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Commentaires de livres faits par Melanie-66

Extraits de livres par Melanie-66

Commentaires de livres appréciés par Melanie-66

Extraits de livres appréciés par Melanie-66

Je me rappelle… Raphaël penché au-dessus de moi. Ses lèvres qui effleurent les miennes, aussi légères que les ailes d'un papillon. Et son murmure, comme une caresse contre ma bouche. « Je te libère, mon amour… Que ton esprit soit délivré de toute contrainte ! Que nos liens se dissipent et t'affranchissent de mon emprise ! » Puis cette sensation de fraîcheur dans ma tête. Ce souffle gelé qui s'échappe de mes lèvres comme tiré du plus profond de mon âme. Et encore la voix de Rip, rauque, emplie d'émotion. « Maintenant, tu peux faire tes choix, en ton âme et conscience, bébé. Tu es libre… » Bordel ! Je n'ai pas rêvé !
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
date : 30-07-2019 par iarld
Oui, parce que j’ai de la répartie, mais une heure plus tard, quand les gens sont rentrés chez eux.
Avez vous apprécié cet extrait ? +43
date : 14-02-2018 par LiliMatoline
Chapitre 1 :

"... Il était en train de baisser son caleçon - qu'il avait choisi noir par pur esprit de contradiction -, penché vers l'avant, un étui de préservatif coincé entre les dents, quand le néon du plafond s'alluma, inondant la petite pièce d'une lumière crue et agressive.
Le cri de surprise provenant du lit à sa gauche le fit s'immobiliser.
Putain, je ne suis pas dans la bonne chambre ! réalisa-t-il.
La jeune femme immobile devant lui le fixait, les yeux écarquillés. Elle était superbe, sexy - bandante -, mais ce n'était pas sa lugeuse slovaque. Aucun doute.
Après quelques instants où ils restèrent tous les deux complètements statufiés, la fille s'assit d'un bond dans son lit. Justin s'attendit presque à l'entendre hurler, façon Jamie Lee Curtis dans Halloween. Mais elle demeura silencieuse. De ses immenses yeux bleus, elle le détailla de la tête aux pieds. Ses mèches blondes et bouclées, ébouriffées, encadraient un visage adorable où se lisait une stupéfaction sans nom.
Cette fois, je suis bon, pensa Justin.
Une plainte pour agression sexuelle et il pouvait dire adieu à sa carrière en équipe nationale, mais aussi en ligue. Ni Hockey Canada ni la LNH ne plaisantaient avec ce genre d'affaires.
Il s'écoula encore plusieurs secondes - qui lui parurent des heures - avant que son cerveau ne se reconnecte et qu'il réalise qu'il n'avait pas bougé, son caleçon bloqué aux genoux. Alors qu'il esquivait le début d'un geste pour se rhabiller, la beauté blonde l'interrompit d'une voix douce et calme.
- Soit tu remets tes fringues et tu te barres, soit tu enfiles cette capote et tu me montres de quoi tu es capable."
Avez vous apprécié cet extrait ? +10
Chapitre 1 : Knox :
" - La dernière nana avec laquelle j'ai couché ne savait même pas qui j'étais, ne puis-je m'empêcher de faire remarquer.
...
- C'est arrivé le soir du réveillon de la nouvelle année, et non, je ne l'avais jamais vue avant. Ou depuis, d'ailleurs.
...
- Tu voudrais la revoir ?
Et comment ! Faudrait juste que je la retrouve, mais je ne sais même pas où chercher.
- ouais, pourquoi pas ! Cala dit, elle m'a bien fait comprendre que c'était une histoire d'une nuit. Je lui ai demandé son numéro de téléphone, et elle a refusé de me le donner.
- Mmm... Les aventures sans lendemain et sans attaches, le pied, commente pensivement Ryder.
Aussitôt, Cassie lui assène un coup de poing sur le bras et lui prend sa flûte de champagne posée devant lui sur la table.
- il s'agit donc d'une femme mystère, intéressant..., dit-elle avant d'avaler une petite gorgée. Elle ressemblait à quoi ? Peut-être que c'est une habituée du club.
Elle a de longs cheveux châtains, de ravissants et grand yeux noisette, un déhanché d'enfer et une voix pantelante lorsqu'elle jouit.
Je suis le point de leur dire exactement ça - en gardant la dernière info pour moi, évidemment-, lorsque je sens un coup dans le dos et manque de renverser mon verre.
Je m'apprête à me retourner pour apprendre les bonnes manières à la personne qui m'a bousculé quand je remarque Jackson qui n'a pas pipé un seul mot de la soirée se raidir dans son fauteuil.
Ah, salut ! marmonne-t-il en regardant pile-poil au-dessus de ma tête.
Tous les regards, y compris le mien, se tournent vers la personne concernée, et là...
Derrière moi se tient une femme que je connais très bien.
- «Ah, salut» ? répète l'intéressée en imitant l'intonation de Jackson. C'est une façon de dire bonjour à sa petite sœur chérie, ça ?
Mon Dieu, je rêve ou... C'est elle, mon amante mystérieuse du Nouvel An !
Oui, elle est là, à quelques millimètres à peine floral. Un sourire sarcastique, vraisemblablement à l'intention de Jackson, étire ses lèvres et...
Minute papillon !
Elle a dit «petite sœur»?!
Putain... De... Merde.
La fille que je me suis tapée et qui hante mes pensées depuis n'est autre que la «petit sœur» de Jackson ?!
C'est une blague, dites-moi que c'est une putain de blague !"
Avez vous apprécié cet extrait ? +12
Pour la première fois depuis son arrivée, j’avais autorisé ma garde personnelle à m’accompagner.
Quatre d’entre elles se trouvaient dans ma voiture et six dans le van qui nous suivait.
Soit dix guerrières possédant la force de frappe et la puissance d’une armée de plusieurs centaines d’hommes.
En lui demandant officiellement audience, j’avais envoyé un message très clair à Raphael : cette visite n’était pas celle d’une maîtresse à son amant ou d’un Assayim à un membre du Directum, mais une rencontre formelle entre la Reine des Vikaris et le Tribain des vampires.
Le message fut visiblement reçu cinq sur cinq parce qu’une cinquantaine de gardes se rassemblèrent aux abords du manoir dès que nous eûmes franchi le portail de la propriété.
— Prima, soyez la bienvenue en territoire nosferatu, déclara Jencco en s’inclinant.
Le lion arborait une mine sévère et regardait non sans inquiétude mes gardes se positionner silencieusement et dans une parfaite coordination de mouvement en arc de cercle autour de moi.
Je ne répondis pas et me contentai d’incliner légèrement la tête.
— Je vous prie de me suivre, fit-il avant de grimper les marches de l’escalier de pierre jusqu’à l’entrée.
Je lui emboîtai le pas, le regard fixe et la tête haute en faisant soigneusement mine de ne pas remarquer l’expression effarée des hommes de Raphael.
— Prima, nous sommes honorés, m’accueillit Hector, le majordome de Raphael, d’un ton cérémonieux en ouvrant la porte.
J’aimais beaucoup Hector.
En temps normal, je l’aurais probablement taquiné et nous serions allés discuter dans la cuisine autour d’une bonne tasse de thé.
Aujourd’hui, je me contentai d’acquiescer poliment, de retirer mon blouson et de le lui coller dans les bras sans dire un mot.
— Le maître vous attend dans la salle de réception, me renseigna-t-il en me faisant signe de le suivre.
Je le suivis, ma garde toujours déployée autour de moi.
La nuit était en train de tomber, je n’étais donc pas surprise de voir certains des gardes les plus puissants du Mortefilis levés et alignés le long du couloir qui menait à la salle de réception du manoir.
Immobiles comme des statues, ils nous suivaient attentivement des yeux.
Naelle qui se tenait juste à côté de moi esquissa un rictus et envoya discrètement une légère décharge à Vladimir, le vampire blond qui la dévisageait d’un air franchement hostile.
— Naelle, sage, ordonnai-je d’un ton sévère.
— Oui, ma Reine, répondit-elle en jetant un regard tellement rempli de mépris au vampire qu’il aurait pu s’y noyer.
J’accélérai le pas avant que ça ne dégénère.
Naelle avait un caractère de chien et je connaissais suffisamment Vladimir pour savoir à quel point il pouvait se montrer teigneux.
Je n’avais aucun doute sur le fait que si un tel combat devait avoir lieu le vampire se ferait sacrément botter le cul mais je n’avais aucunement l’intention de laisser ce genre de merdes se produire.
En tout cas, pas sans provocation directe de leur part.
Hector ouvrit la porte de la salle de réception puis s’inclina tandis que trois de mes gardes me précédaient dans la pièce.
En moins de deux secondes, elles examinèrent les lieux, enregistrèrent le nombre de vampires présents, quatre en l’occurrence, ainsi que leur potentiel offensif, puis se positionnèrent aux trois coins de la salle de manière à pouvoir intervenir le plus rapidement et le plus efficacement possible tandis que j’entrai avec Naelle à ma gauche, Victoria à ma droite et Blanche juste derrière moi.
Raphael vêtu de son kimono blanc d’apparat avait attaché ses cheveux avec une lanière en cuir.
Ses yeux étaient aussi bleus et luisants qu’un ciel d’été.— Morgane, Reine des Vikaris, présente ses respects à Raphael, Tribain et maître du Mortefilis, fis-je d’une voix neutre en inclinant brièvement la tête.
— Et Raphael, maître du Mortefilis, présente ses hommages et souhaite la bienvenue à Morgane, souveraine des Vikaris,répondit-il en me rendant respectueusement mon salut.
Son visage n’exprimait pas la moindre expression mais je le connaissais suffisamment pour remarquer à la raideur de ses mains qu’il était extrêmement contrarié… non… pas contrarié… furieux.
Il était fou de rage.
Bien.
Comme ça on était deux.
Avez vous apprécié cet extrait ? +145
- Il existe un lien très spécial entre eux, soupirai-je en croisant le regard douloureux de William.
Il sourit tristement.
- Elle est amoureuse de lui…
Je haussai les sourcils.
- Mais je sais qu’elle m’aime aussi.
L’éternelle histoire du triangle amoureux… Mais pourquoi moi ? Pourquoi fallait-il que ça tombe toujours sur moi ? On ne pourrait pas, je ne sais pas, faire un petit break pour une fois ?
- Si ça peut te rassurer, je ne crois pas qu’Ariel …
- …il s’est interposé entre elle et le lynx sans l’ombre d’une hésitation. Je l’ai vu dans son regard, Assayim, ce n’était pas un réflexe mais une décision calculée. Il l’aime. Il tient à elle plus qu’à sa propre vie. Seulement cet idiot préfèrerait brûler sur place plutôt que de l’admettre.
Si c’était vrai, on était dans la panade. William au moins je pouvais le comprendre. Il apparaissait sur mon écran radar comme un type bien, un gentil garçon responsable avec un caractère de cochon mais au cœur tendre comme Gordon et Ali. Ariel lui, se situait à une toute autre échelle… une échelle plus proche de celle de Raphael ou de Michael, le père de Leo… autrement dit, il était complètement flippant...

Source : Facebook de l'auteur
Avez vous apprécié cet extrait ? +60
date : 12-11-2015 par MissEcho
Apprends à perdre afin de pouvoir, plus tard, apprendre à gagner
Avez vous apprécié cet extrait ? +9
date : 12-09-2015 par sameera
Si M. Thornton s’était conduit comme un imbécile le matin, ainsi qu’il se le répéta au moins vingt fois, il ne fit pas preuve de beaucoup plus de sagesse l’après-midi. Tout ce qu’il gagna à sa course de six pence en omnibus, ce fut la conviction encore plus vive que jamais il n’y avait eu et que jamais il n’y aurait de jeune fille telle que Margaret ; qu’elle ne l’aimait ni ne l’aimerait jamais ; mais que ni elle – non ! – ni le monde entier ne l’empêcherait jamais, lui, de l’aimer.
Avez vous apprécié cet extrait ? +12
- Rose... à propos de ce qui s'est passé...
Je poussai un grognement.
- Je le savais ! Je savais que ça allait se produire...
Il me jeta un regard surpris.
- Que quoi allait se produire ?
- Ça ! Le moment où tu me ferais la leçon en m'expliquant que ce que nous avions fait était mal, que nous avions eu tort et que ça ne se reproduirait plus jamais !
Je n'avais pas compris à quel point j'avais peur qu'il me tienne ce discours avant que ces mots s'échappent de mes lèvres.
Il avait toujours l'air surpris.
- Pourquoi crois-tu que je vais dire ça ?
- Parce que c'est ta manière d'agir ! répliquai-je. (J'avais conscience que je devais lui paraître un peu hystérique.) Tu veux toujours faire ce qui paraît bien. Quand tu fais quelque chose qui te paraît mal,tu as besoin de le corriger pour faire quelque chose qui te paraît bien à la place. Voilà pourquoi je sais que tu vas dire que ce qu'on fait n'aurait pas dû se produire et que tu veux...
Je n'eus pas l'occasion de finir ma tirade parce que Dimitri m'enlaça la taille et m'attira contre lui dans l'ombre d'un arbre. Nos lèvres se rencontrèrent et notre baiser me fit oublier la crainte qu'il considère que nous avions commis une erreur. Alors que cela me semblait impossible, j'en oubliai même le massacre que les Strigoï avaient perpétré. Un instant seulement.
Il ne me lâcha pas lorsque notre baiser prit fin.
- Je ne pense pas que ce que nous avons fait est mal, me dit-il avec douceur. J'en suis heureux. Si je pouvais remonter le temps, je le referais sans hésitation.
Avez vous apprécié cet extrait ? +100
"Je compte te protéger, de tous, tant que je serais en vie. Cela inclu Puck, le faux roi et quiconque voudrait t'enlever à moi. Je crois que j'aurais du te prévenir que j'ai un petit côté possessif."
Avez vous apprécié cet extrait ? +64


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