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Arsène Guillot



Description ajoutée par Nicdouille 2014-11-27T13:40:25+01:00

Résumé

Madame de Piennes, jeune, riche, jolie, pieuse et charitable paroissienne de Saint-Roch, délaissée par son mari, voit à l’église une jeune fille aux beaux traits maladifs et un peu flétris tirer de sa bourse la seule pièce d'argent qui s'y trouve et en payer un cierge qu'elle offre au patron de l'église. Par la suite, elle apprend qu’à cause d'une déception amoureuse, elle s’était jetée du troisième étage. Mme de Piennes envoie aux nouvelles son propre médecin qui revient en déclarant que la tentative de suicide ne sera pas mortelle, mais que la jeune fille était condamnée à mourir sous peu de la tuberculose. Là-dessus, la belle dévote se rend chez elle, et y reçoit les confidences de celle qui déclare s'appeler Arsène Guillot.

Choquée dans sa pudeur, mais de plus en plus émue dans sa piété, Mme de Piennes revient presque chaque jour chez Arsène, la fait soigner, s'efforce de la consoler, et lui envoie un prêtre pour la convertir. Dans son hôtel, elle reçoit la visite de Max de Salligny qui, de retour d'Italie, vient lui présenter ses hommages, comme il avait coutume de le faire autrefois avec assiduité. On comprend que les deux jeunes gens ne sont pas indifférents l'un à l'autre. Mais ils ne s'en disent rien, car Mme de Piennes est mariée.

Or, durant une visite qu’elle fait à Arsène, elle voit arriver Max, qui se révèle être son amant infidèle. Il a appris le drame dont il fut la cause, et, touché de pitié, est accouru chez sa victime. Devenue la confidente et la directrice de conscience des deux jeunes gens, Mme de Piennes veut interdire à Max de voir Arsène, mais il l'assure qu'il n'éprouve plus d'amour et que ce serait pour lui une expiation. Cependant, Arsène, d'abord heureuse du retour de celui qu'elle pleurait, souffre de plus en plus de sa maladie et de l'amour qu'elle voyait naître et grandir entre Mme de Piennes et Max, pouvant dire elle-même à sa protectrice : «Il vous aime.». Désormais un double conflit se joue dans l'âme des deux visiteurs, au chevet de la mourante qu'ils reviennent assister jusqu'à sa fin. Le conflit est d'autant plus subtil chez Mme de Piennes qu'elle voudrait convertir Max et que, quand trop malheureux de cet amour auquel elle se refuse, il lui annonce son intention d'aller se faire tuer dans la guerre pour l’indépendance de la Grèce, elle est terrifiée de sentir jusqu'à quel point il lui est cher.

Enfin Arsène meurt en disant : «J'ai aimé.»

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Classement en biblio - 4 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par RMarMat 2021-07-14T10:43:44+02:00

Dites à un malheureux : c’est votre faute, il n’en est que trop convaincu ; et si en même temps vous adoucissez le reproche en lui donnant quelque consolation, il vous bénira et vous promettra tout pour l’avenir.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par RMarMat 2021-07-14T11:28:40+02:00
Bronze

Cette nouvelle ne m’a pas enchanté plus que ça ! Encore une foi, Mérimée explore les thèmes de la bigoterie chrétienne mêlée aux sentiments amoureux, aux remords et à l’expiation des fautes.

Ce texte provoqua à l’époque une grande indignation dans de nombreux milieux. Aujourd’hui, il passerait inaperçu. Mais il est signé Mérimée. Alors on le garde ! Peut-être aussi par la pitié que le lecteur peut ressentir à la mort d’Arsène. Madame de Piennes l’encourageant à la prière et au secours de son âme par Dieu, elle souvenant dans un dernier souffle avoir aimer.

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Commentaire ajouté par Allebei 2018-06-25T18:59:35+02:00

C'est une histoire un peu triste... mais on ne peut pas espérer de lire un livre de Mérimée pour y trouver des thématiques heureuses. En revanche, les personnages et les caractères psychologiques sont intéressants. Et c'est très bien écrit !

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