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Commentaires de livres faits par Mariine

Extraits de livres par Mariine

Commentaires de livres appréciés par Mariine

Extraits de livres appréciés par Mariine

date : 14-04-2015
- Qu'entendez-vous par "libres"?
- Comme toi. Tu peux aller où bon te semble et faire ce qui te chante. Je ne sais pas ce que ça fait.
- Je ne suis pas libre ma dame, dit-il lentement. Je ne suis pas plus libre de mes actions que vous. Vous envisagez le fait d'avoir des choix comme les gens qui ont envie de voler. Ils voient un aigle qui s'élance dans les airs et y plane, ils se disent que ce doit être merveilleux de voler. Mais les pigeons peuvent voler, et les moineaux aussi. Personne ne s'imagine être un moineau, pourtant. Personne ne rêve de ça.
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Partez en quête de votre vérité intérieure, et choisissez de créer entièrement votre vie : celle d'un être de coeur qui rayonne qui il est, en tout liberté !
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
Jess remonte la couette jusqu'au sommet de son crâne.
-C'était si embarrassant que ça ?
-Quand ta soeur se lève au moment du dessert en annonçant qu'elle vient de se rappeler qu'elle a une réunion et qu'elle doit partir de toute urgence, alors que de toute évidence elle es à peine capable de tenir sur ses jambes pour aller jusqu'à la porte.. Et qu'elle sonne deux minutes après pour demander quel est le métro le plus proche.. A ton avis ? C'est gênant ou pas?
Une bourde d'écolière. Cobham est un trou bien trop paumé pour avoir une station de métro. Jess replie la couette sur sa poitrine. Tout à coup, elle a comme une bouffée de chaleur.
-Pas de problème, j'ai pris le train.
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Jess sait qu'elle doit se décider à partir avant que la situation ne tourne au vinaigre. D'autant que Josh s'approche.
-Votre manteau, madame?
-Merci, Josh. Venez, partons.
Jess remercie sa bonne étoile de lui avoir donné pour ce soir un chevalier servant plutôt pas mal de sa personne.
Du coup, Nick se relève d'un bond, la main tendue. Il domine Josh de toute sa taille.
-Josh, c'est bien ça ? Enchanté! Je m'appelle Nick. Je vous présente Rosie.
En voyant Nick détailler Josh de la tête aux pieds, Jess sait qu'il va remarquer sa chevelure abondante. Elle n'a pas assez bu pour le supporter.
-Nick, dites-vous?
Josh jette un coup d'oeil à Jess pour s'assurer qu'il s'agit bien du "fameux" Nick... Ce que l'attitude de son invitée confirme.
-Moi aussi, je suis ravi de vous rencontrer.
Il passe le bras sur l'épaule de Jess, et elle ne le repousse pas.
Nick s'incruste, toujours debout devant eux.
-J'insiste, mais pourquoi ne pas vous joindre à nous pour boire un verre vite fait?
Heureusement pour Jess, Josh a aussi peu envie qu'elle de s'attarder.
-Je regrette, mais nous devons partir. Si nous arrivons au Rio après minuit, ils ne nous laisseront plus entrer.
Jess se tourne vers Nick.
-Bon, eh bien, au revoir.
Encore sous le choc, Nick s'assied et vide son verre d'un trait.
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Donc, nous étions là, à moitié nus, à nous embrasser dans la chapelle vide et Jonathan était aux prises avec ce classique dilemme romantique : il avait envie de me dire qu'il m'aimait, mais ignorait si je lui rendrais la pareille.
Même en sachant cela, je n'allais sûrement pas parler la première. Je voulais qu'il se lance d'abord. Je tenais à gagner la partie.
Jonathan a donc pensé : Si Molly m'embrasse dans le cou, je le lui dis.
Le pauvre ! Il croyait placer son choix entre les mains du hasard.. Alors qu'il avertissait son adversaire de son prochain coup.
Bien évidemment, j'ai déposé un baiser dans son cou.
Bien évidemment, il a pensé : Ouah, le voilà mon signe du destin/de l'univers/peu importe de quoi.
Et bien entendu, il m'a regardée, avec ses beaux yeux marron, si grands, si amoureux, si confiants, et à déclaré :
- Je t'aime.
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date : 20-07-2011
Mon esprit s'arrête ; j'ai la sensation de m'élever au-dessus du corps inerte et sans vie qui repose sur les draps, saturé d'apaisement et de fatigue. Je ne sais comment, je suis à la fois éveillé et endormi, et je regarde mes parents me veiller ensemble. Papa et maman. J'essaie de leur expliquer ce qui s'est passé, mais j'ignore s'ils peuvent m'entendre.
Ne vous en faite pas, dis-je tout bas, elle ne pourra jamais mourir vraiment parce q'elle est en nous, et moi, je sais où elle est, je sais à quelles ténèbres elle fait face, mais elle n'est pas seule, parce que nous aussi on est en elle.
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date : 20-07-2011
Parfois, je regrette qu'elles soient là, ces photos ; alors je regarde celles de ma soeur Charley. Il y en a beaucoup. La Charley que je n'ai jamais connue, un an, grassouillette, avec un duvet roux sur la tête. Celle de trois ans qui regarde la caméra avec es yeux semblables aux miens. J'y suis aussi, sur cette photo-là, et je n'ai pas encore mes yeux de grand. Elle sourit mais je vois qu'elle serre très fort mon bras de bébé dodu dans son petit poing et j'imagine que ça a dû me faire mal. A mon avis, ça ne lui a pas tellement plu que je naisse. Sur cette photo, ses yeux sont verts. Et ils brillent. "C'est moi qu'il faut regarder", crient ces yeux là. "Regardez-moi, et pas ce petit tas de rien du tout par terre, là."
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- "De toute façon, je n'aime pas beaucoup les histoires de téléphones. Je ne peux pas m'imagnier en train d'appeler et de dire :'Oh heu... Mary c'est Dave. Veux-tu venir au cinéma ?' Ca a l'air idiot et je serais embarassé."
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- "Mazette ! Nous avons des filles du genre beatnik à l'école mais c'est la première fois que je vois une mère beatnik. Elle porte une chemisette noire et des blue-jeans et de vieilles chaussures de tennis(...)" C'est vraiment une dingue.
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-"Papa rentre dans la cuisine et me jette un coup d'oeil inquisiteur :'Cest bien la première fois que j'entends que tu comptes passer un jour de vacances à faire des devoirs. Je parie qu'il y a une nouvelle boite à twist dans le coin.'
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date : 12-04-2011
Avant :
« Aujourd'hui, c'est dimanche. Grand-père fête ses quatre-vingt ans. Il mourra donc ce soir. Autrefois, les gens se réveillaient en se demandant : 'Est-ce mon dernier jour ?' ou se couchaient sans savoir s'ils verraient le soleil se lever. Maintenant, nous savons tous quel jour sera notre dernier et quelle nuit sera sans fin. Le banquet final est un luxe. Un véritable succès de la Société dans l'amélioration de notre qualité de vie. »

Après :
« J'ai envie de prendre le cadre pour retourner au milieu de l'espace vert. Je resterais plantée devant la fontaine jusqu'à ce que l'Officielle vienne me voir. Et quand elle me demanderait ce que je fais là, je lui dirais, je dirais à tout le monde que j'ai compris : ils nous donnent des échantillons de vie au lieu de nous laisser vivre vraiment. Je lui dirais que je ne veux pas me contenter d'échantillons et de miettes. Me contenter de goûter sans jamais faire un vrai repas. »
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date : 13-03-2011
" Notre guerre... Vous et moi, quelques hommes, une centaine que j'ai connus... Je ne sais que cela, les gestes que nous avons faits, notre souffrance et notre gaîté, les mots que nous disions, les visages que nous avions parmi les autres visages, et votre mort. "
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« Le grand moment était venu. Le barrage roulant s'approchait des premières tranchées. Nous nous mîmes en marche... Ma main droite étreignait la crosse de mon pistolet et la main gauche une badine de bambou. Je portais encore, bien que j'eusse très chaud, ma longue capote et, comme le prescrivait le règlement, des gants. Quand nous avançâmes, une fureur guerrière s'empara de nous, comme si, de très loin, se déversait en nous la force de l'assaut. Elle arrivait avec tant de vigueur qu'un sentiment de bonheur, de sérénité me saisit.L'immense volonté de destruction qui pesait sur ce champ de mort se concentrait dans les cerveaux, les plongeant dans une brume rouge. Sanglotant, balbutiant, nous nous lancions des phrases sans suite, et un spectateur non prévenu aurait peut-être imaginé que nous succombions sous l'excès de bonheur. »
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date : 23-02-2011
Je marche sur cette route poussiéreuse qui me paraît bien longue. Mes pieds sont lourds, mes sandales me font mal. Le paysage qui s'offre à moi est monotone, mélange de sables et de rochers épars, aucune végétation ou habitation. Une faible brise soulève des grains de poussière et forme des tourbillons de sable éphémères. Je suis seul et je n'ai pour seule compagnie que mes pensées. Me voilà projeté dans le passé; mes pas se font plus rapides. Je suis tout à coup très jeune et je cours, à travers une ruelle étroite et passante, pour rejoindre mes parents qui tiennent une petite échoppe près du Colysée. J'aime cet endroit, j'aime entendre les clameurs du public, ce mélange de peuples venus de tous les coins du monde. On y côtoie des gens de couleurs vêtus dans des accoutrements plus ou moins farfelus. J'aime ces odeurs variées émanant des cuisines et des jeunes beautés romaines parfumées de jasmin et de violette sauvage qui veulent séduire et qui se mêlent aux odeurs nauséabondes de la ville. Les jeux du cirque ne me font pas peur, le sang versé me fascine. C'est un spectacle tout à la fois majestueux et horrible. Dans les arènes, lorsque les armes retentissent, la foule scande les noms de ses héros préférés. Je suis dans mes pensées quand je suis rappelé à la réalité. « Matteo, que fais-tu ? Vas donc nous chercher de l'eau pour le repas ». Ma mère n'attend pas ma réponse et me désigne le seau à côté de l'entrée. C'est une femme autoritaire, à la peau sèche, au visage fatigué. Aussi loin que je me souvienne, elle n'a jamais cessé de travailler pour se consacrer entièrement à son travail. Elle n'a ni loisirs ni ami et mes rapports avec elle sont très distants. Je me dis qu'elle doit m'aimer mais à sa manière, tout en retenue. Elle ne fait guère de gestes tendres comme toutes les mères que je peux voir autour de moi. Du haut de mes seize ans, je cours à travers les rues sinueuses et sales de mon quartier que je connais par cœur, jusqu'à ce puits construit de briques rouges taillées sommairement, réservé aux pauvres gens où je retrouve avec plaisir mes amis. J'ai plaisir à m'asseoir sur le rebord et à discuter de tout et de rien avec eux mais cette fois-ci, je n'ai pas le temps de jouer et lorsque mon seau est rempli je regagne la maison avec peine, tant la charge est lourde. Mes parents sont d'humbles commerçants, marchands de tissus de père en fils. Je n'ai pas pu faire beaucoup d'études, ma vie est faite de choses simples. Je suis fils unique. Mon père, au caractère effacé, souhaiterait que je reprenne le commerce à sa suite mais j'aspire à une vie d'aventures, de bohème. Il me dit souvent que si je choisis cette voie je deviendrai voleur et finirai au bout d'une corde. Je m'en moque. Bon nombre de mes amis d'enfance sont partis à travers le monde. Je n'ai plus de nouvelles d'eux depuis bien longtemps. Je les imagine entourés d'esclaves et de domestiques, le sol qu'ils foulent, recouvert d'or. Page 03 Moi aussi, mon tour viendra. Je ne sais de quelle façon mais il arrivera, c'est certain. Il faut que je sois patient. J'ai confiance en ma bonne étoile. Ce soir, mon quartier est en fête pour célébrer l'arrivée des beaux jours. Les maisons ont toutes été fleuries et d'immenses banderoles ont été suspendues.
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La nature nous a donné une langue et deux oreilles, afin que nous écoutions le double de ce que nous disons.
Zénon de Citium (philosophe grec, fondateur du stoïcisme 335-264 av. J.-C.)

Négliger les petites choses sous prétexte qu'on voudrait en faire des grandes, c'est l'excuse des lâches.
Alexandra David-Neel (écrivaine et exploratrice française ; 1868-1969)

Ne demeure pas dans le passé, ne rêve pas du futur, concentre ton esprit sur le moment présent.
Bouddha, Siddhârta Gautama dit (philosophe fondateur du bouddhisme ; v. 536-v. 480 av. J.-C.)
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
Félicitations. Si vous lisez ceci, c'est que, sans le savoir, vous venez de mettre toutes les chances de votre côté pour rester en vie jusqu'à votre prochain anniversaire. Vous ! Oui, vous,là ! Vous qui êtes en train de leuilleter ce livre. Ne le remettez pas là où vous l'avez pris. Je ne rigole pas. Si vous tenez à la vie, ne faites pas ça.
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-Max ? a crié Nudge.
Je ne pouvais pas réfléchir, pas parler. Rien. Mes ailes se sont pliées comme du papier et j'ai entamé une chute libre tel un grêlon.
Quelque chose ne tournait pas rond.
ça y est, c'était reparti. Je me disais bien que ça faisait longtemps aussi.
Un torrent de larmes ruisselait sur mes joues. J'avais les mains plaquées sur le crâne comme pour empêcher la douleur de le faire exploser. La seule pensée à demi cohérente qui me venait se résumait à: "Laissez-moi mourir, que cette foutue douleur stoppe... Stop.. STOP!!!
Ensuite, Fang m'a attrapée de ses bras noueux et durs et j'ai senti que je remontais.
[...] - Wahou, tu pèses une tonne ! T'as mangé des pierres ou quoi ?
-Pourquoi ? Il t'en manque dans le cerveau ? dis-je d'une voix enrouée.
Je voyais sa bouche et dessus la petite grimace bizarre censée ressembler à un sourire. C'est alors que j'ai compris à quel point il avait eu la trouille.
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Un frisson parcourut Fang. Néanmoins, très vite, il se ressaisit. Max n'était pas morte. Si c'était le cas, il l'aurait su. Il l'aurait senti, d'une manière ou d'une autre. Le monde lui apparaissait inchangé. C'est pourquoi Max devait nécessairement en faire toujours partie.
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RIchard Ekström, le responsable de l'enquête préliminaire, avait des papillons dans le ventre ce vendredi matin, lorsque peu avant 9 heures il demanda au chef des investigations, Jan Bublanski, de s'asseoir de l'autre côté du bureau. Ekström ajusta ses lunettes et frotta sa barbe bien entretenue. Il vivait la situation comme chaotique et menaçante. Un mois durant, il avait été le responsable de l'enquête préliminaire, l'homme qui chassait [... ]
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On évalue à six cents le nombre des femmes soldats qui combattirent dans la guerre de Sécession américaine.
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La carotte, c'était l'incitation offerte aux intermédiaires tels que Magge Lundin - un bon profit quasiment sans risque. Le système était impeccable. Magge Lundin n'avait pas à lever un doigt pour que les produits lui soient livrés - pas de voyages d'achat compliqués ni de négociations obligatoires avec des personnes qui pouvaient être tout, depuis des flics de la brigade des stups jusqu'à la mafia russe, et qui pouvaient parfaitement [... ]
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- L'île restait coupée mais les choses ont commencé à se calmer. Nous ne nous sommes rendu compte de l'absence d'Harriet qu'au moment où nous passions à table pour un dîner tardif vers 20 heures.J'ai envoyé l'une de mes cousines la chercher dans sa chambre, mais elle est revenue en disant qu'elle ne la trouvait pas. Cela ne m'a pas inquiété outre mesure ;j'ai dû croire qu'elle était allée faire un tour ou qu'elle n'avait pas été informée [... ]
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Je venais tout juste de ranger mon téléphone que je me suis cognée à Michael.
Oui, Michael.
Je peux vous dire que ça a été un véritable choc.
Qu'est-ce que Michael faisait ici ?
-Toi?
-Oui, moi, a répondu Michael en se frottant l'épaule.
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- Marre de cette puce ! Je veux m'en débarasser, ai-je raconté de façon hachée. (J'ai baissé la tête. Fatiguée. Honteuse. Une semaine plus tôt, j'avais eu mon premier rendez-vous, embrassé un mec pour la première fois, du haut de mes quatorze ans. Maintenant, j'étais redevenue moi, la mutante, en cavale pour échapper à un destin qui se refermait sur moi comme un étau.)
-Regarde un peu ce que tu fais ! m'a dit séchement Fang. Tu vas te vider de ton sang, imbécile !
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" Ce document unique fera enfin comprendre à un large public que la toxicomanie juvénile, de même que l'alcoolisme juvénile aujourd'hui en constante progression et l'attirance des jeunes pour les sectes ne sont pas des importations mais des phénomènes engendrés par notre société même. "
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