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A Dieu ne plaise



Description ajoutée par CREER 2013-04-11T18:14:55+02:00

Résumé

Robert Merle avec sa série d'ouvrages « Fortune de France », avait ouvert la voie des romans historiques conservant le langage de l'époque décrite.

Martine Hermant remonte plus loin dans le temps en nous livrant une histoire du Moyen Âge où tendresse et violence traversent le récit.

Vous allez revivre avec Lysandre les joies les émois et les peurs qui peuplent son univers.

Vous approcherez avec inquiétude le sorcier Viez Garol et sa fille l'Herminia secondés par des loups, que craignent les villageois mais que ces derniers vont consulter pour être guéris de leurs maux. Vous découvrirez la grande foire la Saint Ambroix de bourges et son animation au pied de la cathédrale, les tournois avec leur faste et leur violence, et puis la rencontre avec l'amour courtois que des dames de haute lignée professent pour essayer de réduire le comportement brutal des hommes. Vous approcherez les « parfaits », pourchassés par la croisade des Français du Nord, leur calme et leur bonté qui séduira Anieuse, la suivante de Lysandre au cours du pèlerinage jusqu'à Orcival en expiation imposée par son époux et seigneur.

Une grande fresque animée qui vous tiendra en haleine au cours de ce voyage du Berry à l'Auvergne.

www.edicreer.com/

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Classement en biblio - 4 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par CREER 2013-04-11T18:16:02+02:00

Lysandre fut étonnée de voir Alix se troubler, chose si rare, et hésiter avant de répondre sur un ton sans réplique :

– Ce n’est point de si grevale consivence pour que vous en ayez ocupement !

Lysandre sentit qu’elle prenait l’avantage sur un terrain bien défendu.

– La Dame de Boisgésir ne doit-elle point avoir connoissement du moindre movin au chastel ?

– Puisque vous le voulez, je vous dirai que Margue-la-Mère voulait aller en cueilloite.

Lysandre savait que l’adolescente mentait mais n’en laissa rien paraître pour approfondir ce qu’elle tentait de lui dissimuler et, qui sait ?…utiliser au mieux sa découverte.

Alix s’enferma dans un mutisme distant et Lysandre se remit à l’ouvrage. Leur tête à tête ne pouvait durer longtemps car, déjà, la pièce s’enflait du va-et-vient des valets, affairés à dresser la table sur des tréteaux avant de la recouvrir de nappes. Lorsque tout fut prêt, Margue-la-Mère fit sonner de la trompe pour avertir Géraud de l’imminence du repas ; ce qui faisait dire à

Lysandre, qu’à Boisgésir, ce n’était pas le seigneur qui commandait au service,mais le service qui commandait au seigneur : ainsi, on cornait l’assiette comme chez les Grands du royaume ! Mais le rite était bien établi car si la maisnie avait dû patienter après Géraud pour qu’il revint de lui-même donner le signal du repas, elle aurait risqué d’attendre longtemps ; celui-ci oubliait facilement l’appel de son estomac dans le feu de ses activités.

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