Commentaires sur ses livres

Une de mes duologies préférées en romance ❤
Une fois n’est pas coutume, je trouve que le résumé est très bien fait et ne spoile pas, alors je n’en refais pas un à ma sauce, pour une fois 😉
Ce roman est le 1er de l’univers des Lost Souls, cette bande de motard(e)s plus ou moins jeunes qui porte bien son nom : des âmes perdues, des âmes abîmées, des cœurs fragiles… Ici l’histoire est centrée sur Sandy, le beau gosse à grande gueule de l’équipe 😍 (le mec idéal pour moi, sauf qu’il roule en Harley 😝)
Qu’est-ce que j’aime ces personnages « vrais » créés par Erika ! Sandy n’a pas eu une enfance facile (voir sa mère se faire battre par son père et ne rien pouvoir y faire, ça laisse des marques) et il se cache derrière un caractère dur, désinvolte ainsi que de nombreux tatouages. Il va rencontrer Danny, cette jeune femme qui brûle la vie par les 2 bouts (dans la série enfance de merde, elle gagne haut la main elle aussi !).
J’ai aimé la recherche de la sœur de Sandy, les personnages secondaires que l’on rencontre et qui forment la famille de cœur de Danny et puis cette relation qui se construit entre nos 2 protagonistes. Ils veulent bien faire mais quand on est aussi abîmé qu’ils le sont, il est difficile de ne pas entraîner l’autre dans sa chute…
Je me suis tellement retrouvée en Danny, c’était limite flippant ! (encore plus dans le tome 2 d’ailleurs, voir la chronique à ce sujet 😉). L’autrice a un don, cette faculté de vous embarquer avec ses personnages dans leurs histoires, dans le développement de leurs psychologies : vous ne pouvez pas ne pas vous attacher à eux (ou alors, comme Chandler dans Friends, vous êtes morts à l’intérieur 😁).
Mention spéciale pour les références culturelles de Sandy qui m’ont fait sourire : les clins d’œil aux séries télé (Les Frères Scott, Game of Thrones, Friends…) m’ont fait l’aimer encore plus 🥰
Mon seul « regret » : avoir lu la duologie L’encre du passé quelques mois avant (oui, je suis débile, je ne lis pas les sagas dans le bon ordre 🤦🏻‍♀️) et m’être spoilée toute seule quelques éléments de ce tome… Je pense que certains passages auraient été un peu plus émotionnels si je ne m’y étais pas attendu.
Ce roman, cette duologie, cette saga : un sans faute pour moi, un « must read » quand on aime l’originalité, la diversité, le non-conformisme et quand on aime l’Amour ❤

Hyacinthe, défiguré par une grosse cicatrice, vit reclus dans la montagne et est un créateur de bijoux artisanaux renommé. Son succès est tel qu’il n’arrive plus à suivre la cadence des commandes, et sa meilleure amie lui impose alors de prendre une assistante (lui qui se tient éloigné de toute civilisation !). Elle propos le poste à son amie Eléa qui voue une admiration sans faille à l’artiste et qui rêve de faire sa connaissance. Entre Hyacinthe et Eléa le charme opère rapidement, mais le dégoût qu’il a pour lui-même peut-il être dépassé ?...
Deux mots pour décrire ce premier volume de la saga Tout en nuances : mythologie et diversité. J’adore la plume de cette auteure (ce n’est plus un secret pour personne 😁), j’adore l’originalité de cette saga, de ce roman tout particulièrement, j’adore les messages placés dans cette histoire. Bref, j’adore Hyacinthe ❤
Amatrice de mythologie grecque mais avec des connaissances très basiques sur le sujet, j’ai adoré chercher tous les détails y référant dans ce roman contemporain. Cette touche d’originalité apporte tellement au roman ! Bien entendu on reconnaît très rapidement les traits d’Héphaïstos chez notre héros, et on prend plaisir à se demander quelles autres divinités se cachent derrière les personnages secondaires. Rien que pour ça j’ai déjà hâte de lire les autres tomes de la saga 🤗
Comme d’habitude, Erika nous entraîne dans un monde aux multiples couleurs où rien n’est tout blanc ou tout noir, où nul n’est parfait et où les différences ne font finalement pas de différence ! C’est ce que j’aime dans ses romans : on garde en nous un bout de chacun de ses héros, de ses héroïnes, longtemps encore après avoir refermé le livre 🥰
Vous la sentez venir la saga coup de cœur ? 😉

Cette année pour #octobrerose et pour montrer mon soutien à ce combat que beaucoup de femmes et d'hommes traverse chaque jour, j'ai pris la décision de lire un livre sur le sujet et mon choix c'est reporté sur ce roman écrit par 13 auteures. Pour tout vous dire, j'ai adorée toutes ces petites histoires, même si j'avoue avoir eu petit coup de cœur pour l'histoire de @maloria67 qui s'intitule [L'imprévu]. Sincèrement je conseille fortement de lire ce livre car les histoires sont belles et touchantes à la fois. 🅠uoiqu'il en soit ce livre, je le classe dans ma liste: *Argent*. 🅙e vais désormais me plonger dans mon dernier roman du mois 🙃.

Petite histoire estivale qui donne envie de plus! En quelques pages, je n’ai malheureusement pas réussi à m’attacher aux personnages mais j’ai beaucoup aimé leurs relation électrique et conflictuelle. Le fait d’alterner les points de vue est dans ce cas essentiel à l’histoire pour comprendre ce qui se passe dans leurs têtes. Cette histoire aurait tellement mérité un roman en entier!

Alors pour certain il est certainement trop tôt pour parler de Noël. Je ne suis pas d’accord hier j’ai acheté une paire de chaussettes moumoute à l'effigie des couleurs de Noël. Même TF1 n’est pas d'accord avec les autres vu que les films de Noël clichés mais qu’on aime temps comment à être diffusés dès lundi. De plus, en octobre les romances chez Hugo ont été publiées. Il n’y a donc aucune raison de ne pas se plonger dans le mood de Noël en octobre.

Si je devais résumer ce livre en quelques mots : Drôle. Touchant. Poignant. Douceur. Nuit. Noël. Jaune. Bens. Amour. Amitié. Claque. Révélations. Ça ne peut qu’être un magnifique cocktail avec un tel mélange.

Honnêtement j’ai lu un paquet des romances de Noël, rien que depuis le FNR j’en suis à ma cinquième. Avant toute chose, je comprend mieux pourquoi la fameuse dédicace de mon livre est en jaune. Et après avoir lu le livre, et les remerciements, je comprends à quel point la frontière entre Layla est celle qui lui a donné vie est si fine.
Cette romance friends to lovers est dotée d’une douceur sans nom. Il y a tellement de choses à dire que je ne sais même pas par où commencer. On va essayer de pas partir dans tous les sens, mais je ne promets rien, quand il y a un trop plein d’émotions en moi, c’est un peu chaotique pour pouvoir réussir à structurer mes propos. J’adore particulièrement quand les auteurs créent une playlist pour permettre encore plus au lecteur de plonger dans le récit. Et je ne pouvais que valider cette playlist, il y avait de tout, de la k-pop, de la pop, des chansons de Noël.
J’en ai lu des romans, et petit à petit je suis tombée sous le charme de nombreux personnages. Mais je n’ai jamais rencontré un personnage comme Sidney. Alors oui les nice guy sont largement supérieurs aux bad guys et de loin. Il est amoureux de Layla depuis qu’il est en âge de comprendre qu’il est amoureux. Il est dévoué corps et âme à Layla. Il va jusqu’a accrocher une boule jaune sur le sapin (boule que j’accrocherais sur mon sapin), regarder les redifussions des matchs de hockey ou les Pens gagnent, l’accompagner à tous ses rendez vous de prises de sang, être présent nuit et jour pour elle, accepter son côte bordelique et j’en passe. Je pense que l’attention qu’a eu Sydney pour Layla qui m’a le plus touchée c’est quand jour après jour il lui mettait sa friandise dans son calendrier de l'avent.
Layla, que dire sur ce bout de femme. C’est une réelle source d’inspiration. Elle qui est inspirée par Sidney Crosby. C’est cette femme incroyable qui nous inspire. En un si petit être tant de choses, d’idées, d’émotions peuvent y habiter. Une femme passionnée, avec un caractère bien trempé, aimante, et surtout elle même. Elle n’a honte de rien et peur de rien. En apprenant à la connaître on se dit juste : y’a rien de plus simple qu’être soi-même, que les personnes qui nous aiment pour qui nous sommes réellement resterons. Que jouer un rôle ne sert à rien. J’ai ri,crié, sauté de joie, pleuré avec elle. Je me suis retrouvée en elle. C’est peut être pour ça que Layla m’a autant touchée. Elle ne lâche rien peu importe les difficultés et les obstacles qui se mettent en travers de son chemin. Pour dire à quel point elle était passionnée (bon on sait qu’Erica y est pour beaucoup) m’a permis de me renseigner sur cette fameuse équipe de hockey (oui j’ai regardé un match en rediffusion alors que je n’y connais, mais après avoir lu la saga off campus j’ai quelques bases). Et non Layla tu n’es pas une gamine tu as l’âme d’une enfant. Et selon Peter Pan c’est une très bonne chose. Pouvoir s’extasier sur tout, être éblouit pour X ou Y c’est une chance peu importe l’âge. Sydney et Layla sont des âmes sœurs. Ils se complètent. Je veux avoir plus de temps avec Syd et plus de Layla. Plus de la lune et de cette étoile.
Je suis tellement soulagée qu’il n’y ai eu aucune scène érotique à proprement parler comme on l’entend dans la new romance. L’histoire de Sydney et Layla est un slow burn : de l’enfance à leur vie d’adultes. Le fait qu’aucune scène érotique soit présente, ça a accentué et souligné cette sensualité, cette douceur et cette tension qui remplissait les pièces où se trouver nos deux héros. J’ai notamment aimé l’insistance sur les regards dans la romance. Les yeux sont le miroir de l’âme. Ce dicton va comme un gant à nos deux tourtereaux.
Je pense que leur relation est unique. Toutes ces taquineries, cette bienveillance dont tous les deux font preuves est tellement touchante et pure. Ils sont vrais tout simplement. Je n’ai pas eu l’impression de lire un livre où les personnages étaient fictifs. Ils étaient humains, remplis d’émotions à sans damner. Peints avec tellement de réalisme, qu’on aimerait les rencontrer en vrai et pouvoir les serrer dans nos bras. J’ai aussi beaucoup aimé que la personne à qui Layla voue un culte ultime c’est Sidney Crosby qui ressemble étrangement à celui qui à toujours été là pour elle : son étoile, l’équilibre de sa vie.
L’univers de Noël est plus que présent : les décorations, la neige, les chants de noël, le marché de noël, les bûches de noël, la friandise tous les matins déposés dans un calendrier de l'avent, les cadeaux, les moments où les familles se réunissent. Mais surtout la magie de Noël tout simplement.
D’ailleurs, j’ai adoré tous les personnages secondaires, tous si singuliers. J’ai adoré Pasta. Oui je sais je site d'abord le chien (mais j’en veux depuis que je suis petite puis il était à croquer, même si un peu fatiguant sur les bords). Les parents de Sydney transmettent parfaitement ce qu’est l’amour ainsi que le passage ou Queen dit à Layla qu’en fait même si on ne cesse de critiquer et de râler sur les défauts des autres on peut en tirer du positif et les aimer sans même s'en rendre compte. J’ai trouvé ça très beau. Par contre Malek et Sofia au début je ne les portais pas du tout dans mon cœur : alors oui je pense que Layla les a pardonné un peu vite pour toute la peine et le malheur qu’elle a pu ressentir mais je comprends totalement son raisonnement. Ils ont raté tellement de bonnes choses ensemble seulement pour un manque de communication.
Cette colocation entre Romy, Jade, Layla, Sydney et Levy était géniale. Ils étaient tellement tous si bien accordés. Une vraie famille. J’ai hâte de savoir pourquoi Levy est si réticent à Noël. N’oublions pas Queen un personnage haut en couleur aussi. D’ailleurs à quand la publication sur la fameuse histoire de Levy et Queen ?
Il y a encore énormément de choses à dire, mais sinon ce message n’en finirait pas. Tout ça pour dire que c’est de loi là meilleure romance de Noel que j’ai lu jusqu’à aujourd’hui. Et qu'évidemment je compte la relire pour les fêtes après avoir confectionner cette fameuse bûche Bens qui me fait de l'œil. 💛

Il n’attend que vous !

J'ai beaucoup aimé découvrir ces nouvelles. Elles apportent toutes un message bien précis concernant cette maladie qui pourrit la vie d'un bon nombre de femmes (et d'hommes aussi) sur Terre.
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Bien évidemment, ce ne sont pas des nouvelles qui vont vous faire éclater de rire à chaque chapitre, alors il a fallu que je fasse des pauses dans ma lecture pour garder un bon état d'esprit.
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Les nouvelles qui m'ont le plus touché sont celles d'Erika Boyer, Cynthia Kafka et de Laura S. Wild. Maintenant, j'admets que j'ai envie de prendre soin autant de ma santé physique que ma santé mentale. J'ai peut-être un peu trop négligé leur importance...

Mais que je vous explique on va découvrir tous les éléments d’un bon roman de Erika : 
un groupe d’amis tous sympas et mimis, un job et un magnifique projet commun. Tout ça sur un fond de Noel, la pâtisserie, le hockey, les décorations, le marché de Noel, les traditions des uns et des autres.
J’ai de suite adoré le personnage de Syd. Par contre, j’ai eu un peu de mal avec Layla. Elle était un peu trop superficiel et enfantine … du moins au début. Au fil des pages, on la découvre et en fait on s’y attache tellement. On comprend ses réactions. Et là, tout est juste en fait.

Très contente d'avoir pu redécouvrir la plume de Delinda Dane et de découvrir celle de Erika Boyer.

C'est une nouvelle fraîche, taquine avec une dose d'humour. J'ai bien aimé les personnages au point ou j'aurais voulu avoir un roman dédié à eux. Arielle est une jeune femme pleine de bon sentiments, adore son meilleur ami mais déteste le frère de celui-ci, Valentin !
Valentin quant à lui, se voile la face. En niant ses sentiments pour Arielle, il est méchant envers elle. Ce qui m'a un peu agacée au début. Je ne supportais pas son comportement. Je suis bien contente qu'Arielle ne se laisse pas faire (même si elle nie ses sentiments envers lui, elle aussi).

Cette petite romance d'été se lit très facilement et est parfaite quand on a peu de temps pour lire !

Je déclare officiellement la saison des romances de Noël ouvertes !!!!

Comme à chaque roman d'Erika Boyer, je n'ai pas pu résister. J'y ai plongé tout en sachant que ce ne serait pas une romance - et encore moins une romance de Noël - comme les autres.
C'est difficile d'avoir les bons mots mais la première idée qui me vient en tête est la suivante : Sidney et Layla sont des héros pas comme les autres, hors du commun, naturels, à qui j'aurai bien fait des calins si cela avait été possible.

Si j'avais pu, si je n'avais pas été aussi fatiguée, je pense sincèrement que cette superbe romance de Noël aurait à peine duré plus de 24 ou 48 heures. Peut-être est-ce aussi le fait que ce soit un roman d'Erika Boyer, une autrice que je lirais les yeux fermés, en qui j'ai une confiance absolue; en toute objectivité, je pense qu'il y a, en effet, un peu (beaucoup) de tout ça....

La loutre au cœur de pierre a pleuré, deux fois à quelques pages d’intervalles. J’ai été légèrement submergée par ce roman !

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Je ne vous proposerais pas de résumé de ce livre. Il est, selon moi, nécessaire de le lire et non de se le faire raconter. C’est un livre à appréhender et non à entendre parler. De part les différentes thématiques abordées, le résumé que je pourrais en faire sera complétement différent du résumé d’une autre personne

Je tiens tout d’abord à faire une précision qui me semble super importante. De mon avis, ce livre n’est pas une romance. C’est une histoire d’Amour. Vous allez me demander où est la différence ? Ce livre n’est pas l’évolution des sentiments de deux personnes en tant qu’ami, amoureux, conjoint, … Ce livre est une ode à l’amour, tant sentimentalement parlant que de manière familiale ou encore entre amis. On parle de sentiment fort, pas d’une amourette de passage ou d’une simple relation de frère. On parle d’Amour, avec un grand A et surtout avec un gros cœur

On parle de différence, qu’on ressent soi-même, qu’on ressent face aux autres, où on ne comprend pas les autres mais cette personne-là si. Elle, on la comprend et elle nous comprend. Comme si le monde était bien fait.

On parle d’un garçon qui est différent qui gère cette particularité en en découvrant une nouvelle. Vous imaginez l’adolescence ? Vous savez que vous êtes différents et par la suite vous êtes submergés par des sentiments trop fort pour un corps, pour un esprit. Mais des sentiments qui sont partagés. Par un être, physiquement et psychiquement d’une beauté

Il m’a été impossible de rester stoïque, de ne pas m’accrocher et moi aussi, il faut se le dire, aimer ces personnages. Comment ne pas aimer Alejandro et son caractère ? Comment ne pas avoir envie de lui faire un gros câlin ? Comment ne pas aimer Hugo ? Et son envie d’aider tout le monde ?
Le s.xe de ces personnages n’ont aucune importance au vue de la qualité des sentiments qu’ils ressentent. Roman d’Amour et non romance, je vous l’ai dit. On y est les gars, on vit avec eux, pour eux

Puis-je vous expliquer mon déchirement interne lors des dernières pages ? Non, définitivement, je ne peux pas. Cette histoire est à découvrir vous-même. Vous devez vous l’approprier et la laisser vous emporter.
Je ne vous promets pas que vous en sortirez indemne, si j’en suis sortie en pleurant. Mais j’en suis aussi ressortie avec l’envie instantanée d’y retourner, de les rencontrer encore une fois, de vibrer avec eux, de souffrir avec eux mais d’avoir le cœur tout chaud d’amour profond, sincère et éternel

Juste à écrire ces lignes, j’ai les larmes aux yeux.

Ce n'est pas une bulle d'amour et de bonheur, doux et câlin comme le tome précédent. De l'amour, c'en est à n'en point douter, mais passionné, brute et sauvage, qui a besoin d'espace pour s'épanouir. Aaron ne peut pas vivre sans l'armée, pour sa tranquillité d'esprit et pour son équilibre, même si je me dis que c'est un peu un cercle vicieux dans lequel il est entré. Cependant, tant qu'il est honnête avec lui-même, tout va bien. Mais là était bien le problème. Ce temps a été propice à l'introspection, le résultat n'en est que bénéfique pour tout le monde.

La relation fraternelle a beaucoup évolué depuis le premier tome. D'abord, c'était la répulsion d'Alexa, ensuite le jeu d'Aaron, basé sur la peur. Ce lien est un élément central dans la vie du militaire, entre le frère et la sœur, c'est "je j'aime, je te déteste". Les discussions sincères sonnent parfois dures, peuvent paraître méchantes, mais c'est leur vérité propre qu'ils expriment.

Si Ambre a été mentionnée précédemment, elle restait un mystère. De prime abord, elle semble froide et hautaine, mais cache elle aussi des traumatismes. Les douleurs du passé retentissent toujours sur son présent. Si elle ne peut s'en défaire, du moins arrive-t-elle à les accepter et à jongler avec dans son nouveau quotidien à l'écart de la foule.

C'est un livre court, mais l'autrice a cette capacité de formuler de manière concise et en toute clarté l'essentiel. Tout est établi de manière simple, je n'ai eu aucun mal à suivre leur logique. Un mode de vie différent, mais l'important est d'être sur la même longueur d'onde.

Mon avis complet : http://ichmagbuecher.eklablog.com/tout-en-nuances-tome-3-a213145409

Ce roman fait partie de l’univers des Lost Souls (avec Promesse Tenue et L’encre du passé) que je n’ai pas encore lu. Mais cela ne m’a pas gêné dans la compréhension de l’histoire. Par contre, j’ai maintenant bien envie de les découvrir.

Dans ce roman, on découvre l’évolution de la relation entre Lara et Louis grâce à des points de vue alternés entre le présent et le passé. J’ai été vraiment touchée par leurs histoires personnelles. Que ce soit l’un ou l’autre, ils n’ont pas eu des enfances faciles. Et j’ai aimé découvrir comment cela se répercutait sur leur vie de famille actuelle. J’avoue m’être un peu retrouvée en Lara avec tous les sentiments contradictoires qu’elle ressent face à la maternité. Mais je n’en dirai pas plus pour ne pas vous spoiler.

J’ai aussi été touché par la façon dont ce couple exprime leurs sentiments. J’ai même versé quelques petites larmes, je l’avoue.

Un tome sur une relation atypique.

Ce troisième tome se concentre sur Ambre et Aaron, qu’on a découvert dès le tome 1. A la fin de ce dernier quelque chose nous intriguait par rapport à Ambre (bon on se doute assez facilement) et j’ai aimé voir comment cela allait être développé.

Ambre est sûrement le personnage qui m’a le plus perturbée dans cette série. Impossible en terminant le livre et même avec du recul de savoir si je l’ai appréciée ou non.

Aaron m'intriguait beaucoup et j’ai été ravie de comprendre certaines choses vis à vis de sa relation avec Alexa. J’ai plutôt bien aimé son personnage, il est touchant et si honnête. J’aime l'honnêteté même celle qui fait mal et c’est sûrement pour ça que je l’ai autant aimé.

Deux personnages qui se ressemblent plus qu’on ne pourrait le voir. Comme pour tous les personnages, ils sont tellement vrais, tellement réalistes, ils ont leurs défauts et leurs qualités et c’est sûrement ce que j’aime le plus.

J’ai trouvé ce tome très poussé sur l’introspection, nos deux protagonistes principaux ont une opinion tellement toute faite d’eux même qu’ils ont du mal à s’en détacher et je pense que beaucoup de personnes pourraient se retrouver en cela.

J’aimais l’idée qu’il est important d’être égoïste, ce n’est pas toujours un défaut mais cela peut aussi être une qualité. Il me semble important de veiller à son bien être sinon cela devient compliqué de veiller sur les autres (bon même sans ça).

C’était top de retrouver les personnages des deux tomes précédents, tous ces échanges entre eux, tout l’amour qu’il y a, on sent vraiment des bonnes ondes et c’est agréable.
J’ai aimé découvrir Biscarrosse et ses vagues, ça me donne vraiment envie d’y aller.

En bref, un beau troisième tome sur une histoire d’amour atypique.

Une nouvelle de l’auteure Erika Boyer que j’aime. J’ai beaucoup aimé, bien que le format soit assez court.

Une nouvelle qui se lit vraiment très vite.

Des personnages auxquels je n'ai pas eu le temps de m'attacher mais qui sont assez sympa. On a les deux points de vue des héros ce qui est agréable.

L'histoire est condensée, très rapide au vu du format mais sympa à lire. Les plumes des autrices sont fluides et agréables à lire qui donnent envie de découvrir les romans des autrices.