Un dimanche à Kyoto
Auteur
- Gilles Vigneault (Écrivain)
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Classement en biblio - 2 lecteurs
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Quelle bonne idée cette réédition, Un dimanche à Kyoto apporte beaucoup de plaisir à l'écoute mais aussi en feuilletant le livre. Les belles illustrations concernent la première chanson « Comptine en mode Zen ». Les dessins ont vraiment un style à part et permettent de se faire une idée de ce à quoi ressemble un Shamizen ou un Koto. On adore sa mélodie japonisante et les voix aux accents québécois, le mélange des deux est original et bienvenu. C'est l'histoire du vieux Jo, cajun de Louisiane et de sa compagne une Japonaise. Tous deux sont musiciens et jouent des instruments très différents le banjo pour Jo et le Koto pour elle. Ils s’apprêtent à donner un concert zen dans le monde entier. En tout ce sont 17 chansons et comptines, composées et écrites par Gilles Vigneault. Il se dégage beaucoup de douceur, de poésie et de sonorités à découvrir. Des airs qui restent dans la tête et bercent les enfants encore longtemps après l'écoute. A la fin du livre on retrouve toutes les paroles des chansons ainsi qu'un code QR inclus pour les écouter en ligne. Un petit bijou indémodable pour toute la famille qui apporte joie et sérénité dans la maison. Belle écoute et bonne lecture.
http://latelierdelitote.canalblog.com/archives/2024/02/06/40184816.html
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J'ai adoré ce livre lorsque j'étais enfant. Le cd ajoutait une autre dimension à l'histoire.
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Résumé
Un dimanche à Kyoto s’ouvre sur Comptine en mode zen, interprétée à l’unisson, annonçant une rencontre musicale exceptionnelle. Se succèdent une pléiade de petits chefs-d’oeuvre – 17 titres en tout - dont la jolie berceuse Tu peux dormir la ville veille interprétée par Luce Dufault, les comptines La petite Adèle et La petite Annette chantées par Pierre Lapointe, une fort belle reprise de La danse à Saint-Dilon par Martin Léon, Le grand cerf-volant rendue avec brio par Ariane Moffatt ou encore Le poème d’un enfant, livrée avec beaucoup d’émotion par Luc De Larochellière.
Le disque nous permet également de découvrir Garou en conteur dans Les trois fils au vieux Maltais de même que les talents d’interprétation de Jessica Vigneault avec, notamment, Les quatre oeufs – une des huit chansons qu’elle a composées avec son père pour ce projet.
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