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Commentaires de livres faits par Noa-

Extraits de livres par Noa-

Commentaires de livres appréciés par Noa-

Extraits de livres appréciés par Noa-

date : 30-01-2023
L'œil d'un homme est une fenêtre par laquelle on voit les pensées qui vont et viennent dans sa tête.
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date : 08-05-2022
Ici on était sur le terrain de jeu de Nil.
Nil observait, ricanait et contrôlait tout. Elle savait que ce chat aussi était prêt à foncer.
Nil faisait apparaître des portes la ou ça lui chanter et les utilisait pour changer la donne en sortant de son chapeau de nouveaux concurrents ou de nouvelles menaces pour ajouter à son plaisir. Dans l’immédiat elle s’amusait beaucoup trop avec nous pour daigné me laisser partir. Elle nous regardait espérer et nous regardait lutter. La porte d’aujourd’hui était un geste calculer de sa part. Allez, mon chaton, elle avait roucoulé en recourbant l’index. Cours et je te laisse partir. Mais toi Thad, tu restes.
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date : 08-05-2022
Nous étions les pions de Nil, ses jouets. Ici, c’était son bac à sable, et peu importait que l’on ait envie de jouer ou non.
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Cours, Juliette.
Cours.
Plus vite.
Cours jusqu’à ce que ce brisent tes os et se fêlent tes tibias, que s’atrophient tes muscles.
Cours, cours, cours.
Jusqu’à ne plus entendre le bruit de leurs pieds derrière toi. Cours à ne tomber morte. Veille à ce que ton cœur s’arrête avant qu’il ne t’atteigne, avant qu’il ne te touchent
Cours te dis je !
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Nous sommes des mouches - des nuées des essaims -, yeux globuleux, os fragiles, en route vers des destins imaginaires à coups d’ailes nerveux. Nous jetons nos corps contre les vitres de fenêtres tentantes, brûlant de rejoindre le monde promis de l’autre côté. Jour après jour notre nous traînons nos blessures, élytres, yeux organes autour des quatre mêmes murs ; ouvertes ou fermé, les issues se dérobent. Nous espérons un salut en forme de brise une chance de voir le soleil.
Passe les décennies. S’entassent les siècles. Nos corps meurtris sillonnent encore les airs. Nous nous jetons encore contre des promesses. Il y a de la folie dans cette répétition, cette répétition, cette répétition qui soustend nos vies.
Ce n’est que dans les secondes de désespoir qui précède la mort que nous comprenons que depuis le début, les fenêtres contre lesquelles nous avons brisés nos corps n’étaient que des miroirs.
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La solitude. Elle s’approche doucement, calme et silencieuse, s’assied à vos côtés dans le noir, caresse vos cheveux pendant votre sommeil s’enroule autour de vos os, vous sert tellement fort que vous ne pouvez presque plus respirer, presque plus entendre la pulsation qui coule dans votre sang, quand il afflue, affleure votre peau, frôle de ses lèvres le duvet de votre nuque.
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Aujourd'hui je sais seulement que les scientifiques ont tort. La Terre est plate. Je le sais car on m'a poussée dans le vide depuis le bord et, depuis 17 ans, j'essaie de tenir le coup.
Depuis 17 ans , je tente de remonter à la surface mais il est presque impossible de vaincre la gravité quand personne n'est prêt à vous tendre la main. Quand personne ne veut prendre le risque de vous toucher
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J'ai un cœur dit la science, mais je suis un monstre dit la société.
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Les jours filent, s'envolent, emportés au loin par des cerfs-volants.
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Les graines. Les paroles sont comme des graines, je pense, qu'on sème dans notre cœur à notre plus jeune âge. Elles prennent racine en nous à mesure qu'on vieillit, s'installent au plus profond de votre âme. Les bonnes paroles poussent à merveille. Elles fleurissent et élisent domicile dans notre cœur. Elles grandissent en tronc et s'enroulent fermement autour de notre colonne vertébrale, nous stabilisent quand on se sent très fragiles, nous aident à tenir debout quand on manque le plus d'assurance. Mais les mauvaises paroles poussent mal. Elles infestent notre corps et y pourrissent, jusqu'à ce qu'il soit vidé de sa substance pour n'abriter que les intérêts d'autrui et non plus les nôtres.
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- Comment ça ?
- De l'eau qui ne bouge jamais, je lui explique. C'est sympa un moment? Tu peux te désaltérer et ça te permet de survivre… Mais si elle stagne trop, elle devient vite toxique. J'ai besoin de vagues. J'ai besoin de cascades. De torrents qui déferlent.
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Aucun pistolet, aucune épée, aucune armée, aucun souverain, n'auront jamais plus de pouvoir qu'un simple phrase. Les épées peuvent blesser, tuer, mais les mots vous poignardent et s'enfoncent dans la plaie, s'incrustent dans votre corps pour devenir des cadavres qu'on trimballera avec vous plus tard, tout en essayant de creuser et d'arracher leur squelette qui se cramponne à votre chair.
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Je ne crains plus la peur et ne la laisserai plus me dominer.
La peur va apprendre à me craindre.
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date : 08-01-2022
Nos voix peinèrent d'abord à s'unir l'une à l'autre, semblant terriblement désaccordées et discordantes. Notre sort vacilla telle la tour de galets d'un enfant. Je cessai alors d'essayer de lire comme lui et me contentai de lire avec lui, me laissant guider par mon instinct : je me surpris à l'écouter simplement scander les mots, tandis que j'entreprenais presque d'en faire une chanson, isolant un mot ou une phrase pour les répéter à deux ou trois reprises, me contentant parfois de fredonner, tapant du pied pour donner la cadence.
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Pourquoi s'en faire pour une planète plate peuplée de gens complètement plats ?
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date : 30-05-2021
« -Comment tu t’appelles ? souffla Daisy. Comment tu t’appelles vraiment ?
La fillette l’observait de ses grands yeux myosotis.
-On n’a pas le droit de dire.
-Promis, je cafte pas, murmura Daisy.
La fille fixait des yeux. Daisy commençait à croire qu’elle n'allait pas répondre, quand finalement elle glissa :
-Martha
-Enchantée, Martha, dit Daisy tout bas. Moi, c’est Daisy Doisel, et mon père est encore vivant. »
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date : 30-05-2021
« -Dis-le, croassa-t-elle. Dis : « Mon père est mort et je m’appelle Jane ».
-Mon père est vivant et je m’appelle Daisy ! cria-t-elle. »
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date : 30-05-2021
-Jamais au grand jamais, je n'ai…
Brooks observa Eureka. Il plissa les yeux, leva le menton, et quelque chose changea dans son visage. Le nouveau Brooks, un Brooks imprévisible et sombre. Elle rassembla ses forces pour affronter le choc.
-... je n'ai fait de tentative de suicide.
L'assistance tout entière poussa un cri étouffé. Tout le monde était au courant évidemment.
-Espèce de salaud !
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date : 30-05-2021
" Il y eut un long silence, puis la voix d'Ander lui parvint.
- Si je te laisse seule, disait-il, tu mourras.
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date : 30-05-2021
"Tant que tu vivras sous mon toit, tu observeras mes règles."
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date : 30-05-2021
"- La connaissance est intimement liée au pouvoir ; or le pouvoir corrompt, et la corruption amène avec elle la honte et la ruine. L'ignorance n'apporte certes pas la félicité, mais peut-être est il préférable de vivre dans l'ignorance que dans la honte.
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date : 30-05-2021
"- La mort n'existe pas plus que la vie. Il faudrait plutôt parler de dispersion et de rassemblement."
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date : 30-05-2021
"C'était la première fois qu'Eureka se retrouvait près d'une grande étendue d'eau depuis la mort de sa mère. Fallait-il pour autant être aussi nerveuse ? Apres tout, l'eau, la mer, n'était-ce pas toute son enfance ?"
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date : 20-05-2021
Tout ceux qui vivaient le long de la partie sud du bayou Teche tenaient absolument à avoir un petit endroit à eux à Cypremort Point. Et si par hasard votre famille n'avait pas un cabanon dans le couloir de trois kilomètres qui longe la marina, eh bien, vous vous arrangiez pour trouver un ami qui en possédait un !
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date : 20-05-2021
Ses yeux sont comme l'océan, avait-elle envie d'ajouter. Ses lèvres ont la couleur du corail. Il semble émaner de sa peau un pouvoir magique - le genre de pouvoir qui fait bondir l'aiguille d'une boussole.
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date : 20-05-2021
Ander n'était pas mouillé. La pluie tombait en cascade autour de lui, trouant la boue à ses pieds. Mais ses cheveux, ses mains, son visage étaient aussi secs que lorsqu'il se tenait sur le chemin de terre et qu'il avait tendu la main pour recueillir sa larme.
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