He lived life to the full. He devoured life. He celebrated every minute. And, like a great comet, he left a luminous trail which will sparkle for many a generation to come.

"Il a pleinement vécu. Il a dévoré la vie. Il en a célébré chaque minute. Et telle une superbe comète, il a laissé derrière lui une empreinte lumineuse qui brillera pour de nombreuses générations futures."

Brian May, 2011

Life is about the people you meet. And the things you create with them. There will always be a reason why we crossed paths with people… either they change your life… or you’ll be the one to change theirs. Who knows, right ? They might even become a huge part of your life.

Vous connaissez ce vieux proverbe chinois disant qu'il faut se méfier de ses rêves parce qu'ils pourraient bien se réaliser ? Je ne l'avais jamais aussi bien compris.

le premier chapitre :
http://www.delitoon.com/#!/serie/1072/episode/1073

La mort était la pire crainte, la plus grande terreur non seulement de l'humanité mais de toutes les créatures vivantes qui peuplaient cette terre. Pourtant, les ténèbres qui menaçaient nos âmes dans l'au-delà étaient bien plus effrayantes à mes yeux que le simple fait de quitter le monde terrestre, et bien plus cruelles aussi. Je préférais de loin sombrer dans le néant plutôt que d'affronter une éternité de souffrance, d'errements, d'esclavage et de solitude.

Dans un monde idéal, je serais allée discuter avec le méchant, je l'aurais convaincu de se rendre, il m'aurait fait des aveux puis aurait présenté des excuses sincères aux familles de ses victimes lors d'un véritable procès. Mais malheureusement, on n'était pas dans un monde idéal et ce méchant-là ne cherchait visiblement pas l'absolution. De toute façon, après ce qu'il avait fait, personne ne la lui aurait accordé.

Je suis petit, mais intelligent et rapide. Chez toi, la seule chose rapide, c'est la langue.

c'est plus fort que moi, les bureaucrates vicieux, ça me tape sur les nerfs.

Effectivement. Mourir ne me faisait pas peur. J’avais trop souvent vue la mort, l’avais trop souvent donnée pour la craindre. C’était la torture que l’on pouvait infliger avant la mort qui m’inquiétait. La vraie douleur était là. Et si l’on manquait de chance et que l’on survivait à ces mauvais traitements, alors le souvenir de ces moments vous hantait, et c’était pire.
La mort était un soulagement, à de nombreux égards. Une fuite vers autre chose. Quoi, je l’ignorais. Peut-être le paradis, peut-être l’enfer. Peut-être rien du tout. Mais cela ne pouvait pas être pire que certaine scènes dont j’avais été le témoin ou l’acteur dans ma vie.

chez les gens riches, la connerie, c'est de naissance.

si la vie se limite a une question de survie, a quoi bon vivre?

- Dura lex, sed lex, recita Jace. La loi est dure mais c'est la loi.

— Ça va aller, dis-je pour la rassurer. Tu commences seulement à t’y remettre. Dès que tu auras recouvré tes pleins pouvoirs, je me casserai une côte ou autre chose pour qu’on puisse faire un essai.
Elle grogna.
— Le pire, c’est que je pense que tu ne plaisantes pas.

Si j’avais été affectée à Jesse, il aurait eu besoin d’un gardien supplémentaire pour le protéger de moi.

il y avait les jours "habituels" et les jours ou on se retrouvait agrippé par le col de chemise par un russe très grand, très fort et très en colère.

pages: 149

Parents, vous êtes des Dieux pour vos enfants.
Vous nous créez de votre chair, vous nous présentez le monde, vous nous présentez au monde. Cruels, courroucés, injustes, magnanimes, sages, capricieux, généreux, protecteurs ou destructeurs... vous avez tout pouvoir sur nous.
C'est vous qui nous faites, qui faites notre vie.
Tâchez de rester des Dieux dignes de ce nom.
Vous trônez dans nos consciences, vous êtes inscrits dans notre sang.
Donnez-nous donc le meilleur. Le meilleur de vous-mêmes en premier lieu.
Comment se comportent une Déesse et un Dieu ensemble ?

Il n'est jamais question de choix de vie, mais de choix de survie.

J'ai démissionné de la vie. De la leur. Je me contente de traverser le temps, patiemment. Chaque jour, avec son lot d'infortunes. Marcher sur des œufs, retenir son souffle et surveiller ses arrières. You are never alone. never left to daydreaming. Traverser les mois, en attendant l'issue de ces jours blancs. Comme un pion qui ne joue pas, je passe mon tour.

- Tu as vu comme on te regarde ? C'est que tu es une femme...
Je sais que l'on ne regarde pas une femme comme ça. Moi, je suis une mutante intermédiaire. Le fruit monstrueux d'une vie bizarre. Je ne le saisis pas encore. J'ignore encore tout.
Moi je trouve que je ne ressemble tellement à rien, et c'est d'ailleurs parfait ainsi. C'est ce qu'ils veulent. Ils aiment me dire comme je suis clumsy, maladroite, et mon grand corps prend le pli en devenant cette maladresse.

Je n'ai aucune plainte, aucune demande, encore moins d'exigences. Je sais me fondre, je sais vous donner ce que vous attendez. C'est ce que j'ai toujours fait.

Je fais contre mauvaise fortune bon cœur, et tente de garder ma dignité en trouvant des solutions.

- Oh, Finn n'est pas un tueur à gages. Il est bien, bien pire. C'est un banquier.

-Le comte m'a expliqué que tu... que toi et lui, vous pensez qu'une femme amoureuse est plus facile à contrôler. Ce doit être énervant d'avoir fourni tout ce travail préliminaire avec Charlotte et de maintenant devoir remettre ça avec moi, non?
-Mais qu'est-ce que tu me racontes là?
-Tu as vraiment fait un travail de pro, poursuis-je. C'est d'ailleurs aussi l'avis du comte. évidemment, je n'était pas un cas particulièrement difficile... Mon Dieu, j'ai tellement honte de t'avoir tant facilité les choses!
je fus incapable de le regarder plus longtemps.
-Gwendolyn... commença-t-il en s'interrompant aussitôt. Gwendolyn, il faut y aller maintenant. Peut-être devrions-nous reprendre cette conversation plus tard. En toute tranquillité. Je n'ai pas la moindre idée de là où tu veux en venir...
-Je veux seulement savoir si c'est vrai, dis-je.
Naturellement que c'était vrai. Mais on sait bien que l'espoir meurt en dernier. Mon estomac commençait à m'annoncer le prochain saut dans le temps.
-Je voudrais juste savoir si tu as vraiment voulu me rendre amoureuse de toi, comme tu l'avais fait précédemment avec Charlotte, complétai-je.
Gideon me libéra.
-Le moment est vraiment mal choisi, déclara-t-il. Gwendolyn! Nous en parlerons après. Je te le promets.
-Non! maintenant! m'écriai-je en laissant libre cours à mes larmes. Tu n'as qu'à me répondre par oui ou non! Est-ce que tout cela était calculé?
Gideon se frotta le front.
-Gwen...
-oui ou non? sanglotai-je.
-Oui, avoua Gideon. Mais je t'en prie... arrête de pleurer!
Et pour la deuxième fois de la journée, mon cœur - cette fois, la deuxième version, ce cœur fantôme, né de mon fol espoir - bascula par-dessus la falaise, s'écrasa au fond du ravin et vola en milliers d'éclats minuscules.
-D'accord, chuchotai-je, c'est tout ce que je voulais savoir. Merci de ta franchise.
-Gwen, j'aimerais vraiment t'expliquer...
[...]
-Gwendolyn ? demanda Gideon, en me fixant comme s'il craignait que j'aille me jeter sous le premier bus venu.
-Tout va bien, affirmai-je sans le regarder.(...)
Gideon fit un mouvement, mais le docteur White le retient.
-Toi, tu ne bouges pas d'ici !
Il avait déchiré la manche de veste de Gideon et celle de la chemise en dessous. Son bras était plein de croûtes de sang et il avait une légère entaille eu niveau de l'épaule. Le petit esprit Robert fixait tout ce sang avec effroi.
-Qui t'a fait ça ? Il va falloir désinfecter et recoudre, constata sombrement le docteur White.
-Pas question ! protesta Gideon, qui avait pâli et perdu sa jovialité. On verra ça plus tard. Je dois d'abord parler à Gwendolyn.
-Ce n'est vraiment pas la peine, dis-je. Je sais déjà tout ce que je dois savoir.

Quand vous serez persécutés dans une ville, fuyez dans une autre.

" Prions ensemble pour le salut et la grâce,
Oh, mon Seigneur.
Donne-nous ta lumière, et remplis-nous de ta sagesse.
Guide-nous dans cette vallée obscure,
Et accorde-nous la force d'endurer cette épreuve. "

Dans la Famille, on me dicte l'Amour, la Paix, la Bienveillance, la Bonté, la Longanimité, le Pardon, le Sacrifice. Et je subis l'opposé. Et je ne vois personne autour de moi incarner ces valeurs. Aucune des personnes croisées ne ressemble au Christ dans son comportement.
Dans le système, on grave partout Liberté, Egalité, Fraternité. Sous couvert de droit à la Liberté, tous nient l'Egalité de l'Autre, et donc ne peuvent être fraternels.

injustice comme ordre. La peur nourrit la haine, l'ignorance la violence.