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Commentaires de livres faits par Marshoo

Extraits de livres par Marshoo

Commentaires de livres appréciés par Marshoo

Extraits de livres appréciés par Marshoo

p.241 "Si vous n'avez pas passé un peu de temps à la cour ou dans une grande ville, vous ne pouvez sans doute pas comprendre pourquoi cela m'a été aussi facile à faire. Permettez moi de vous expliquer.
Les fils de famille noble sont à ranger parmi les grandes forces destructrices de la nature, au même titre que les inondations ou les cyclones. Quand on est frappé par une de ces catastrophes, la seule chose qu'un homme ordinaire puisse faire, c'est serrer les dents et limiter les dégâts."
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"J'ai entendu des blagues sur les cochons graissés qu'on essaie d'attraper, mais je vais vous dire un truc, c'est encore plus difficile de tenir un phoque sous l'eau. Nérée s'enfonçait dans l'eau à la verticale, gigotait, louvoyait, décrivait des spirales dans les profondeurs sombres. Si je n'avais pas été le fils de Poséidon, jamais je n'aurais pu suivre.
Nérée a tourné sur lui-même, décuplé de volume et s'est transformé en orque, mais je me suis raccroché à son aileron dorsal au moment où il jaillissait hors de l'eau.
Un groupe de touriste a applaudi. Je suis arrivé à leur faire un petit signe de la main.
Ouais, on fait ça tous les jours, ici à San Francisco."
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"La voix de Hank m'a tiré d'un petit somme :
-Où est-ce qu'on vous dépose, les gars ?
J'ai baissé les yeux et j'en suis resté bouche bée.
J'avais vu des photos de San Francisco, mais je n'y étais encore jamais allé. C'était sans doute la plus belle ville que j'aie jamais vue : imaginez Manhattan plus petit et plus propre, qui serait noyé de brouillard et entouré de collines vertes. Il y avait une baie immense avec des bateaux, des îles et des voiliers, et puis le Golden Bridge, l'immense pont de San Francisco, qui émerge du brouillard. J'avais la vague impression que j'aurais dû prendre des photos.
Bonjour de Frisco. Pas encore mort. Pense bien à vous.
-Près de ce bâtiment là, a suggéré Zoé. A l'Embarcadero.
-Bien vu, a dit Chuck. Hank et moi, on pourra se fondre dans la masse, comme les pigeons.
On l'a tous regardé.
-Je plaisante, a-t-il ajouté. Les statues ne peuvent pas avoir le sens de l'humour ?"
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"Je redoutais les rêves que je pourrais faire.
-Oh n'aie pas peur des rêves, a dit une voix près de moi.
J'ai tourné la tête. Et, curieusement, je n'ai pas été plus surpris que ça de découvrir le SDF du dépôt assis à la place du passager. Son jean était tellement usé qu'il en était presque blanc. Son manteau était déchiré et des touffes de molleton en sortaient. Il avait un peu l'air d'un ours en peluche qui se serait fait écraser par un camion.
-Sans les rêves, a-t-il ajouté, je ne saurais pas la moitié de ce que je sais sur l'avenir. Ils valent bien mieux que les tabloïds de l'Olympe.
Il s'est éclairci la gorge puis a écarté les bras en une posture théâtrale.
Rêves qui téléchargent
Des vérités à l'oreille,
Et disent des trucs coll.
-Apollon ? ai-je deviné, car personne d'autre, me semblait-il, n'aurait pu pondre un haïku aussi nul.
Il a porté un doigt à ses lèvres.
-Je suis incognito. Appelle moi Fred.
-Un dieu nommé Fred ?
-Eh bien... Zeus est très pointilleux sur certaines règles. Strictement défendu d'intervenir dans les quêtes des humains. Même si l'enjeu est crucial. Seulement moi, personne touche à ma petite sœur. Personne."
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"Maman est encore vexée que ce ne soit ni moi ni ma sœur qui ayons réussi à mettre le grappin sur le prince. Elle prétend que nous n'y avons pas mis assez d'efforts. Elle a peut-être raison en ce qui me concerne - je n'ai jamais vraiment rêvé au Prince Charmant. Je le trouve un peu trop beau. Je parie que Cendrillon ne peut pas avoir accès à la salle de bain le matin parce qu'il passe trop de temps à se faire une beauté et à se pomponner. Une fille ne devrait pas avoir à partager son fer plat avec son copain - ça n'a aucun sens."
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"J'ai mis plus de trois heures à me préparer, puisque je ne savais pas trop comment m'habiller pour rencontrer un telle créature. Je ne voulais pas être trop adorable de peur que ça lui donne envie de me dévorer, mais entre vous et moi, vous savez que quoi que je fasse, je suis toujours un exemple de grâce et de beauté. J'ai finalement opté pour une tenue simple : une jupe en taffetas rouge, un chemisier en soie et un cardigan rose (sans oublier mes lunettes surdimensionnées de star et mon sac préféré)."
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[Boucle d'Or, Belle et Cendrillon sont à la plage. Les 7 nains arrivent pour pêcher]
[Prof commence à parler, puis Boucle d'Or]
" "Mais dites-moi, que faites-vous avec un ventilateur électrique sur la plage ?"
"En fait, nous étions justement en train de nous questionner à ce sujet, lui ai-je expliqué. Où devons-nous le brancher pour le faire fonctionner ?"
"Euh... Dans une prise électrique, les filles", nous a-t-il répondu en haussant un sourcil.
"Ouais, mais où se trouvent-elles ? Dans le sable ou l'eau ?" s'est questionnée Belle en se grattant la tête.
"Voyons, mesdemoiselles ! Il n'y a pas de prise électrique dans le sable ! Et encore moins dans l'eau, a-t-il souligné s'un ton découragé. Vous ne pensiez tout de même pas brancher ce ventilateur sur la plage ?" "
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"[Dialogue entre Pinocchio et Boucle d'Or]
"J'ai essayé de t'expliquer ce qui me terrorisait, mais tu m'as interrompu pour me parler de..."
"Oh ! Je viens de comprendre, me suis-je exclamée, en me frappant sur le front. Tu veux m'entretenir des baleines, c'est ça ? Je sais qu'elles te traumatisent encore, Pinocchio... Mais elles habitent très loin d'ici ! Tu n'as plus rien à craindre !"
"Non, ce n'est ce dont je voulais te parler."
"Hum ! Alors ce sont ces cours d'eau qui font craquer tes membres qui te préoccupent ?"
"Non."
"Atchoum, qui ne cesse de renifler ?"
"Non."
"Timide, qui rougit à tout bout de champ ?"
"Non."
"Ma beauté sans précédent ? Je comprends que tu sois ébloui quand tu me vois, mais ce n'est pas une raison pour avoir peur ! Tu sais, quand j'étais plus jeune..."
"JE VEUX PARLER DE L'OGRE TERRIBLE QUI VIENT D'ARRIVER AU VILLAGE !" a crié Pinocchio avant que je puisse terminer ma phrase.
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"- On est pareil !
- Faut pas exagérer, moi j'ai réussi.
- Et si on faisait la route ensemble ?
- ça m'étonnerait que le patron soit d'accord. La sélection est rude. Mais il n'est pas là ce soir. Si tu veux tu peux rester dîner.
- Ah... on mange quoi ?
- Bah du chat.
- ça va pas ?! ça se mange pas les chats ! Pompon...
- Si ça se mange ! Avec un oignon c'est très bon !
- Si t'as tellement faim, t'as qu'à manger tes chiens !"
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"- T'en as pas marre, de jouer aux boules de neige ? je lance avec une effronterie qui n'a d'égale qu'une salutaire inconscience.
Le démon marque une pose dans ses tours de passe-passe.
- Tiens, tu me tutoies maintenant !
- Nos rapports ont changé, je dis. Tu n'as pas remarqué ? Ils sont devenus plus chaleureux !
- Très amusant, répond le démon en retrouvant le sourire. Tu me manqueras !"
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[Adèle à son père]
"- Papa c'est vrai que l'homme descend du singe ?
- Oui, c'est ce qu'on dit.
- AH !"

[Adèle pense]
"ça ne va pas se passer comme ça..."

[Adèle à sa mère]
"Pourquoi je n'ai pas le droit d'avoir un animal sauvage alors que toi, oui ?!"
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"L'idée que Sam pouvait être en lune de miel avec Jannalyn, alors qu'Eric me rendait si malheureuse, me semblait tout bonnement intélorable.
En principe, quand je me rend compte que mes réactions dépassent les limites de la stratosphère par rapport aux évènements (ce qui m'arrive généralement tous les vingt-huit jours), je me maîtrise.
Mais pas ce jour-là.
Sam était complètement désarçonné.
-Mais, Sookie ? Qu'est-ce qui te fait penser ça ?"
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"Je n'allais tout de même pas ouvrir la porte et lui faire des excuses parce que j'avais reçu un homme chez moi. Pour l'instant, je n'éprouvais pas le moindre regret d'avoir couché avec Eric. Pour tout dire, je me sentais aussi repue qu'après un repas de réveillon. Avec Eric dans le rôle de la dinde ? Rien que d'imaginer le tableau, je me suis mise à rire toute seule. Mais je ne tenais plus debout. Je me suis glissée dans mon lit, le sourire aux lèvres. J'avais à peine posé la tête sur mon oreiller que je dormais."
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"- Il faut que j'y aille, Eric, lui ai-ja alors annoncé, un peu triste mais pas fâchée de m'en aller.
Il s'est penché au-dessus de la table pour déposer un chaste baiser sur mes lèvres. Et, quand j'ai repoussé ma chaise, il s'est levé pour me raccompagner. Des regards d'envie m'ont suivi pendant tout le trajet. Pam était à son poste et nous a regardés passer avec un sourire glacial.
Pour ne pas partir sur une note trop romantique, je me suis retournée et j'ai lancé :
- Eric, quand j'aurai retrouvé mes esprits, je te promets que je te botterai les fesses pour m'avoir mise dans une situation pareille.
- Chérie, tu peux me botter les fesses quand tu veux, m'a-t-il répondu galamment, avant de tourner les talons pour regagner sa place.
Pam a levé les yeux aux ciel.
- Vous deux, alors !
- Hé ! Je n'y suis pour rien, moi ! ai-je protesté.
Ce n'était pas tout à fait vrai, mais ça me permettait de sortir de scène sans perdre la face."
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
Cet homme - un cadeau du ciel pour les femmes - m'aime.
Je me surprend à lui sourire d'un air idiot et, quand il baisse les yeux sur moi, il est amusé et un peu intrigué par mon expression. J'ai envie de m'étreindre moi-même tellement je suis heureuse.
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Je le toise, glaciale. Son regard est intense, presque menaçant, mais sexy comme tout. Je pourrais me perdre dans la profondeur vertigineuse de ses yeux.

— Alors c’est toi mon patron dorénavant ?

— Techniquement, je suis le patron du patron de ton patron.

— Et, techniquement, le fait que je baise avec le patron du patron de mon patron, c’est de la dépravation.

— Pour le moment, tu ne fais que te disputer avec lui, me répond-il avec mauvaise humeur.

— Il faut dire que c’est un sacré con !

Christian recule sous le coup de la surprise. Oh, merde. Suis-je allée trop loin ?

— Un con ? murmure-t-il, l’air amusé.

Bon sang de bois ! Je suis en colère contre toi, ne me fais pas rire !

— Oui.

Je m’efforce de conserver une expression indignée.

— Un con ? répète Christian.

Cette fois, ses lèvres tressaillent malgré ses efforts pour réprimer un sourire.

— Ne me fais pas rire alors que je suis en colère contre toi !

Et voilà, il sourit, un sourire éblouissant, de toutes ses dents, un sourire de gamin. Je ne peux me retenir davantage : je lui fais écho avant
d’éclater de rire. Comment ne pas être touchée par sa joie si évidente ?

— Ce n’est pas parce que j’ai ce sourire stupide que je ne suis pas en colère contre toi.

À bout de souffle, je tente d’étouffer mes gloussements de pom-pom girl ado – et la pensée amère que je n’ai pourtant jamais été pom-pom girl
me traverse l’esprit.

Il se penche vers moi et je pense qu’il va m’embrasser, mais il ne le fait pas. Il enfouit son nez dans mes cheveux en inspirant profondément.

— Comme toujours, mademoiselle Steele, vous me surprenez.

Il s’écarte pour me dévisager. Ses yeux pétillent de plaisir.

— Alors, tu m’invites à entrer ou bien est-ce que tu me renvoies chez moi parce que j’ai usé du droit du citoyen, de l’entrepreneur et du
consommateur américain, à acheter ce que bon lui semble ?

— Tu en as parlé au Dr Flynn ?

Il éclate de rire.

— Tu me laisses entrer ou non, Anastasia ?

Je tente un regard réticent – me mordiller la lèvre aide un peu –, mais j’ouvre la porte en souriant. Christian se tourne pour adresser un signe de
la main à Taylor. L’Audi démarre et s’éloigne.
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date : 03-05-2013
"— Vous m’avez déshabillée ?
— Oui.
Il hausse un sourcil ; je rougis furieusement.
— Nous n’avons pas… ?
Ma bouche est trop sèche pour que je termine la question.
— Anastasia, vous étiez dans le coma. La nécrophilie, ça n’est pas mon truc. J’aime qu’une femme soit consciente et réceptive.
— Je suis vraiment navrée.
Il a un petit sourire ironique."
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date : 30-04-2013
Tout s'est déroulé comme dans un rêve. Ou un cauchemar.
La marge est étroite.
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date : 30-04-2013
"-Philippe, viens vite, c'est lui ! Pour l'amour du ciel, Julien, où es-tu ?

J'ai envie de leur dire que l'amour de Dieu n'a rien à voir avec mon départ, c'est juste leur amour à eux, que je cherchais."
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"Il restait une de mes chemises de nuit dans la chambre, et ma brosse à dent trônait toujours dans un verre, sur le lavabo de la salle de bains du couloir. Bill n'avait pas jeté mes affaires. Il les avait gardées, comme si il comptait me voir revenir...
A moins qu'il n'ait eu aucune raison de se rendre à l'étage depuis que nous avions rompu."
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" Je ne suis pas mariée. J'ai des moments de faiblesse. Eric est une tentation ambulante... Que dire de plus ? "
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