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Commentaires de livres faits par Cerise42

Extraits de livres par Cerise42

Commentaires de livres appréciés par Cerise42

Extraits de livres appréciés par Cerise42

Alors que, sur la route, elle (Arya) s'était fait l'effet d'un mouton, c'est en souris que la métamorphosa Harrenhal. Sa chemise de laine rugeuse la rendait aussi grise qu'une souris et déguerpissant telle une souris de la voie des puissants, elle ne pratiquait que les trous noirs, crevasses et lézardes du château.
La pensée lui venait parfois qu'il étaient tous des souris, tous, entre ces murailles épaisses, tous chevaliers et grands seigneurs inclus.
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« Hello, hello, hellooo! C’est Augé, votre première heure du matin! On se reiveille en chanson sur Radio Olympus avec A little less conversation, et Ô oui Kingston! More action please! »
La musique démarre. Forte et percutante. Les filles de Chronos ponctuent la journée au Siège de leurs interventions, pour elles et ceux qui vivent sur place. Ce qui est mon cas. Diplomate de Zeus oblige. Je fourre ma tête sous l’oreiller. Plus elles sont matinales, plus elles sont énergiques. Il faut voir Acté, déesse du plaisir et de la fin de journée - autrement dit, de l’apéro - partir dans ses libations tout en prodiguant des conseils pour cuisiner des feuilletés au fromage de chèvre et au thym, avachie sur une banquette. Le chill a l’état pur.
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Choisir sans frémir
Acheter comme il faut, choisir avec raison, telles sont les préoccupations du légumologue dévot. Évidemment sa première préoccupation sera la saison, mais pour ce sujet brulant, il pourra soit faire appel à son immense culture soit consulter les diverses pages de cet ouvrage définitif si, d'aventure, le poison du doute s’immisçait dans le frais jardin de ses certitudes.
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c’était le fait de tous les lecteurs. C’était la magie des livres, la curieuse alchimie permettant à un cerveau humain de transformer l’encre noire des pages blanches en un univers entier.
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Chimère — ... Tu voles et dans une clairière tu aperçois des dryades aux cheveux fleuris.
Garde — Y... y en a combien?
Chimère — Une dizaines et sûrement vierges...
Garde — Non, pas vierges... Elles n’y connaissent rien.
Chimère — Oui, tu as raison, pas vierges... plutôt de sacrées coquines...
Chimère — Bravo... Juste au moment où il allait connaître le bonheur suprême... tu es cruelle!
Atalante — Ça va lui épargner des désillusions... les dryades ne sont pas spécialement expertes pour s’occuper des gros niais!
Chimère — Trêve de plaisanterie... j’ai réussi à faire rêver et à hypnotiser tout ce qui entoure la prison! Mais ça ne va pas durer.
Atalante — Tous les argonautes sont partis capturer les taureaux?
Chimère — Non, pas tous, Argos et cinq compagnons sont restés à bord du navire.
Atalante — Parfait. La chouette et les petits guerriers, allez les prévenir! Qu’ils mettent le navire à l’abri! Quant à toi Chimère, mène-moi à Jason.
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Atalante — Pyros, c’est le moment d’avoir un trait de génie pour nous sortir de là!
Pyros — Chante! Avec Médée, ça marche, il est tout calme quand elle chante...
Atalante — Chanter? Ça ne va pas, Non?? Je suis une chasseresse, pas un pinson!
Pyros — Ben, on est un peu coincés... Je ne vois pas ce qu’on pourrait faire d’autre.
Atalante — Soit! Je vais imiter le chant de cette bécasse.
Laalaa. Ahaaa... ça marche! Aahaa...
Médée — J’arrive à temps! Si elle continue à vocaliser comme ça, il va les griller!
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Une amazone — Voilà le bestiau! On l’a capturé cet après-midi.

Atalante — Ahum... Belle bête, en effet! Il a dû vous donner du fil à retordre!?

Une amazone — Bah... Pas tant que ça, finalement... Plus ils sont gros et costauds, moins ils sont vifs et intelligents!

Atalante — Ah oui?! J’ai remarqué ça, moi aussi... Et puis celui-ci à l’œil vicieux. Je suis sûre qu’il est lache, en plus...

Une amazone — Pas réellement, mais n’a pas opposé trop de résistance, en fait. Viens, je te montre ta couche.

Atalante — Attends, je vais discuter un peu avec lui. Il a peut-être des choses drôles à dire...

Une amazone — Comme tu veux! Elle est là moi, je vais rejoindre les autres.

Atalante — D’accord, je prépare ma couche et je remonte passer un moment avec vous...

Atalante — Alors comme ça, mon gros costaud, tu n’as pas opposé trop de résistance...

Héraclès — Je suis venu saluer d’ancienn copines. Je voulais pas me pointer en leur fracassant les os, non plus...

Atalante — Pourquoi es-tu là, au juste?

Héraclès — Je n’allais quand même pas te laisser toute seule avec ces foulasses énervées...

Atalante — Je n’ai pas besoin de ton aide, Héraclès! Je veux m’installer ici et devenir une amazone!
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Et ça concerne toutes les choses qu’on a devant les yeux...
Celles dont on se fiche...
Comme celle qui nous sont précieuses
Sahara : Là, resserre le cadrage... Et rajoute du bleu cyan.
Fujii : Les images de Sahara sont vraiment sublimes...
Il paraît que les photographes et les coloristes étrangers n’ont pas la même perception des couleurs...
Que les japonais, en tout cas, lui, il a une vision du monde très spéciale... Oui, il a quelque chose d’unique
J’aime être près de lui, sans pouvoir le toucher
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De nouveau je me sentis glacé par le sentiment de l’irréparable. Et je compris que je ne supportais pas l’idée de ne plus jamais entendre ce rire. C’était pour moi comme une fontaine dans le désert.

– Petit bonhomme, je veux encore t’entendre rire…

Mais il me dit :

– Cette nuit, ça fera un an. Mon étoile se trouvera juste au-dessus de l’endroit où je suis tombé l’année dernière…

– Petit bonhomme, n’est-ce pas que c’est un mauvais rêve cette histoire de serpent et de rendez-vous et d’étoile…

Mais il ne répondit pas à ma question. Il me dit :

– Ce qui est important, ça ne se voit pas…

– Bien sûr…

– C’est comme pour la fleur. Si tu aimes une fleur qui se trouve dans une étoile, c’est doux, la nuit, de regarder le ciel. Toutes les étoiles sont fleuries.

– Bien sûr…

– C’est comme pour l’eau. Celle que tu m’as donnée à boire était comme une musique, à cause de la poulie et de la corde… tu te rappelles… elle était bonne.

– Bien sûr…

– Tu regarderas, la nuit, les étoiles. C’est trop petit chez moi pour que je te montre où se trouve la mienne. C’est mieux comme ça. Mon étoile, ça sera pour toi une des étoiles. Alors, toutes les étoiles, tu aimeras les regarder… Elles seront toutes tes amies. Et puis je vais te faire un cadeau…

Il rit encore.

– Ah ! petit bonhomme, petit bonhomme j’aime entendre ce rire !

– Justement ce sera mon cadeau… ce sera comme pour l’eau…

– Que veux-tu dire ?

– Les gens ont des étoiles qui ne sont pas les mêmes. Pour les uns, qui voyagent, les étoiles sont des guides. Pour d’autres elles ne sont rien que de petites lumières. Pour d’autres, qui sont savants, elles sont des problèmes. Pour mon businessman elles étaient de l’or. Mais toutes ces étoiles-là se taisent. Toi, tu auras des étoiles comme personne n’en a…

– Que veux-tu dire ?

– Quand tu regarderas le ciel, la nuit, puisque j’habiterai dans l’une d’elles, puisque je rirai dans l’une d’elles, alors ce sera pour toi comme si riaient toutes les étoiles. Tu auras, toi, des étoiles qui savent rire !

Et il rit encore.
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Tanaka : Tu crois qu’elle nous voit comme des mémères?
Yugi : Non, c’est juste qu’elle n’a pas conscience des sujets qui fâchent.
L’absente est sur le grill (Watanabe)
Tanaka : Justement, ça prouve son manque de maturité! Et ça m’agace...
Yugi : Tu sais, la plupart des gens de son service sont très jeunes. En général, ils débutent là avant d’évoluer. Si tu y restes trop longtemps, ce n’est pas bon signe. Les femmes surtout, sont impitoyables avec les « anciennes »
Tanaka : Dans ce cas, pourquoi elle ne change pas de service? Ou même de boulot?
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date : 12-12-2020
C’est par une journée blanche de neige que Souricette arriva dans la Forêt des Cimes. C’était la veillée de Noël, et ses moustaches frémissaient d’impatience.
Seulement voilà... il lui manquait un petit nid douillet!
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date : 16-01-2021
C’était la veille de Noël chez les Silberhaus, et l’excitation des enfants était à son comble. Marie et Fritz ne tenaient pas en place.
Leurs parents décoraient l’arbre de Noël dans la grande salle et on leur avait défendu l’accès, le temps que tout soit prêt pour le grand bal. Frère et sœur jouaient des coudes pour tenter d’apercevoir sapin scintillant à travers la serrure.
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date : 16-01-2021
La nouvelle de leur arrivée se répandit comme une traînée de sucre. Marie et son prince furent bien vite accueillis par la fée Dragée, qui régnait sur cette terre enchantée. Elle les salua d’une gracieuse révérence. Puis, d’un coup de baguette magique, elle fit apparaître devant eux les meilleures douceurs de son royaume.
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Je sais que dans la vie il y a des hauts et des bas, mais je voudrais ressentir quelque chose de tout mon cœur. Je ne veux pas d'une relation qui paraisse logique, pour faire bien. Je veux être émotionnellement reliée à quelqu'un. Je veux quelqu'un qui me désire, moi. Pas une certaine version de moi, mais celle que je suis en réalité Je veux être aimée et acceptée pour ce que je suis. Je veux un amour sans réserve. Est- ce que c'est mal ?
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date : 17-01-2021
Le fascinant reflet blanc qui avait attiré l’attention de Charlotte était toujours là. Comme à leur arrivée, elle pouvait l’entrevoir à travers les trouées entre les ormes et les aubépines. Consciente de son indiscrétion, Charlotte se força à détourner les yeux, mais s’aperçût, en approchant du lieu d’où la scène était clairement visible, qu’elle n’y parvenait pas. Cependant, là où elle s’attendait à voir deux amoureux, elle eut la surprise de ne rien trouver. Le talus était désert ; Miss Brereton et Sir Edward avaient disparu.
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Madeleine avait enfilé sa robe en polyester mauve, « celle qui fripe pas », comme chaque fois que je venais la voir au foyer depuis la levée des restrictions. Une fois encore, on nous avait gentiment servi de la compote de pomme maison dans des bols lavables, au grand désarroi de ma vieille amie, qui préférait de loin celle de l’épicerie, servie en portions individuelles dans des coupes en plastique jetable, parce que le plaisir qu’elle retirait de cette collation avait très peu à voir avec la compote elle-même, mais tout avec la vibration induite au manche de la petite cuillère lors de son passage sur la paroi texturée du contenant. Simple comme ça. Mais les employés que j’avais essayé de ramollir à ce sujet m’avaient tous expliqué que le plan de sauvetage de la planète était désormais l’affaire de tout le monde, même de ceux qui avaient lavé les couches en tissu de leurs enfants à l’eau froide et gardé le même réfrigérateur toute leur vie.
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J’ai quitté la réunion en souriant comme une psychopathe et me suis dirigée vers le placard de l’entrée où je gardais ma fidèle masse, celle qui m’avait permis de reconfigurer ma vie physique et mentale après le départ surprise de mon mari. Grâce à elle, le buffet de la belle-mère, le lit conjugal, et le divan sur lequel je m’étais pissée dessus le soir de la grande nouvelle avaient atteint la taille parfaite pour voyager par les fenêtres. Ma masse était le chien fidèle que je n’avais jamais eu, je lui vouais un amour inconditionnel qui m’amenait à lui pardonner de n’être qu’un objet inanimé. Sans prendre le soin de protéger ma belle table en bois d’érable, je l’ai soulevée dans les airs et j’ai frappé dans le tas, réduisant mes bouts de maquettes en poudre.
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date : 21-01-2022
La couleur des tôles qui recouvrent la façade de la maison ne fait pas de doute, je suis bien arrivée. Je sonne et attends quelques secondes avant que la porte s’entrouvre sur un jeune homme dont le regard interrogateur me fait penser qu’il ne m’attendait pas.
— Bonjour, je suis Anna Brent, j’ai loué une chambre ici pour une semaine.
A part un grognement sourd, je n’obtiens aucune réponse. Je commence à douter et cherche dans mon téléphone la confirmation de réservation que Mme Cellier m’a communiquée. Sur le document le nom de la propriétaire est Efá Eldarsson et l’adresse est correcte. Je lui présente mon téléphone, il l’observe quelques secondes, se frotte le front et comme pour me signifier que je peux entrer, il retourne à l’intérieur en laissant la porte grande ouverte. Ce sentiment de le déranger me met incroyablement mal à l’aise. J’hésite un instant, mais je n’ai pas vraiment le choix, j’entre et referme la porte derrière moi. Je reste plantée dans l’entrée ce qui me semble être une éternité. J’observe cette grande pièce sombre, à peine éclairée par le feu de cheminée et un grand lampadaire artisanal, dont l’abat jour en tissu beige est posé sur un grand pied en bois, taillé grossièrement dans un tronc d’arbre.
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Luna Scott était assis à une table dans le fond du Café Incantation et sirotait son latte, les yeux larmoyants d’épuisement. Cela faisait trois jours qu’elle ne dormait pas et elle survivait à grand renfort de sucre et de caféine.
— Je te ressers? demanda Hanna Pelsh.
Luna releva la tête vers la jolie femme et approuva vivement.
— Un double, tant qu’à y être, et est-ce que tu pourrais aussi m’amener un autre scone crème et cannelle.
— Bien sûr.
La copropriétaire du café lui jeta un regard inquiet.
— Est-ce que ça va? Tu es toute pâle.
— Ça va, répondit Luna en agitant la main. Je manque juste un peu de sommeil. Il faut que je me reprenne avant mon premier rendez-vous.
Luna était massothérapeute à Doigts de Fée, le spa de luxe de Keating Hollow.
— On dirait qu’un massage ne te ferait pas de mal à toi, déclara Hanna en s’asseyant en face d’elle. Qu’est-ce qui se passe? Tu travailles trop? Je suis sûre que Faith comprendrait si tu as besoin de prendre un jour de congé pour recharger tes batteries.
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date : 03-04-2022
Cela faisait déjà plusieurs heures que les rayons du soleil avaient disparu. Les bâtisses en briques, typiquement anglaises, avaient finalement cessé de rougeoyer pour laisser place aux ombres dessinées par les quelques réverbères qui ponctuaient la rue. À cette heure, les passant étaient rares dans ce quartier malfamé de la ville, entre immeubles ouvriers et vieux entrepôts industriels.
Imperceptible, une silhouette se coulait le long des étendues noires. S’arrêtant un instant, Anita Gladiau consulta son portable d’un coup d’œil. Les coordonnées qu’Evy avait réussi à obtenir en géolocalisant le mobile de la victime n’avaient pas changé, cette dernière n’avait donc pas bougé. Elle touchait au but. Ou alors le téléphone avait été jeté à cet endroit. Hypothèse nettement moins réjouissante, car elle l’obligerait à reprendre les recherches depuis le début.
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Trois jour auparavant...
Tanaka : Pas la peine de te fatiguer, je suis au courant!
On peut dire que tu n’as pas perdu de temps!
Ça s’est passé si...
Ogi : S’il te plaît, allons en parler ailleurs...
Tanaka : Justement, je meurs de faim! C’est curieux, j’ai très envie de sushis, tout à coup
Ogi : Il va falloir patienter, je ne peux pas m’absenterai tout de suite.
Tanaka : Ah oui? Tout de même, si je m’attendais à ce qu’on te propose ce poste de...
Ogi : ça va, j’ai compris! Allez, en route!
Tanaka : Mais qu’est-ce que tu crains? Pas besoin d’être sur tes gardes, puisque tu ne travailleras bientôt plus ici!
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date : 22-07-2023
Prête-moi ta force Kafka Hibino ! Que tu vires complètement Kaiju, je m'en cogne, c'est pas un problème. Au pire y aura qu'à te dégommer. La seule chose qui compte pour moi c'est de régler son compte au numéro 9 ! Et pour y arriver, tous les moyens sont bons, tu ressens la même chose, pas vrai ?
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—Avant de dévaler une colline comme ça, on devrait toujours faire la check-list de sa luge.
—Ouais.
—Ceintures?
—Non.
—Feux?
—Non.
—Freins?
—Non.
—Volant?
—Non.
YOUPIIIII
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Il était une fois, près du bois de Saint-Cloud,
Un loup sans foi ni loi, un peu relou.
Il avait faim, c’était l’hiver.
Il était très très en colère.
Il n’avait pas mangé depuis le mois d’octobre.
Lui le grand, le méchant carnivore.
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Tormàn
— Allez, juste une petite information? S’il te plaît? tenté-je.
Ce satané cactus ne veut rien lâcher. Il se tient droit, muet comme une tombe, les épines en l’air signalant son dédain profond. C’est pas pensable d’avoir une telle volonté d’emmerder le monde quand on n’est qu’un tout petit machin plein de piquants! Au-dessus de ma tête, Furieuse se moque de moi sans même chercher à se cacher. Cette liane de lierre a beau être ma meilleure amie, ce n’est pas la compassion qui l’étouffe.
— Furieuse, tu peux essayer de lui parler, s’il te plaît? murmuré-je, accroupi devant le minuscule pot de cactus.
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date : 02-10-2023
98… 99… 100!
Je pensais pas que ces mouvements étaient si crevants!
« Les jambes sont la base de toutes les techniques martiales. C’est de là que part la puissance de tes coups de poing. Dans un premier temps, travaille à fond ces cinq techniques de déplacement, jusqu’à ce qu’elles deviennent des automatismes. » Ah ouai, le directeur aussi continuait à s’exercer… Bon ben, raison de plus pour redoubler d’efforts, alors!
— _Hmm… Il a passé un cap, on dirait._ Tu tombes bien. Tiens, petite récompense. C’est de la part du vice-commandant Hasegawa.
— Mon téléphone! On me l’avait confisqué! J’ai le droit de le récupérer ?!
— T’as plus qu’à t’en servir maintenant. Il y a un bout de temps que tu n’as contacté les autres… pas vrai?
— Hmm… les contacter, ok mais comment la jouer?!
La dernière fois qu’on s’est vus, j’avais les menottes aux poignets. Ça remonte à pratiquement deux mois, déjà. Et en plus… Maintenant qu’ils savent que je suis le n*8… quelle opinion ont-ils de moi?!
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