Terreur psy
Auteur
- André Caroff (Écrivain)
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extrait
Leland Young se fraya difficilement un passage entre les dormeurs étendus à même le sol. Le froid était vif, des courants d'air glacé pénétraient dans la gare dont toutes les vitres avaient été brisées par des jets de pierre. Ailleurs on avait arraché des cloisons, des panneaux publicitaires pour monter une espèce d'infirmerie surmontée d'une croix rouge en carton. Comme il n'y avait plus de médicaments depuis des mois, que la plupart des médecins étaient morts dans la rue au cours des émeutes, on était en droit de se demander à quoi servirait cette infirmerie.
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Ce FNA part d'une très bonne intention. Le décor avait tout pour me plaire. Une ville en complète dégénérescence, séparé en une ville haute et une ville basse par un mur barbelé et des gardes en permanences.
Bien entendu, pendant que dans la ville basse, on lutte chaque jour pour trouver de la nourriture, éviter les pilleurs et les mutants, dans la ville haute, on vit comme si rien ne s'était passé en pleine opulence en jouissant de tout les biens fait de la terre.
Dans la ville basse, l'état n'est pratiquement plus représenté, que par quelque uniques téméraire, jouant office de policier. Mais leur moyen semble bien dérisoire face à la violence qui règne ici bas.
Vraiment le cadre de l'histoire était vraiment pas mal... mais l'intrigue qui s'en suit.... des meurtres dans la famille du maire résident dans la ville haute... et on fait appel au "super flic" de la ville basse pour enquêter...
Tout était pas mal, jusque sur la fin, où ça m'a vraiment gonflé, et d'ailleurs j'ai jamais terminé les 20-30 dernières pages tellement que j'étais déçu de la tournure de l'histoire, qui aurait pu être bien meilleur vu le décor qui avait été planté.
Dommage.
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Date de sortie
Terreur psy
- France : 1982-01-01 (Français)
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Résumé
Ils en étaient réduits à s'entre-tuer pour un morceau de pain. Quand l'un d'eux tombait, mort de faim ou de froid, les autres sortaient leur couteau et le dépeçaient.
Les réfugiés couchaient dans les rues, dans la gare, sous les trains bondés qui ne fonctionnaient plus depuis des mois. Et, dans cette immense foule, l'inspecteur Leland Young recherchait un assassin violeur de jeunes filles.
Et le trouvant, il entendit pour la première fois parler des ondes cérébrales humaines qu'une machine pouvait reproduire à volonté, mais multipliées à un point que nul n'était capable d'imaginer.
Est-ce pour cela que le monde devenait fou ?
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