VAM : Vous m'envoyez dans l'espace à bord d'une décapotable.
[09:24] HOUSTON : Vous boucherez les trous avec de la toile à Habitat. Votre aérodynamisme sera suffisant dans l'atmosphère martienne.
[9:38] VAM : Ah ! la capote sera refermée, je suis soulagé.
... d'un passé lointain.
Nous sommes déjà morts...
Vous pouvez seulement ressentir...
... La protection de notre énergie...
Telle la lumière des étoiles mortes.
Et cette énergie traverse les limbes jusqu'au cristal de votre conscience, explosant jusqu'à une interprétation...
Que vous, humains, appelez magie.
La face B est indéfectiblement liée à un format, le 45 tours, et à une époque allant de l'après-guerre jusqu'à l'invention du CD, lorsque ces microsillons assuraient la majeure partie des ventes de musique. La vogue de la face B déclina un peu dès les années 1970, où l'album (ou 33 tours) remplaça le 45 tours dans le coeur des mélomanes. Mais le terme n'a pas disparu, en dépit de l'avènement des formats à une face comme le CD, qui glissait des faces B à la suite des faces A, et malgré la dématérialisation des supports. C'est qu'avec le temps, «face B» est aussi devenu synonyme de pépite, de trésor caché, de morceau que seul l'initié possède ou revendique. Pour les rappeurs, la face B (ou B-side), c'est le refuge de la contestation, du délit d'initié, la zone d'ombre où se retrouvent les vrais experts, les puristes...
Les 180 titres réunis ici ne prétendent pas être les meilleurs versos de 45 tours jamais enregistrés. La qualité a moins primé dans notre choix que l'importance, le succès, ou l'ingéniosité déployée pour contourner la figure imposée du titre à glisser impérativement au dos d'un enregistrement. La plupart sont pourtant des classiques de la musique populaire, des tubes, des titres devenus d'autant plus mythiques qu'ils se sont imposés au grand public en dépit de l'ombre qui leur avait été faite initialement. Pensez que quelques-uns des plus grands titres de l'histoire de la musique populaire du XXe siècle - «Rock around the clock», «Be Bop-a-Lula», «La Bamba», «Amsterdam» - étaient à l'origine relégués à l'arrière-plan ! Ce florilège démontre aussi l'énormité des erreurs commises par les directeurs artistiques et les producteurs, incapables d'identifier un authentique hit. Ne les blâmons pas. Souvent, les artistes eux-mêmes ont fait le mauvais choix. Mais une chanson populaire finit toujours par s'imposer. Voici donc la petite histoire de 180 chansons sans lesquelles la face du rock, de la pop et de la variété aurait été changée. "
" Un demi-sourire désabusé étira ses lèvres.
-Je n'ai pas d'amis, je traîne avec eux parce qu'ils sont là. Eux ou quelqu'un d'autre... Tout le monde finit toujours par te trahir. Au moins avec eux, je sais à quoi m'en tenir.
- C'est la chose la plus débile que j'ai jamais entendue.
J'étais révoltée par son nihilisme blasé. Je m'étais tant de fois sentie inférieure, accablée par ma propre médiocrité, et lui, il avait tout et il gâchait son temps avec une bande de crétin prétentieux.
- Tout le monde t'admire à Darcourt, tu as un don, et au lieu d'en profiter et d'en faire profiter les autres, tu glandes avec ces tocards.
Il racana et exécuta une suite d'accords dissonants.
- Ah oui ! C'est vrai. Mon talent. Toutes les filles veulent coucher avec moi pour que je leur écrive une chanson. Super, je suis la rock star du lycée, ricana-t-il, blasé.
Un éclair traversa ses yeux noirs et il ajouta d'un ton goguenard :
- Toi aussi, tu la veux, ta chanson ?
Je tressaillis sous l'insulte et je me sentis rougir malgré moi. Une rage froide m'envahit. Surtout ne pas entrer dans son jeu. Je soutins son regard jusqu'à ce que le sien flanche.
- Il faudrait d'abord que tu me la chantes, répondis-je sans perdre mon flegme. Tu as déjà écrit des morceaux ?
Il m'observa en silence un instant.
- Quelques-uns.
- Tu ne veux pas en jouer un, que je voie si ça en vaut la peine ?
- Non.
- Pourquoi ?
- Je préfère pas. Je n'ai pas envie de faire fuir les invités de notre cher Laszlo, dit-il sur un ton sarcastique.
- C'est nul, tu joues les mecs cool, mais au fond t'as la trouille. Continue comme ça, avec tes potes débiles, et tes petites reprises pour emballer les minettes. Ne prends surtout pas de risques, on ne sait jamais, tu pourrais réussir à faire quelque chose de ta vie.
Le sang se retira de son visage, et ses yeux étincelèrent de rage. Il attrapa sa guitare et quitta la pièce en claquant la porte. "
Ou comment la mort fournit à Jack l'occasion d'échafauder une combine de plus...
Cette histoire est librement adaptée de "Mountain Jack Tales" du folklore américain. Conformément à la tradition orale, elle a été énormément modifiée par mes soins, ce qui est une manière polie de dire que j'ai plagié tout ce qui m'intéressait, changé des détails pour me faire plaisir et inventé le reste - Bill. "
Ne se mariera jamais"
et je l'ai pris dans mes bras.
Ses poils étaient gelés.
Il était lourd, mon Harrington,
très lourd pour mes petits bras
d'enfant.
Mais mon amour pour lui était
encore plus gros. »
De la pure poésie.
Tout en plastique, plus quelques éléments en métal et des composants électroniques. Un kilo 480. Haut de 13 cm. 27 cm de long sur 26 de large.
Je m’amusais intensément.
J’étais le seul à savoir qu’il existait déjà, aux Pays-Bas ou en Flandre, quatre cents ans avant, et que des types, la fraise autour du cou, s’en servaient pour réserver une place à bord d’un coche d’eau.
Mais ce n’étaient pas des vérités à énoncer au grand jour. On m’aurait traité de dingue.
Ce que je devenais peut-être… »