« Et l’on peut me réduire à vivre sans bonheur,
Mais non pas me résoudre à vivre sans honneur. »

« Ton bras est invaincu, mais non pas invincible. »

« Comment peut-on savoir ce qu’il faut faire ou ne pas faire à ce moment-là? Je crois qu’il n’y a pas d’attitude parfaite, juste des personnes qui font du mieux qu’elles peuvent avec quelque chose jusque-là inconnu: la mort et le deuil. »

"Quelque chose de sombre se déploie dans mon ventre. S'il y a bien un truc que je déteste, ce sont les hommes qui ne comprennent pas le mot "non"."

« Tu es incapable de parler de notre baiser et tu veux que je t'explique comment je me branle? »

« Je pense sincèrement que les gens peuvent changer, du moins certains. Je veux croire qu'une personne peut décider d'évoluer vers le mieux, de se repentir, de reconnaître ses erreurs et de tout faire pour les réparer.
Parce qu'on en fait tous.
Au fond, quelles que soient nos motivations, chacun de nous est le méchant dans l'histoire de quelqu'un d'autre.
Quoi qu'il se passe, je ne veux avoir aucun regret.
Alors je choisis de pardonner. »

« - Il ferme enfin sa gueule, grogne-t-elle en lâchant la pelle sur le plancher. Je déteste ça, quand les méchants font des monologues au moment crucial. »

«  -Arrêtez de me suivre. J'ai envoyé un message à mon petit ami, il va débarquer d'une seconde à l'autre, mens-je en serrant les mains autour de mon téléphone portable.
Ugh. Je déteste avoir recours à cette excuse minable, comme si la menace d'une présence masculine changeait la donne […]. »

« - Ce mortel t'a froissée, déclara Zofie. Tu veux que je le tue?
Perséphone l'avait enfin convaincue de la tutoyer.
- Quoi? Non, Zofie. On ne peut pas tuer tous les gens qui nous vexent.
- Là d'où je viens, on peut, répondit l'Aegis en haussant les épaules.
- Fais-moi penser à planquer tes armes, dit Perséphone. »

« Je préférerais qu’on aille se faire foutre ensemble, chérie, mais si je te prenais maintenant, tu ne marcherais plus pendant une semaine. »

« -Chérie, je mettrais le feu à l’Univers pour toi. »

« J’ai arrêté de vouloir changer les gens il y a bien longtemps. Ce que tu peux changer, c’est l’impact que leurs mots ont sur toi. »

« J’ai quelque chose sur le visage?
-Non, pourquoi?
-Vous me regardiez. »
C’est à ça que servent les œuvres d’art, non? On les regarde. Elle devrait avoir l’habitude.

« Tu ne peux pas t’évertuer à sauver quelqu’un qui ne veut pas l'être. »

"- Je ne crois pas au destin. Pour moi, c'est trop facile. La vie est ce qu'on en fait. Si tu veux être avec quelqu'un, sois avec cette personne. Ne laisse pas l'univers s'en occuper pour toi, au risque d'attendre toute ta vie... et de passer à côté de jolies choses."

"- Pourquoi avoir pris un sweat-shirt ? Il fait au moins vingt-cinq degrés à l'intérieur.
[...]
- Au cas où tu aurais froid plus tard."

"- Tu aimes les abricots, reprend-elle. Non, tu adores ça. Personnellement, je trouve ça fade et sans goût. Est-ce que mon avis te pousses à changer la tien pour autant ? "

"- Ne me prenez pas de haut, gronde-t-il d'une voix grave.
- Alors, soyez à la hauteur."

"[...] Provoquer le plus puissant sorcier du royaume et laisser Elisabeth mettre la pagaille au beau milieu d'un bal? Non, vraiment, je ne vois pas ce qui pourrait mal tourner."

"-Si tu la blesses, je te retrouve et je te fais la peau."

"Je déteste qu'on touche à ce qui m'appartient."

"-C'est un syndrome bien connu, ça. Tu n'aimes pas les hommes, tu aimes "les hommes écrits par des femmes". Bienvenue au club."

« -La prochaine fois que tu sors, enfile des chaussures plus robustes et des vêtements plus épais. Ces chaussons risquent de te tuer et cette robe… elle risque de me tuer, moi. »