Un second tome à hauteur du premier !

J'ai tendance à me lasser quand je lis les seconds tomes, ils me passionnent moins. Mais ici, ça n'a pas été le cas. L'histoire est d'autant plus addictive que pour le premier.

J'ai adoré suivre Jude et Anabelle au fil de cette enquête qu'ils menaient pour retrouver Dean. Mais également la romance qui s'installent entre ces deux-là pendant qu'ils sont ensemble. Anabelle a toujours été amoureuse de Jude, mais là où elle n'a que 19 ans, lui en a déjà 32. J'ai aimé voir cette dualité dans l'esprit de Jude au sujet de leur relation.

Encore une fois, ce qui m'a plu le plus est la psychologie. Plonger dans l'esprit des personnages d'Angel Arekin, même quand ils sont torturés, est toujours un plaisir. Mener l'enquête, tout l'aspect criminologique, ça a encore plus participé à me faire aimer ce tome 2.

Et encore une fois, la fin nous laisse en attente, on n'a qu'une hâte : commencer le tome 3.

Pour être honnête, au moment où j'écris ce commentaire, c'est déjà le cas. J'ai lu les 3 premiers chapitres et je peux dire qu'il promet autant que ses prédécesseurs !

Un véritable coup de cœur !

C'est le troisième roman d'Angel Arekin que je lis et, encore une fois, je ne suis pas déçue.

Je ne suis pas une habituée des romantic thriller, je suis plutôt de la catégorie à regarder les séries policières plus que lire des romans d'enquête. Mais je dois avouer que j'ai autant été entraînée dans cette lecture que par un épisode de la série Esprits Criminels, ce qui est un grand compliment puisqu'elle fait partie de mes séries préférées.

Avant tout, je tiens à dire que ce roman aborde des sujets difficiles tels que les addictions, il y a de la violence en tout genre, mention de maltraitances infantiles et, bien sûr, des descriptions de cadavres, des meurtres etc... C'est important de se renseigner sur les TW, ce roman n'est pas à mettre dans toutes les mains !

Maintenant, je voudrais mettre en avant le point qui m'a fait craquer pour cette série : la psychologie. On sent que l'autrice est très renseigné sur les sujets qu'elle mentionne, ainsi que sur la psychologie de ses personnages, il y a un aspect criminologique que j'ai beaucoup aimé dans cette histoire.

Comme Jude, j'essayais de me mettre dans l'esprit du détraqué qui voulait s'en prendre à Rebekka, de le comprendre. Enquêter de mon côté, c'est ce que j'ai adoré faire.

On est vraiment plongé dans ce roman grâce aux différents point de vues avec lesquels Angel Arekin nous fait découvrir cette histoire. Hormis ceux de Rebekka et Jude, nous avons le droit à d'autres point de vue que j'ai énormément aimé, je ne dirai pas lesquels pour vous laisser le découvrir par vous-mêmes...

Je suis actuellement en pleine lecture du tome 2, qui est tout autant un coup de cœur que ce premier. Cette série nous tient en haleine, je n'ai pas envie d'arrêter de lire, chaque chapitre me donne une raison urgente de continuer ma lecture.

En tant que lectrice de dark, je me devais de lire cette formidable histoire un jour, j'en avais entendu beaucoup de bien et ai fini par craquer. Je ne regrette pas du tout mon choix !

Le roman est découpée en trois parties, mais chacune d'elles nous fait souffrir à sa manière. A chaque chapitre que je terminais, je devais faire une pause dans ma lecture, pour respirer, avant de reprendre.

Suivre Dean et Corabelle durant cet enfer, voir leur relation évoluer au cours de l'histoire, c'est inspirant en plus de briser. Inspirant, parce qu'ils font preuve d'un grand courage. Mais ce n'est pas pour autant que leur souffrance ne se répercute pas dans nos cœurs de lecteurs.

J'ai beaucoup aimé les anecdotes sur leur passé, elles m'ont permis de respirer pendant les chapitres.

Une note parfaite (la première que je mets)

Océane et Jenn se sont surpassées ! J'avais déjà lu plusieurs de leurs romans par le passé et je savais d'avance que les deux plumes de mes auteures préférées formeraient une union parfaite dans ce 4 mains !

Pour être honnête, ce n'était pas la première fois que je le lisais, j'ai fais partie des chanceux qui ont pu découvrir l'histoire en direct sur wattpad, je l'ai d'ailleurs relu par la suite. Puis j'ai attendu la sortie du roman pour pouvoir le lire une troisième fois. Et c'est là que je réalise la magie de ces deux autrices.... Après trois lectures, j'ai continué de découvrir des éléments du roman et, surtout, je ne me suis pas ennuyée une seule fois !

Les façons dont Jenn et Océane décrivent les différentes œuvres présentes dans leur roman, qu'elles soient présentées au Louvre ou non, ainsi que celles de Jin et Carmen sont si bien faites qu'on sent toute la recherche derrière le roman. Des techniques utilisées aux couleurs, la perception... Tout cela nous est décrit avec une telle perfection qu'on a l'impression de visiter un musée.

Mais ce qui fait la force de l'Art du Trompe l'Oeil, outre l'art, ce sont bien ses personnages et les thèmes abordés qui résonnent parfaitement avec l'actualité. Que ce soit Jin et Carmen, ou ces personnages secondaires qu'on adore (Lys a volé mon cœur), tous nous apportent de la légèreté par leur humour... Jin et ses expressions, Victoria et sa grossièreté... tout en gardant un certain sérieux quand il faut l'être.

Car ce roman est loin d'être doux, la violence psychologique présente à l'intérieur m'a fait serrer les dents à plusieurs reprises. J'ai eu du mal à lire certains passages alors même que je les connaissais déjà... C'est pour ça qu'il est important de lire les trigger warnings renseignés par Jenn et Océane. Le cyber harcèlement est omniprésent dans l'Art du Trompe l'Oeil, si bien qu'on sent constamment cette sombre atmosphère qui entoure les personnages principaux. On est également englué dans cette relation toxique dépeinte...

Ce livre n'est pas à mettre dans toutes les mains, mais si les trigger warnings indiqués ne vous stoppent pas dans vos lectures, alors foncez, vous ne serez pas déçus...

Un tome envoûtant ! Probablement mon préféré de la saga !

C'était un pari risqué, ce tome prequel nous plonge dans l'esprit d'un jeune Coriolanus Snow, personnage très antipathique que l'on déteste dans la trilogie sur Katniss. Et pourtant, on apprend ici à l'apprécier, ou du moins au début.

On assiste en effet à la naissance de ce futur dictateur. On y apprend son passé, j'ai malgré moi ressenti de la tristesse pour ce jeune Coryo qui a vécu des jours sombres de guerre au capitol et perdu toute sa fortune. Alors, bien sûr, lorsqu'il devient mentor et fait la connaissance de Lucy Gray Baird, tribue du district 12, il a déjà son caractère bien à lui ! Il possède notamment cette grande ambition dans laquelle je me suis retrouvée.

Néanmoins, plus l'histoire avance, plus il plonge et se laisse dévorer jusqu'à devenir l'homme qu'on connaît dans la trilogie. Et pour cette personne : je n'ai aucune empathie. Malgré tout, ce qu'il fait reste dans la logique du personnage et même s'il est détestable, il est superbement construit. Coriolanus Snow est un personnage parfaitement travaillé.

Un dernier tome qui reflète parfaitement l'ensemble de la saga : tragique et empli d'action...

Lors de ma première lecture, je n'avais pas remarqué tous ces parallèles fait entre la vie au sein du district 13 et celle dans le capitole, qui sont assez opposées : l'opulence face à la sobriété, une vie loin de tout ce qui est proche des combats face aux entraînements constants qui commence dès 14 ans dans le 13, des repas très contrôlés en quantité limité dans le district, opposé à toute cette nourriture au capitole. Et pourtant, on voit rapidement que ces deux fonctionnements peuvent être assez semblables sur certains points.

Ce troisième tome est centré sur l'évolution de la rébellion et la façon dont Katniss est utilisée comme tête d'affiche de celle-ci. Spoiler(cliquez pour révéler) Le chantage est le maître mot pour décrire cet arangement entre Katniss et les chefs de la rébellion. Au final, elle est autant utilisée qu'au capitol. On se sert d'elle, lui attribue le surnom de geai moqueur et attend qu'elle obéisse au doigt et à l'œil.

La première partie du roman est donc centrée sur cette montée de l'esprit de rébellion. Jusqu'aux combats où, au final, le capitol lui-même devient l'arène des jeux. On doit bien évidemment faire face à la mort de plusieurs personnages qui marquent toutes à leur façon, chacune sert. Spoiler(cliquez pour révéler) Finnick meurt alors qu'il venait de se marier, Primrose meurt pour symboliser la fin de tout espoir d'un bonheur futur. Celle pour qui Katniss a fait tous ces sacrifices finit quand même par mourir, c'est une fatalité du destin auquel personne ne peut échapper.

Ce troisième ne déroge pas à la règle : les Hunger Games sont intemporels, humains et il faut les lire plusieurs fois pour bien s'en imprégner.

Habituellement, j'apprécie moins les second tomes, que je trouve toujours plus lent, moins addictifs. Mais il faut avouer que c'est bien le contraire qu'il s'est produit avec Hunger Games : l'Embrasement. Et ce, même s'il s'agissait d'une relecture. Ce qui est d'autant plus rare !

Dans ce second tome, nous avons une première partie centrée sur la tournée des vainqueurs, mais surtout, sur les retombées psychologique que les Hunger Games ont eu sur Katniss et Peeta. Retombées qui se reflètent tout au long de leurs décisions au long du roman. Même s'ils gardent leurs caractères propres du début du premier tome, ils ont tout de même changé à cause des jeux et c'est bien quelque chose que Suzanne Collins a parfaitement refléter dans ce tome.

L'action et les événements du roman influent sur la psychologie, autant que la psychologie influence les événements de l'histoire et l'action qui s'y déroule.

On en apprend plus sur des personnages secondaires, notamment Haymitch et l'origine de son alcoolisme. Mais aussi, et surtout, on fait la connaissance d'autres vainqueurs ! Parce que cette année voit venir les jeux de l'expiation durant lesquels d'anciens vainqueurs doivent de nouveau participer aux jeux ! On rencontre des personnages qu'on adore et auxquels on s'attache bien vite, d'autres qu'on n'aime un peu moins. Mais s'il y a une chose qui est restée identique aux jeux du premier tome : c'est qu'ils sont injustes.

Empli d'action et d'une injustice qui emplifie celle présente dans le premier tome, ce second roman permet de se faire une parfaite idée des événements auxquels on assistera dans le troisier tome, tout en gardant un lien avec le premier. Il s'agit d'une parfaite transition dans la vie de Katniss. Un roman de bascule.

J'avais lu la saga une première fois à l'âge de 11 ans, et ai décidé cette année de la recommencer, notamment motivée par la sortie au cinéma de La Ballade du Serpent et de l'Oiseau Chanteur que je souhaitais lire avant sa sortie.

Je ne regrette pas cette relecture. Contrairement à d'autres romans avec lesquels j'ai pu me lasser, Hunger Games est bien l'un des seuls que j'ai pu finir aussi vite. Je l'ai dévoré comme si je le découvrais pour la première fois.

8 ans ont passé depuis ma première lecture. J'ai à présent 19 ans et mes impressions sur l'histoire ont changé. Je la trouve bien plus géniale qu'à l'époque.

Hunger Games fait partie de ces sagas qu'il faut relire plusieurs fois dans sa vie pour en comprendre toutes les dimensions.

À 11 ans, j'avais Katniss pour modèle et souhaitais devenir aussi incroyable qu'elle. Aujourd'hui je suis plus vieille qu'elle et, même si on a quelques traits de caractère en commun, j'ai compris qu'il n'y avait rien de "cool" à se porter volontaire à la place de sa petite sœur. C'est tragique, affreux, inhumain de faire subir cela à des enfants. Je voulais devenir aussi forte qu'elle, je suis contente de ne pas avoir eu à l'être.

A 11 ans également, je ne remarquais pas la profondeur de l'histoire. J'aimais ou n'aimais pas certains personnages. Aujourd'hui, je les apprécie tous d'une façon, j'ai appris à avoir de l'empathie pour les carrières qui, eux non plus, ne méritent rien de ce qui leur arrive dans ces pages.

Une nouvelle tres mignonne dans laquelle nous rencontrons ou retrouvons des personnages très attachants.

Pleine d'humour, c'est un véritable bonbon lorsqu'on ne se sent pas bien. Elle se lit très facilement et les plumes des auteures se marient parfaitement !

Je ne sais pas comment parler de ce livre sans trop en dévoiler... Je ne sais pas non plus s'il est normal que j'ai autant apprécié cette lecture... Imrel est un personnage tellement dérangeant, l'histoire en elle-même est très malsaine... Et pourtant, j'ai réussi à Ava et au parfumeur, à ces deux personnages et leur histoire atypique.

J'ai également adoré les personnages secondaires, je pense que Pia est mon personnage préféré. Il est pourtant rare que j'aime les enfants quand je lis, malgré tout, cette petite était beaucoup trop mignonne pour que je ne l'apprécie pas.

La plume de Farah Anah est envoûtante, magnifique. Il s'agit du second roman de cette auteure que je lis et je dois avouer qu'il m'a bluffée...