Commentaires de livres faits par Syracuse
Extraits de livres par Syracuse
Commentaires de livres appréciés par Syracuse
Extraits de livres appréciés par Syracuse
De quoi, il n'en savait rien mais cette impression était agréable. Une vieille légende elfe racontait qu'un voyageur, forcé de quitter son pays ravagé par la guerre, arrivait sur une nouvelle terre en y apportant avec lui tous les démons enfermés dans sa tête. Bien sûr, cette histoire était une parabole.
Pourtant, Torgend pensait bien être parvenu à laisser une grande partie de ses propres démons sur les rivages du royaume d'Olangar.
- C'est un cadeau qui me vient de votre père..."
Je perçois votre colère et j'aurais du la prévoir.
Car comprenez bien qu'il n'existe pas de plus grande menace pour l'empire que les Jedi.
Après un an et deux mois, nous arrivons enfin à la croisée des chemins.
La Guerre des Etoiles nous regarde autant que nous la regardons.
Il est faible et blessé, et pourtant, il cherche encore à aller jusqu'au bout... Je ne vois pas ce qui le différencie de nous ! C'est lui aussi un homme qui veut vivre dans un monde en paix !
Une condamnation au sceau, c'est plutôt sévère... Il a du faire quelque chose d'extrêmement grave...
Si quelque chose en ce monde est capable de défier les lois de la nature, il ne peut s'agit que de la volonté humaine.
Mais j'ai appris que la grandeur ne s'attribue pas. Elle ne se diagnostique pas. Elle se mérite.
Il est difficile d'échapper à son héritage. Mais pas impossible.
Ella tente de franchir seule la ligne de partage des eaux. Je ne peux pas la laisser passer de l'autre côté !
C'est une vieille guerre qui reprend.
Qui est derrière ?
Toujours le même. Mon neveu. Le roi...
Tous les capétiens n'avaient pas un frère jumeau...
Détrompez-vous. Ils ont tous eu le don et ils ont tous eu un jumeau. Les deux sont liés. C'est le secret le mieux gardé de la dynastie.
Mais je préfère cette étreinte... à toute morale.
Si le péché de Kyô, c'est d'aimer un être humain...
Le mien, c'est d'aimer un Yôkai...
Alors nous subirons notre châtiment ensemble...
Et sans regrets.
Médicis !
Nul home ne m'avait écrit une telle histoire... Merci d'avoir trouvé mon coeur, d'y avoir révélé l'or sous la pierre. Si je pouvais parler, Cosme, je demanderais que l'on m'appelle "Florence de Médicis".