Aimer, c est regarder ensemble dans la même direction

Quand la dernière sonnerie retentira
Celui ou celle qui tiendra l oeuf deviendra la prochaine coquille

Première rencontre entre Calli et Izé
Izé, en pensée : Si elle prie pour sa mère, elle ferait mieux d'aller dans un autre monastère. Cette demoiselle est bien crédule...
Calli : Dieu... vous m'entendez ? Si vous m'entendez, je vous prie de guérir la maladie de ma mère. C'est une personne vraiment gentille et généreuse. Je suis triste qu'elle soit peinée à cause de la maitresse et que sa présence la rende malade. La méchante maitresse n'a même pas eu de grippe, cet hiver. Ma mère, elle, peine à se promener au printemps. C'est trop injuste. S'il s'avère trop difficile de guérir la maladie de ma mère, pouvez-vous au moins la transmettre à la maîtresse ?
Izé, en pensée, un peu choqué : Une malédiction ?!
Calli : Faites que ce soit une maladie incurable et qu'on la chasse du château. Avec ses enfants évidemment. J'ai entendu dire qu'il en existait une qui faisait pourrir le corps de l’intérieur. J'aimerai qu'elle attrape celle-là, si possible. S'il vous plait, Dieu. Je vous en supplie.
(On a perdu Izé, à la fin ^^)

Soeur de Haena : Du coup qu'est ce que tu vas faire ? C'est déjà difficile de le voir à minuit. Et en plus, il a peur des chiens
Haena : Et si je le faisais en secret quand il dort ?
Sa soeur : Et tu vas faire comment ? Comment comptes tu voir un homme qui dort chez lui la nuit ? Sors avec lui. Ca sera plus facile. T'auras qu'à rompre avec lui une fois la malédiction levée.
Haena : Cet homme dit être mal à l'aide quand il est avec moi. Tu crois vraiment qu'il accepterait de sortir avec moi comme ça ?
Sa soeur : Ah pas faux. En plus ce serait difficile de lui déclarer ton amour.
Haena : ?
Sa soeur : La femme qui l'agresse sexuellement, l'invite à manger et s'enfuit sans payer, ni le prévenir. Tu crois que tu pourras rétablir ta réputation ? Si j'étais lui, je me dirais que c'est une tarée totale.
Haena : ... AAAAAAAAH !!!!

Guillotine : Allez !! On se bouge les BÊÊÊÊÊÊ !! On y va !
Pimprenelle : Mouhahaha elle vient de bêler !
Guillotine : A ta place je la bouclerai le brocoli !
Pimprenelle : Quoi ? Brocoli ? Elle va se calmer le zoo en kit !
Guillotine : Ma parole, je vais t'étriper avant l'heure !
Pimprenelle : Vas-y, je t'attends ! Fais gaffe,je mords !

Chapitre 1
Dieu est un être unique. Omniscient.
Mais désespérément seul.
Un jour, lassé par cette solitude, il créa les esprits divins.
Une myriade d'esprits, tous plus fascinants les uns que les autres.
Il en créa continuellement, pour chaque chose, chaque émotion, chaque sentiment et bien plus encore.
Et son monde se gorgea de vie.
Mais arriva indubitablement le jour ou il créa le dernier esprit.
L'esprit de l'oubli.
Et en bonne et due forme...
Il l'oublia aussitôt.

Pimprenelle, esprit de l'Oubli : je l'aurai un jour, je l'aurais...

Personnellement je ne crois pas au concept de "faux"... Parmi les touristes qui viennent de Manhome... Certains pensent que Néo-venise n'est qu'une copie de Venise... Et du point de vue purement architectural, ils n'ont pas tort. Mais les deux villes en sont pas nées ni de la même façon ni à la même époque. Et leurs habitants n'ont pas tissé les mêmes souvenirs... En tout cas moi, je n'ai aucun mal à démêler le vrai du faux... j'adore Néo Venise, je trouve que j'ai une chance incroyable d'y vivre

Sébastian : Voyons Finny ! Modère ta force ! C'est un sniper, tu sais. Si tu abîmes sa main, elle ne pourra plus viser les gens avec précision.
May Linn : Mais... ?! Même si vous n'attachez pas d'importance à l'expérience professionnelle, il ne faut pas parler de ça à un enfant !
Finny : Un sniper... qui vise les gens... (ses yeux se remplissent d'étoiles) May Linn... tu m'impressionnes ! A partir d'aujourd'hui, nous allons travailler ensemble et nous allons tuer tous les ennemis de notre maître ! (dit-il avec un sourire éclatant, trop mignon)
May Linn : ... Euh ? Heum... d'accord

Finny (fonçant sur Sébastian) : SEBASTIAAAAN !
(Les deux percutent le mur, qui s'en tire moins bien que notre cher Sébastian)
May Linn, effarée : ?!
Sébastian : Finny... il me semble t'avoir dit de modérer ta force quand tu te précipitais sur moi... Un autre que moi aurait eu des lésions de la moelle épinière !

(La balle ricoche sur la théière et a terminé sa course dans l'oreiller, près de Ciel)
Ciel : Qu...qu'est ce que... ?!
Sébastian : ... (Il regarde la théière qui fuit puis la vitre cassée) Monsieur... (Il sert le thé en versant par le trou, créé par l'impact de la balle) Aujourd'hui, je vous ai préparé un Nilgiri.
Ciel : TU N'AS RIEN DE PLUS IMPORTANT A ME DIRE ?

[Postface]
Petit pois : Et les tourbillons de romance que tu avais promis ?
l'auteur : Les prévisions météos, ça se plante tout le temps !
Petit pois : Oh t'es vache ! Excuse toi auprès des présentateurs météo !

- Elle a « un faible » pour vous ?
- Hé, vous ne pouvez pas m'en vouloir si une femme me trouve attirant.
- Je ne peux pas vous en vouloir ?
- C'est du magnétisme animal. Je suis né comme ça.
- Écoutez, Dwayne, il n'existe qu'un seul magnétisme, celui découvert par un Anglais du nom de William Gilbert au XVIe siècle, et je peux vous assurer qu'il n'a rien à voir avec les animaux.
- Chef, vous bredouillez.
- Évidemment que je bredouille, explosa Richard avant de baisser la voix en un murmure désespéré. Je suis en train d'écouter l'un de mes agents me dire qu'il a séduit ma mère par inadvertance !

Ali : Elle a le béguin pour vous? Vous n'avez qu'à l'épouser, alors !
Smith : Ce n'est pas aussi simple ! J'y ai beaucoup réfléchi ! Ça ne pourrait pas se faire avant longtemps... et pour expliquer ça à ma famille...
(Plan sur Talas, surprise)
Karluk : ... Euh... Vraiment ? Vous avez déjà prévu si loin ?

-- Pas possible ! Tu n'y connais vraiment rien, n'est ce pas ? Tout tient dans le montage. La vie est un film sans coupures ! C'est le montage qui fait le film !
-- Mais...
-- Laisse tomber ! soupire GL. Je manque vraiment de chance pour faire mon dernier film : c'est l'histoire de ma carrière.
Elle secoue la cendre de sa cigarette et prend une profonde inspiration.
-- Comment ton grand père est-il mort ?
-- Il est juste mort. Dans son sommeil.
-- Un beau départ. J'aimerai être aussi chanceuse. Je n'ai pas l'habitude des départs en douceur.
Elle jette sa cigarette.
-- Surveille ta conduite. Tu suis les autres voitures de trop près et je ne suis pas encore prête à mourir

-- Ta grand-mère a l'air en pleine forme pour quelqu'un qui fume.
-- Elle ne fume pas. Elle prend juste la pose. Ne me demande pas pourquoi.

Choji : Euh... maître...
Iruka : Qu'y a-t-il ?
Choji : A vrai dire, je n'ai pas très envie de taper sur mon ami...
Iruka : Allons, il ne faut pas voir les choses comma ça... Il s'agit là d'un exercice de combat traditionnel, appelé "Kumite" ! Autrefois, le Hokage s'est, lui aussi, entraîné au Kumite afin de devenir plus fort, et...
Shikamaru : Maitre, on n'a qu'à dire que j'ai perdu par élimination pour être sorti de l'aire de combat. Vous pouvez appeler les suivants.
Iruka : Haa...

-- Bonjour Richard, ronronna une voix mélodieuse juste à côté de lui.
En levant brusquement les yeux, Richard se trouva nez à nez avec Selwyn Patterson, le commandant de police de l'île.
-- Oh, bonjour monsieur.
Selwyn vit que Richard tenait une boîte miteuse sur laquelle était inscrit en plein milieu : "ATTACK'RAT TUE TOUS LES RATS (EFFET GARANTI SUR 100% DES RATS)".
--Vous n'êtes pas en train de préparer un meurtre, j'espère . demanda Selwyn avec un petit gloussement grave.
-- Bine sûr que non ! répondit Richard en éclatant d'un rire si bref qu'il savait désormais qu'il avait effectivement réagi comme une personne en train de préméditer un crime.
-- Alors qu'est ce que vous mijotez ?
-- Oh, vous savez, dit Richard de plus en plus mal à l'aise. Je jetais juste un œil.
-- Vous jetez un œil au rayon poison d'un magasin de bricolage ?

-- Camille, ne m'interrompez pas quand je travaille.
-- Oh, désolée, dit Camille qui ne l'était pas du tout. Sur quoi travaillez vous ?
-- Oh, vous savez. Je travaille, répondit-il méfiant. Que voulez-vous ?
-- Moi ? Juste prendre votre commande pour le déjeuner. [...]
-- Vous savez ce que je veux pour déjeuner, Camille, dit-il sur un ton impérieux pour essayer de reprendre le contrôle de la conversation. Parce que je mange la même chose tous les midis depuis que je suis arrivé sur cette île paumée.
-- Mais Maman dit qu'elle peut nous servir des patates douces pimentées et du riz à tous. Ou sinon, il lui reste du curry de chèvre de...
-- Merci Camille, mais je préfère vraiment manger la même chose que d'habitude.
Camille observa son chef et, le regard brillant, sortit son carnet pour noter ostensiblement sa commande :
-- Un... sandwich... à la banane.
-- Merci, Camille.
[...]
-- Sérieusement, chef, l'interpella Dwayne. Vous ne pouvez pas manger la même chose tous les midis.
-- J'ai passé dix ans en pension. Vous allez voir ce que vous allez voir.

Les gens disent que les fantômes sont les êtres les plus effrayants.
Mais permettez-nous d'en douter.
Se battre
Se blesser
S'entretuer
Et s'entretuer encore
Les gens qui renoncent à être humains
Alors, pourrait-on dire que ces gens-là sont des êtres meilleurs que les fantômes ?

Hirotaka : Tu n'es pas un peu vieille pour pleurer devant Sailor Moon ?
Narumi : Sailor Moon R, c'est toute mon enfance, je te rappelle !!! S'ils repassaient tous les épisodes de Dragon Ball à la suite, je suis sûre que tu regarderais et que tu pleurerais aussi !! Même en étant au bureau !!
Hirotaka : De un, je ne regarderai pas Dragon Ball au boulot. Et de deux, je ne pleurerais certainement pas. Qui pleure encore en regardant des animes, à notre âge ? (en pensée : Je suis sidéré... Elle m'a fichue une de ces trouilles...)
(Hirotaka a finit par regarder et sèche ses larmes avec un mouchoir, terriblement ému)
Hirotaka : Ça craint...
Narumi : Hein ouais !
Hirotaka : C'est encore pire que DBZ...
Narumi : Tu vois !

[Ses messages à lui sur LINE]
Salut, salut ! (^W^) comment ça avance, ton boulot ?
Ça te dirait de t'arrêter boire un verre avant de rentrer ? (^W^-^W^)
Kabakura est déjà avec moi ! (^W^) Profites-en pour inviter Koyanagi.
Je compte sur toi pour ne pas perdre trop de temps à consulter le fil d'actualité.
Si tu fais des heures sup, j'te fracasse ! (^W^)
(Narumi et Hanako lisant les messages d'Hirotaka)
Hanako : Il est bourré ? Ou c'est son téléphone qui bugge ?
Narumi : Non, pas du tout. En réalité, il est plutôt bavard et même assez marrant, je dois dire. C'est juste que ça ne se voit pas sur sa tête quand on lui parle face à face.
Hanako : Donc, c'est son corps qui bugge.

Kabakura : Hein ? Tu sors avec Momose, Nifuji ?
Hirotaka : Ouaip. Enfin, plus ou moins.
Kabakura : Comment ça ?
Hirotaka : Dès qu'elle me voit, elle s'enfuit aussi vite qu'un pokémon légendaire.
Kabakura : Qu'est ce que tu lui as fait ?
Hirotaka : Rien, encore.
Kabakura : Oh !? Quand on parle du loup...
(Hirotaka se retourne mais Narumi se baisse pour se cacher derrière son bureau)
Hirotaka : Kabakura... apparemment au bureau, on a la même trappe qui s'ouvre au sol pour éliminer les candidats que dans l'émission d'imitations sur Fuji TV.
Kabakura : Laisse tomber, je ne pige pas tes vannes
(Personne ne comprend)

Journaliste : Je suis Watson du journal Spark... ce qui m'intrigue le plus, c'est la question de votre alimentation... la faim et la soif ont dû être une souffrance au quotidien... avez-vous des expériences particulièrement douloureuses à nous faire partager ?
(petit silence)
Aries : Dis-le toi...
Yunhua : Non, toi !
Aries : Euh... J'ai pris deux kilos

(épisode 31 Webtoon FR)
Simon : D'ailleurs, c'est un beau ruban. C'est un cadeau de Ian ?
Louise : Oh, comment avez-vous su ?
Simon : Ian t'avait associée à cette couleur.
Louise :C'est vrai qu'il m'avait dit ça... Et vous Seigneur Hillard, quelle est votre couleur ?
Simon : Moi... sûrement le noir.
Louise : C'est bien ! Le noir s'accorde magnifiquement avec toutes les couleurs.
Simon (murmure) : Non, Louise. Le noir... fait de l'ombre à toutes les couleurs...

-- La vie est injuste, je vous l'accorde. Mais c'est le système dans lequel nous sommes nés tous les deux. Personne ne vous a demandé d'en attendre plus. Nombreux sont les hommes qui se satisferaient de vivre dans un grand presbytère sans rien à faire de janvier à décembre.
-- Eh bien, un jour, c'est John qui héritera, déclara Stephen en levant triomphalement le menton. Mon fils, pas le vôtre, héritera de tout.
C'était un coup bas, mais Peregrin décida de passer outre.
-- Et ce jour-là, je vous rappelle que, en toute logique, vous serez mort, aussi sera-t-il trop tard pour qu'il finance les vices de sin père.