Comment j'ai tué l'homme blanc
Auteur
- Christopher Jones (Écrivain)
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Classement en biblio - 2 lecteurs
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Ce livre a été le premier que j'ai reçu dans le cadre du jury de lecteurs @librinova et il est resté en attente car ni la couverture, ni le titre ni même le résumé ne me tentait ! Je me suis quand même décidé à me lancer en me disant que je pouvais toujours abandonner ! Et finalement, je suis allée au bout du roman même si mon ressenti est mitigé ! Malgré tout, j'ai trouvé ce roman d'anticipation très particulier. Même si ce n'est déjà pas le type de lecture que j'affectionne, j'ai aimé le début du roman et j'ai été portée par la plume de l'auteur et je voulais savoir où il allait nous emmener suite à ce black out électrique définitif ! Mais, malheureusement, tout traîne en longueur et le voyage n'en finit pas. J'ai failli décrocher à plusieurs reprises car j'avais l'impression de lire un mélange de guide touristique et de pamphlet sociétal. Et alors que je trouvais la dernière partie très longue, je n'ai pas compris la fin que j'ai trouvée très abrupte ! Enfin, j'avoue qu'en fermant ce roman, j'ai une overdose de parenthèses ! Bref, ce n'est pas un roman que je garderai en mémoire mais je suis contente d'être sortie de ma zone de confort.
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Résumé
Vendredi 28 juin 2019, 22h07 : les lumières s’éteignent brutalement sur le Parc des Princes, où les Bleues jouent leur quart de finale de Coupe du monde contre les Américaines. Et contre toute attente, l’électricité ne reviendra jamais.
Le black-out électrique, c’est l’exact contraire du Covid-19 : le virus oblige au retranchement, tandis que la disparition de l’électricité pousse à la fuite. Quand l’électricité s’évanouit, c’est la nourriture qui n’est plus accessible et ce sont les télécommunications dont il faut se passer. Et surtout, l’eau : trois jours de réserve dans les châteaux d’eau, mais après ? Sans électricité, la possibilité de la vie dans un appartement d’une grande ville ne dépasse pas quelques jours.
Vingt ans après, un homme raconte à ses petits-enfants cet effondrement, sa fuite de Paris avec sa famille, et un peu du monde d’avant. On trouvera dans le premier tome de cette uchronie une violente charge contre l’Occident et la « modernité », une théorie (lunaire) sur le monothéisme, et une touche d’écoféminisme. (Mais si ce sont les fondations d’un nouveau monde que le lecteur attend, on le priera de patienter jusqu’au prochain volume.) Librinova
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