Prosper Mérimée
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Note moyenne : 6.33/10Nombre d'évaluations : 1 209
7 Citations 704 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Relecture de ce petit recueil de nouvelles. Elles sont toutes différentes, avec une pointe de fantastique. C'est rapide et facile à lire, mais ce qui m'a gênée c'est que certaines apparaissent déjà dans d'autres recueils que j'avais lu il y a longtemps.
Afficher en entierLecture plutôt intéressante. J'ai pu d'écouvrire une facette de la Corse que je ne connaissais pas.
C'est la première fois que je lis du Mérimée et la plume était plutôt bonne (quoiqu'un peu complexe par moment)
Afficher en entierDirigé par Cosimo Campa et appartenant à la collection Les Grandes Œuvres du Fantastique, Histoires de Loups-garous regroupe des récits du XIXe siècle, écrits par des auteurs connus et moins connus (dont les noms sont à retrouver dans les tags), notamment des auteurs québécois que j'ai découvert ici.
Ce recueil regroupe 9 récits, dans une belle édition reliée, et nous entraîne dans les confins de l'Europe de l'Est ou du Canada à la poursuite de mythes, de croyances ou de familles maudites, qui ont au final une explication rationnelle… Ou non.
Sans vraiment faire peur comme peuvent le faire certains récits fantastiques classiques, ces histoires sont tout de même intéressantes pour s'imprégner du vocabulaire et des mœurs de l'époque. Je vous le déconseille cependant si vous n'êtes pas amateurs de littérature classique ou folklorique.
Afficher en entierJe l'ai principalement lu pour ma culture. Il est rapide et facile à lire.
Le personnage de Carmen est intéressant : elle est libre et elle le restera.
Spoiler(cliquez pour révéler)C'est peut-être ma vision moderne des choses, mais je n'ai vraiment pas aimé tout le côté avec José qui veut Carmen sous excuse qu'elle ne l'aime plus. Cette partie-là laisse un goût amer dans la lecture.
Afficher en entierUn excellent livre pour une introduction au style fantastique (pas fantasy).
Afficher en entierSympatique à lire mais ce n’est pas un chef d’œuvre
Afficher en entierComme beaucoup, j'avais eu à lire cette nouvelle pour mon cours de français durant mes années de collèges. Il me semble qu'elle fut mon premier rapport au fantastique, genre que j'apprécie tout particulièrement et que je trouve fascinant. C'était un vrai plaisir de la relire, et elle me donne envie de lire davantage d’œuvres du même genre.
Afficher en entierUn livre que j’ai lu pour l’école, qui ne m’a pas plus du tout. Une écriture si épurée que l’on perd de vue le décor et une intrigue qui va beaucoup trop vite à mon goût .
Afficher en entierUne anthologie d'histoire sur les vampires qui montre comment la créature fantastique en a inspiré plus d'un. Une belle lecture qui fait frissonner !!
Afficher en entierDes nouvelles fantastiques aussi puissantes les unes que les autres. Ce recueil de nouvelles regorge de pépites littéraires à ne pas laisser passer. Je conseille particulièrement "La Vénus d'Ille".
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Prosper Mérimée
et autres évènements
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Editeurs
Gallimard : 13 livres
Larousse : 10 livres
Flammarion : 9 livres
LGF - Le Livre de Poche : 7 livres
Librio : 7 livres
Pocket : 5 livres
Hatier : 4 livres
Nomad éditions : 3 livres
Biographie
Prosper Mérimée, né le 28 septembre 1803 à Paris et mort le 23 septembre 1870 à Cannes, est un écrivain, historien et archéologue français.ils du peintre et écrivain Léonor Mérimée et de la peintre Anne Moreau, Prosper fit son droit et étudia aussi de nombreuses langues : grec, arabe, anglais et russe. Il est l’un des premiers traducteurs de la langue russe en français.
Mérimée aimait le mysticisme, l’histoire et l’inhabituel. Il a été influencé par la fiction historique popularisée par Walter Scott et par la cruauté et les drames psychologiques d’Alexandre Pouchkine.
Souvent, les histoires qu’il raconte sont pleines de mystères et ont lieu à l’étranger, l’Espagne et la Russie étant des sources d’inspiration fréquentes. Une de ses nouvelles a inspiré l’opéra Carmen.
Après avoir fait ses études de droit, il se livra bientôt tout entier à la littérature. Il entra pourtant dans l’administration et fut, après 1830, secrétaire du cabinet du comte d’Argout, passa rapidement par les bureaux des ministères du Commerce et de la Marine et succéda enfin à Ludovic Vitet en 1834 aux fonctions d’inspecteur général des Monuments historiques, où son père occupait la fonction de secrétaire, et qui lui permettait de poursuivre en toute liberté les travaux littéraires auxquels il devait sa précoce réputation.
Son décès avait été déclaré dans toute la capitale en 1869 alors qu’il n’était pas encore mort. Un démenti paru dans le Figaro détruisit finalement la rumeur.
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