Commentaires de livres faits par pilou62200
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Commentaires de livres appréciés par pilou62200
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On a parfois du mal à s'y retrouver
Il faut, bien sur, compter les nombreux passages de Maigret au café, pour boire une fine, un pernod ou une bière !!!
Même si je me dis qu'il y a quelques incohérences dans le scénario. "Intimidation" m'a tenu en haleine de la première à la dernière page.
Et je ne parle même pas de la chute de l'histoire, qui va vous faire mal au plus profond de vous !!!!
Après avoir abandonné la série des Mickey Bolitar (qui ne m'apportait pas le même plaisir que la série des Myron Bolitar), après avoir lu quelques romans auxquels il manquait la petite touche qui a fait la renommée de cet auteur, je me suis fait absorber par l'intrigue de cet opus.
L'addiction est bien la pour ce roman : on est quasi aspiré par l'intrigue, et on rogne sur son temps de sommeil pour aller un plus loin dans les chapitres.
Enfin, H. Coben a réussi son retournement de situation dans les dernières pages : c'est surement moins étonnant que pour ses meilleurs opus, mais on ne s'y attend pas du tout.
Il ne serait pas étonnant que ce livre soit un jour adapté au cinéma !
Dans cet opus, on retrouve nos habituels protagonistes Fandorine et son valet. L'un avec son intelligence remarquable et l'autre en homme d'action. Mais Boris Akounine ajoute une dimension inhabituelle : l'amour !
En complément, Fandorine, qui a plutôt tendance à dominer ses adversaires, rencontre un farouche opposant qui sur bien des points va le dominer. Ce qui va avoir tendance à le faire ruminer....
La chute est étonnante, et va donner une orientation particulière à la future carrière de Fandorine....Serait ce la fin des aventures de notre héros ?
Il en résulte une lassitude qui ne me donne pas forcément l'envie de poursuivre la lecture de cette série.
A voir !
J'ai découvert de nombreux points inconnus sur sa vie personnelle, et j'ai redécouvert les tableaux qu'il a réalisé.
Le choix des peintures illustrant ce roman graphique est particulièrement judicieux et les dessins en eux-mêmes sont réussis.
Bravo !
Il est tout aussi intéressant que le premier tome, et montre quelles étaient les motivations et les personnalités de ceux qui jetaient des bombes sur les dirigeants de la Russie au début du 20ème siècle.
Même si le dessin n'est pas particulièrement attrayant (en fait, ce sont surtout les couleurs qui sont sombres), le récit nous tient en haleine et plante bien le décor de la fin du tsarisme, avec son lot de violence et l'incompréhension des dirigeants vis à vis de la population, poussée à bout.
Un peu d'action complète agréablement chaque histoire, et nous donne l'envie de poursuivre l'aventure avec Taichi Keaton.
Contrairement au tome 9, aucune page n'a été colorisée et c'est un peu dommage, car cela permet de mieux marquer le changement entre chaque histoire ...mais on ne va pas en faire un fromage ! le plaisir est encore au rendez-vous dans ce dixième opus. Et s'il faut retenir une histoire, alors disons "Happy New Year" qui nous tire une petite larme à la fin.
On y retrouve les conflits intérieurs de chacun avec son vécu, et la ou les autres veulent nous faire aller : et le difficultés qui en découlent. le psy américain, venu sauver le cosmonaute russe, souffre autant que son patient. Ils vont s'apporter mutuellement de l'aide pour sortir de leur guêpier respectif.
Une BD attachante.
On y retrouve nombre d'ingrédients qui ne manque pas de nous charmer : l'amour, les défis, l'amitié, l'effort, la nature.
L'auteur, on se demande pourquoi, a choisi de mettre en scène ses histoires, par des dessins très simples, et des personnages tout mignons. Serait ce pour adoucir ses histoires, qui auraient pu être un peu limites ? Il n'empêche que l'équilibre est subtil et plutôt réussi.
On en redemande !
L'intégrale est le regroupement des 4 tomes, plus une interview d'Arthur de Pins, qui nous apporte quelques explications sur les dessins, et son scénario.
Sinon, que dire de ces 4 tomes : ils sont drôles, portés sur la chose, c'est une évidence, mais le dessin adouci tellement l'humour 'adulte" que nous ne sommes jamais choqués par les pratiques parfois déviantes de nos protagonistes !
Un vrai bonheur à lire.
Taichi Keaton est toujours aussi attachant.
Les histoires sont toujours autant empreintes d'humanité.
A noter que j'ai particulièrement aimé la première histoire "Le crépuscule des oiseaux migrateurs".
Je me lance maintenant dans le prochain tome, en quête d'histoires supplémentaires de Taichi Keaton.
Le hasard fera que Seb va croiser son frère qui est dans l'armée allemande….
Comme tous les « Airbone » de P. Jarbinet, celui-ci ne dérogera pas à la règle et respectera le dicton « Tout est bien, qui finit »…presque… « bien » !
Ce coup-ci, cela se passe en Allemagne, alors que la guerre tire à sa fin. Plusieurs histoires se croisent : celle d'enfants échappés d'un camp de concentration, et celle d'allemands qui ont pour mission de livrer un scientifique aux Américains.
L'ensemble est rehaussé par les première pages, qui mettent en présence deux hommes, 20 années plus tard en Floride, dont un des deux veut se venger de l'autre. On courre pendant tout le tome pour recoller l'histoire ancienne, à celle du présent !
....mais cela n'est pas dans ce tome que l'on saura la raison de cette vengeance !!!
Sinon, à part ce bémol, cette BD est réussie. le couple Beresford est un couple plein de charme, plein d'énergie et diablement accrocheur. Ils n'auront de cesse dans cet opus, que de déjouer la tentative de déstabilisation de la Grande-Bretagne.
Le scénario est complété par une bonne dose de sentiments, ce qui équilibre bien l'histoire : espionnage, aventure, amour.
Le format, basé sur des chapitres très court est très agréable durant les vacances et permet, de se plonger rapidement ou de quitter rapidement le livre (...pour partir à la plage !).
Le scénario m'a semblé solidement ficelé, avec non seulement l'intrigue policière, mais une situation complexe pour Helen Grace (le personnage principal) au sein de son équipe.
Enfin, je me suis fait surprendre par le dénouement auquel je ne m'attendais pas.
Du coup, je lirais surement le premier opus (Am Stram Gram)