_ Je ne suis plus tout jeune mais c'est la première fois que je vois une elfe !
_ Nous ne sommes pas nombreux.
_ C'est vrai que je n'en ai jamais rencontré d'autres...
_ On est vraiment très peu... moi-même, je n'en ai pas croisé beaucoup ! On vit longtemps mais on tombe moins facilement amoureux et notre instinct de reproduction est moins développé, c'est pour ça que notre race s'éteint à petit feu... La dernière fois que j'ai vu un des miens, c'était il y a plus de 400 ans. La fin est peut-être plus proche qu'on ne le pense !

_ J'ai honte de moi... je m'en veux... je ne me le pardonnerai jamais... Je m'excuse pour ce que j'ai dit.
_ Moi aussi, j'avais quelqu'un d'important dans ma vie. Je veux parler de mon fils... mais il est devenu un détraqué par ma faute et il est mort de ma main. C'est pour le faire revenir à la vie que je me bats. Je suis comme toi, je ne peux pas me le pardonner !

_ Franchement, j'hallucine.
_ Pa... pardon ! Tu... tu veux bien oublier...
_ Tu dis que tu m'aimes mais tu n'as rien compris, hein ?
_ Comment ?!
_ Tu me balances tes sentiments, et ensuite, tu me prends pour un mec qui couche et se tire après ?

Autre chose. Vous parliez de me rendre ma liberté, mais sachez que je ne vous sers pas sur ordre du roi Il.
Yona : Quoi ?
Hak : Le roi Il est le souverain à qui j'ai prêté allégeance absolue. Vous estimez peut-être ne pas avoir la même légitimité que lui mais depuis que je vous accompagne, je suis subjugué par votre force et votre fougue et j'ai décidé de vivre pour vous. C'est vous qui m'avez appris la fierté de servir quelqu'un ! Moi, je vous aime !
Yona : Non...
Hak : Figurez-vous que si ! Ayame est avec quelqu'un, et moi, je suis amoureux de vous, donc cette histoire de fiançailles est nulle et non avenue !

Yona : Tu as une fiancée, alors...
Hak : Une fiancée ? Ah, vous parlez d'Ayame ? Je vois. C'est pour ça que vous m'avez incité à rentrer et que vous parliez de me rendre ma liberté ?
Yona : Oui, mais... ça ne veut pas dire que je n'ai pas besoin de toi. Tu comptes énormément pour moi. Alors reste avec moi.
Hak : Vous vous fichez de moi ?
Yona : Quoi ?
Hak : Je vous l'ai dit, non ? Plus d'une fois, même. Je ne vous quitterai pas ! Encore heureux ! Et je vous ai dit que je ne restais pas avec vous par devoir. Il est temps que vous l'entendiez ! Je tiens énormément à la tribu du vent et s'il leur arrivait quelque chose, je serais toujours là pour eux ! Mais c'est ici qu'est ma place ! Alors ne me dites pas que vous y arriverez sans moi et que je peux rentrer à Fûga comme si j'étais un parfait étranger.
Yona : Pard...
Hak : Inutile de vous excuser. Je veux juste que vous le sachiez, même si j'ai l'air idiot de le dire.

"Pour ce qui est des Titans, comme j'avais entendu dire qu'ils étaient d'aspect humain, je pensais que, peut-être, ils étaient aussi doués de sentiments mais quand je me suis retrouvé face à un spécimen, j'ai tout de suite compris qu'ils n'avaient rien à voir avec nous et qu'ils étaient dénués de toute sensibilité. Ces êtres infâmes ne méritent que de disparaître ! Ce sont des abominations qui n'ont pas leur place dans notre monde ! Crois-moi, j'aimerais oublier ce que j'ai vu et vivre tranquillement dans un coin retiré, loin de ces monstres, mais malheureusement, c'est impossible ! Ils sont là, à nos portes, guettant l'occasion de nous anéantir ! Ils ravageront ce monde merveilleux et le décimeront entièrement ! Ils n'épargneront personne !" # Kyklo

Cardina : Dans quinze jours, nous serons tous joyeusement expulsés hors du Mur, par la grande porte de Shiganshina.
Kyklo : ... de quoi ?
Cardina : Tu m'as bien entendu. Nous sommes condamnés au bannissement. C'est le cas de tous ceux qui sont emprisonnés ici.
"Mais être bannis et expulsés hors des murs, ça signifie ni plus ni moins qu'être livrés en pâture aux Titans !"

"Le Bataillon d'Exploration manque cruellement d'effectifs. La dernière expédition l'a démontré de façon dramatique. Ces deux-là seront donc de précieux éléments !"

"C'est injuste... les salauds arrivent toujours à s'en tirer. Les mauvaises actions restent impunies. Comment peut-il avoir l'air aussi heureux pendant que moi, je mène une vie de merde ?!"

"Ces semi-détraqués ont été persécutés et pensent faire justice en se vengeant mais bon, c'est pas une raison pour commettre des meurtres." #Jagasaki

"Il est bon de ressentir de la peur. Si tu ressens de la peur, c'est qu'il y a une raison d'avoir peur, sois donc vigilant. La peur, il ne faut pas la vaincre. Il suffit de ne pas s'y soumettre. Et il n'est pas inutile d'en tirer des leçons."

_ Au fait, il y a une autre personne qui porte un nom d'ange. Mikael, Michel... qui t'a donné ce nom ? Es-tu, toi aussi, un ange ? Mais sache, Michael, que tu n'es pas le seul à avoir été nommé ainsi. Il y a longtemps, très longtemps, lorsque j'étais encore humain, Saitô m'a aussi donné ce nom. Il m'a dit que j'avais été choisi, que je m'appellerais désormais Mikael et que j'étais un ange.
_ Qu'est-ce que tu racontes ?
_ Mais il m'a ensuite abandonné. Et à présent, c'est toi qui est le nouveau Mikael.
_ Je ne comprends rien à ce que tu racontes.
_ Essaie de te souvenir. Personne ne te connaît mieux que toi-même.

"Moi aussi, j'ai un démon mais je ne suis pas autant submergée par la passion."
_ Tu as cependant toi aussi des désirs. Des désirs sexuels, par exemple.
_ Que dis-tu ? Je suis encore vierge.
_ Les vierges sont celles qui ont le plus de pensées obscènes.
_ Pas moi.
_ Disons plutôt que tu penses à l'amour. Tu es amoureuse.
_ Pas du tout.
_ Tu es en âge de vouloir connaître l'amour. Tiens ! Au fait, quel âge as-tu ?
_ Seize ans. Tu le sais.
_ Et à quel âge, ta sœur Mahiru a-t-elle couché avec Glenn ?
_ Je ne sais pas.
_ Si, tu le sais. A seize ans. C'était une femme passionnée, aussi bien par la vie que par la mort.
_ Je ne me compare pas à ma sœur.
_ Non, parce que tu es forte. Beaucoup plus forte qu'elle. N'est-il pas temps d'ouvrir cette porte ? Tu as construit un mur dans ton cœur. Un grand mur capable de retenir ton amour, tes émotions, tes joies et tes peines.
_ Et c'est ce mur qui t'empêche de t'emparer de moi.
_ Mais que reste-t-il à une personne dénuée de passion ?
_ La paix.
_ Tu mens. Tu meurs d'envie de connaître l'amour. Ton cœur bat la chamade lorsque tu regardes Yuichirô Hyakuya. Ouvrons cette porte.

Un village regorgeant de roses. Une beauté sans pareille, une existence sans fin, une terreur sans fond, des mystères impénétrables où le sang se répand, où les doigts sont glacés et les sourires troublants. Des récits légendaires où se mêlent brume bleue, ciel crépusculaire et obscurité."

_ Protège cette fleur pour moi. Si tu y parviens, je te guiderai à la Vallée de l'Arbre-Monde. Je ne considérerai le contrat rempli que si on atteint la vallée sains et saufs avec la fleur.
_ Très bien. J'accepte la mission. Moi, Sahara, en qualité de garde du corps, jure présentement de protéger de ma vie la fleur de mademoiselle Yae Torio jusqu'à ce que nous attei... attei... que nous attei... Atchoum ! Que nous atteignons... Atchou ! Bouah Atchoum !!!
_ Allez, on y va !
_ Hein ?! Mais attends-moi ! A... atchoum ! Quand j'enlève mon masque, le pollen m'atta... atchoum !
_ Qu'est-ce que le pollen a à voir avec tes éternuements ?

_ Je me sens en décalage, en retard.
_ Je pense que tu fais fausse route, lança la femme en croisant ses bras et en fronçant les sourcils. Tu as dit toi-même que tu savais depuis longtemps que ta place n'était pas à Berwick, n'est-ce pas ?
Ailéas approuva en hochant silencieusement la tête.
_ Tu sentais déjà que ton destin se trouvait ailleurs. Tu n'as donc aucune raison d'envier ton frère pour le chemin qu'il a parcouru et dont il avait besoin pour comprendre ce que tu savais déjà. Ta place, cela fait des années que tu la pressens, il n'appartient maintenant qu'à toi de l'embrasser et de faire tes propres choix.

_ C'est comme si le temps s'était arrêté pour lui... l'âge, sans doute. Son oeil est cassé et ses autres capteurs ne marchent pas ! Il ne peut pas percevoir correctement la réalité et comble les trous avec les données de sa mémoire. La plupart des robots de l'ancien temps ont une personnalité humaine installée dans leur noyau. Ses grandes facultés de compensation mémorielle se retournent contre lui.
_ Est-il trop vieux pour fonctionner correctement ou son incapacité tout humaine à accepter la mort fonctionne-t-elle au contraire très bien ?
_ Chico, comme je te le dis toujours, si tu t'attaches à chaque robot qu'on croise, tu auras juste plus de mal à récupérer leurs noyaux ! En règle générale, cette opération nécessite de désactiver la cible... Tu devras fixer des limites plus claires.

_ Attends !
_ Où tu vas ?
_ Reste avec nous !
_ Je n'ai plus aucune envie d'être avec vous, vous n'êtes pas normaux...
_ Hé ho ! Pourquoi tu dis ça ?!
_ Parce que vous êtes capables de rire en vivant ici !

"Mais voilà que le paternel a planté ses petites graines dans toutes les femmes qui passaient à sa portée... Mon héritage s'est réduit comme une peau de chagrin. Si tu savais... j'en ai pleuré. A la demande de mon père, j'ai épousé Suzué pour la lui donner. En échange, il devait me donner les terres et voilà qu'avec cette histoire de route, il a commencé à vendre ! Et l'argent de la vente, crois-tu qu'il l'ait affecté à l'héritage ? Tu parles ! Il a tout refilé à Ayako. Eh oui, à toi... toi, tu m'as tout pris ! A la mort d'O-Ryô, j'ai pris sur moi et je t'ai laissée vivre mais si c'était pour qu'une merdeuse s'empare de la fortune des Tengé, j'aurais dû faire comme le Dr Yamazaki m'avait dit... Il arrive que des enfants meurent subitement, ça aurait arrangé tout le monde. Personne ne me prendra ces terres ! Tu es née dans ce grenier de malheur ! Tu y vivras jusqu'à la fin de tes jours !!"

"Le cerisier blanc fleurit au bord de la route,
Sous la voûte si noire des nuages.
Le cerisier sauvage s'affaisse au bord de la route,
Méfie-toi de la voûte noire des nuages.
Tends l'oreille, écoute la pluie, écoute la pluie.
Qui tombe de la voûte noire des nuages.
Hélas, cerisier sauvage, tes douces fleurs sont ternies,
Ternies sont tes douces fleurs, souillées par l'averse."

"Tu as encore des sentiments pour lui. Ce que tu penses, ce que tu ressens... dis-lui une dernière fois. Sinon tu le regretteras toute ta vie."

_ 2000 wons ?!
_ Tiens, ma créancière ?!
_ Hein ? Vous vous connaissez ?
_ On se connaît à peine...
_ Non, on a une relation très intime.
_ Pardon ?!
_ Quoi ? Une relation intime ?!
_ Oui, une affaire de dette. C'est tout à fait privé.

Kaede : Moi aussi, je t'aime. Quand tu m'as dit que c'était la dernière fois, j'ai réalisé que je ne voulais pas. Même là, j'ai eu horriblement peur qu'il te soit arrivé quelque chose.
Shizuku : Moi aussi... je veux rester avec toi.

"Je suis sûre que tu ne voudras pas me croire, mais écoute-moi une dernière fois. Je suis encore amoureuse de toi. Je n'aurais jamais dû te mentir ou te cacher cette histoire avec Nishina. Tu ne dois pas avoir envie que je t'avoue ça mais, c'est toi que j'aie ! C'est avec toi que je veux être !" # Shizuku

_ On trouve plein de choses amusantes dans ta famille et ça sent bon comme une fosse septique. Les frères avec les sœurs, les pères avec les filles, les cousins j'en parle même pas... ça se mélange pire que les chiens ou les chats, là-dedans... ça fait des petits un peu partout, et ça se remélange ! ça engrosse les femmes des métayers et on efface les rumeurs avec de l'argent ou les pressions... la fille qui est morte, c'était précisément le cas !
_ Pas... pas moi ! Je ne suis pas comme eux...
_ Ton père met en cloque toutes les femmes à portée de main, ta mère voit tout mais ne dit rien. Ton frère aîné offre sa femme à son père en échange de terres à gérer. Ton autre frère viole sa demi-sœur et la tue. Ta sœur aînée soutient un escroc et la petite dernière est claustrée dans la maison depuis des années.

Seo Jun : Et alors ?
Ju Kyeong : J'en sais rien... j'aime pas quand des filles si jolies te laissent des commentaires et ça me contrarie que tu aies autant d'amies filles.
Seo Jun : Hé, tu plaisantes, j'espère ? ça fait des années que je t'aime, tu le sais bien !
Ju Kyeong : Mais quand même... j'aime pas les voir tourner autour de toi !
Seo Jun : ça me fait trop plaisir de te voir jalouse !
Ju Kyeong : Ah là là... ça change rien au fait que ça me contrarie beaucoup !