Commentaires de livres faits par camiR
Extraits de livres par camiR
Commentaires de livres appréciés par camiR
Extraits de livres appréciés par camiR
- Dans ce cas nous devrions les imiter... Nous entrainer au maniement des armes, aussi. Grizel pourrait nous enseigner des factures gobelines, Ro les equivalents orgues, et... Avec un peu de chance, les instructeurs d'Exilium accepteront de nous faire travailler nos compétences... A cotes de ça, mous pourrions demander à nos mentors respectifs d'argumenter la difficulté de nos sessions. Dex devrait nous preparer quelques armes en reserve... Meme si à mon avis on devrait garder ses gadgets sur nous pour gagner du temps... Il nous faudra des poches, du coup. Pourquoi nos vêtements manquent-ils toujours de poches? Il faudrait toujours avoir plein de poches... plus il y a de poches, mieux c'est !
(p155)
Pas une seule robe en vue, ce qui lui valut automatiquement la reconnaissance éternelle de Sophie. Mais surtout... Des poches ! Des poches partout ! Chaque tunique rengorgeait de compartiments secrets : sous la ceinture, dans les manches, à l'envers du col. Et quantités d'autre cachés dans les capes. Même les bottes étaient équipées de poches( sans compter qu'elles n'avaient pas de talon ).
- Il est très bien, son nez affirma Ambre sur un ton d'avertissement.
You'd never think you could crave someone cold, that you'd find yourself always moving closer to them because of it. But Baz is the kind of cold I want to cover.
(His hands are feather light on my back. Feather light and chilled through.)
I want to warm him by hand. By heat, by cheek, by stomach
I bring my wings up around us and press him into the truck bed, pressing myself into every grey inch.
When was the last time...
No. Don't think about the last time.
Don't think it might be now.
Don't think.
I'm wet from the river spirit. My nose is the same tempera bure as Baz's chin.
I knock my face into his. I hang over him. This is the point, the proximity, where I usually pull away. "Can I ?" I say, pressing in. I'm not sure he'll hear me, over everything.
Wei WuXian ne put s'empêcher de commenter, " Pourquoi l'admires-tu autant ? Ses invention étaient un vrai désastres ! "
( L'extrait vient de https://modaozushi-fantrad-fr.tumblr.com/ la traduction est vraiment bien !)
— En tout cas, moi, si j’étais Bridgess, je ne perdrais pas mon temps avec Kevin, lança innocemment l’enfant mauve.
Le Chevalier étouffa un commentaire désobligeant et, d’un geste brusque de la main, éteignit les chandelles. La soirée devenait vraiment de plus en plus déplaisante.
Pendant la Guerre du Crépuscule, le YiLing Laozu se tenait sur le champs de bataille et jouait de la flûte toute la nuit durant, manipulant ses soldats fantômes comme une véritable armée. Il piétinait tous les obstacles : Hommes ou dieux, tous ceux qui se dressaient devant lui finissaient terrassés. Sa flûte semblait jouée pas un Immortel et ne pouvait absolument pas être comparée aux horribles stridulations qu'avait joué le rejeton du clan Jin. Aussi horrible que fut le caractère de Wei WuXian, c'était trop insultant de les comparer de la sorte.
Wei WuXian se sentit quelque peu offensé,... Et si vous essayiez de jouer quelques notes après une dizaine d'années sans pratiquer en utilisant une pitoyable flûte réalisée à la va-vite ? Si cela sonne correctement, je m'agenouille devant vous !
À se sujet, Wei WuXian avait déclaré, " N'ai-je pas déjà assez l'air convenable comme ça ? "
Jiang Chan avait répondu avec beaucoup de perspicacité, "Tu seras certainement la seule honte de toute sa carrière d'enseignant."
— C’est faux, le détrompa le grand Chevalier. Il en reste deux.
( commentaire personnel, c'est l'un des trucs les moins rassurants que j'ai jamais lu )
- - Oh ! D'accord. On attend, alors, concéda Zaira, soudain plus conciliante.
- Les enfant ! Tout le monde est sauf ? Sommes nous en guerre ?
////Je ne sais pas pourquoi mais ça m'a fait rire ////
- Bien sûr que non, ma dame. La Contessa avait clairement fait savoir qu'elle souhaitait vous voir rentrer vivante.
- Mais prenez garde toutefois quand un Haut Ensorceleurs ce choisi un ennemis, il ne recule devant rien pour s'assurer la victoire. Il n'hésitera pas à exploiter la moindre de ses faiblesses, à tirer parti de chaque vulnérabilité. Même s'il sont amis par ailleurs. (Il affichait l'air réjoui de quelqu'un parlant de couronne aussi charmante que celle de ceindre de couronne de fleurs le front des fillettes à la fête du moi de mai.) Je suis ravie de devenir votre plus cordial adversaire, dame Amalia.
- Ah...
- Par les Grâces, Zaira, c'est la nièce du doge, l'implorai-je.
- Ben, ils ne pouvaient quand même pas être tous moches dans la famille, gloussa Zaira.
- Il n'y a plus rien de plus séduisant que le pouvoir, décréta-t-il en tendant la main pour prendre un gâteau.
"Boum!" Un pesant volume relié de cuir atterit sur la table à coté de moi.
- Amélia ! Quelle heureuse suprise ! Je n'aurais jamais imaginer te croiser ici !
Je me retourna sur mon siège en m'étranglant avec mon thé.
- Domenic ?
Il était la devant moi, tel un miracle désespéré (...)
- Je vous adresse mes plus plates excuses pour mon retard, dit Domenic, une main sur le coeur, en s'inclinant à l'intention de Ruven. (...)J'ai bien failli ne pouvoir honorer votre invitation.
- Vous m'en voyez affreusement déçu, répondit Ruven en lançant un regard noir en direction de l'ambassadeur du Vaskandar qui, en pleine conversation avec un autre invité, n'avait pas remarqué l'intrusion de Domenic à la table du prince.
— Tu es bien comme ton fils ! déclara-t-elle en le repoussant.
— Il tombe dans les buissons épineux, lui aussi ? demanda Jasson avec ravissement.
— Il n’écoute rien !
- Où sont les garçons ? s’inquiéta aussitôt le grand Chevalier.
- Ils ont dit que tu voulais me voir en privé et ils sont partis aux bains.
Wellan ne leur avait pourtant rien demandé de tel. Un rapide examen télépathique des lieux confirma qu’ils se trouvaient bien dans les grands bassins d’eau chaude avec d’autres jeunes gens de leur âge. Volpel, Bailey, qu’est-ce que ça signifie ? les questionna Wellan. Nous avons pensé que ça vous ferait du bien de passer un peu de temps seul avec votre belle dame, maître, répondit moqueusement la voix de Bailey. Ne vous inquiétez pas pour nous, nous dormirons dans l’ancienne chambre du Chevalier Jasson, ajouta Volpel. Pour la première fois de sa vie, Bridgess vit Wellan rougir : il savait bien que tous les Chevaliers et tous les Écuyers avaient entendu cette communication.
- Vous n’ignorez pas ce que je pense de ce genre d’initiatives, les gronda le chef.
- Nous savons que cela va à l’encontre du code, mais nous sommes maintenant assez vieux pour comprendre que vous avez besoin d’un peu d’intimité, répondit Volpel. Et puis, nous serons juste à côté, acheva Bailey.
— Je finirai par te démasquer, Onyx, fit-il en lui écrasant brutalement les doigts, et ce jour-là, tu regretteras de ne pas être mort il y a cinq cents ans.
" The burger or the steak ? " the waitress asks .
" Penny " Simon says , " you don't eat beef . "
" Oh , " she says . " Then I'll have the ... I'll have whatever people have . "
" People like the Buffalo Blasts , ” the waitress says .
" Isn't buffalo still beef ? " Simon asks me .
I shrug . I don't know the first thing about buffalo .
" They're chicken , " the waitress says . " With buffalo sauce."
"Fine" , Penny agrees .
"I suppose she can skip the sauce . . . . " Simon mutters after
Le sol vibre aussi fort qu'à Malinta. Les bisons paraissent désorientés. Quand les loups finissent par se taire, l'écho de leur hurlements tremble encore dans l'air glacial. On pourrait croire qu'il karaquent , mais il s'agit d'autre chose : Une brume argentée se déploie autour du troupeau. En plissant les yeux, je distingue la multitude de silhouettes qui la compose. Les ancêtre du bishar ! Ils soulèvent la neige au courant et leurs voix spectrales montent vers l'horizon obscur.
Une seule bête, un seul coeur comme les sabots de tes proies frappent le sol dans un roulement de tonnerre...
Fighting doesn't feel good anymore. It feels like braking something because you don't know how to fix it.
- Bonjour Aly
Euuuh... c'est un " Bonjour Aly " sous-entendus " petite cochonne je t'ai bien défoncé cette nuit " ou un " Bonjour Aly bien dormi ? "
- Salut Charlie
Je fais mine de chercher quelque chose dans le frigo tout en surveillant le moindre changement d’expressions sur son visage. Il a du remarquer une attitude bizarre, parce qu'il pivote soudain vers moi en demandant:
- Tout va bien ?
Je plisse les yeux à la recherche de la signification derrière cette phrase.
- Ah tu es constipée, s'exclame-t-il ça m'arrive quand je mange trop d'haricot mungo. je te conseille les pruneaux.
Au temps dire que j'ai cessé de plisser les yeux de cette manière et d'arborer cet air qui ne me rends manifestement pas justice.
- Non non, je ne suis pas ... Non, non.
- Pruneaux, Aly, pruneaux