Pierre Bordage

J'ai été transporté dans un autre univers avec des personnages inoubliables.

C'est la 1ère fois que je lis une uchronie. J'ai bien aimé le concept.

Le résumé est incorrect.

La révolution a bien eu lieu, le peuple a été massacré.

Les adolescents Clara et Jean sont attachants.

Il y a des passages un peu longs, et on se demande où l'auteur veut arriver.

Ce qui m'a dérangée, c'est la situation absolument non crédible et plaquée en chute. Spoiler(cliquez pour révéler)Dans une foule de milliers de personnes, les adolescents se retrouvent par miracle rien qu'en murmurant respectivement leur prénom !

C'est une trilogie, mais je ne suis pas du tout tentée par les tomes suivants. Les commentaires des lecteurs ne m'y incitent pas.

Très cru et un par moment très obsédé par le sexe.

L'écriture est malgré tout fluide, l'univers intrigue, mais c'est un peu frustrant de voir tout le temps planer une vérité cachée sans avoir de véritable payoff de révélation.

Toujours à la recherche d'une bonne lecture post-apocalyptique, j'avais ce roman depuis longtemps sur une étagère.

Nous sommes ici un siècle après la Troisième Guerre Mondiale et nous suivons les peuples qui ont survécu.

L'idée de base m'a plu et j'ai lu les premières centaines de pages avec plaisir car on découvre la vie des Aquariotes qui sont en charge de trouver de l'eau non contaminée. Leur parcours de nomades, nous entraîne à travers une France que l'on ne reconnaît plus, ravagée et empoisonnée.

Au fur et à mesure de ma lecture, l'intérêt a fini par s'essouffler car l'histoire avance trop lentement et ne se développe pas vraiment. Il y a aussi un côté mystique assez important qui peut ne pas plaire.

J'ai eu du mal à arriver à la fin de ces 670 pages, fin d'ailleurs beaucoup trop rapide.

Sans que ce soit un mauvais roman je dirais juste qu'il manque un petit quelque chose et je reste contente d'avoir découvert cet auteur.

Médiocre.

Le contexte explicitant ce qui est vraiment en jeu arrive finalement à la toute fin du livre, et est baclé en quelques paragraphes.

La résolution est un deus ex machina qui ne résout que la partie « invasion » sans s'occuper de la partie « la cité est pourrie jusqu'à la moelle ».

Bien le bonjour Les poussins Phoenix jusqu'aux Phoenix d'or ; -) …

Aujourd'hui on va voir ce Livre :

Les Derniers Hommes, épisode 6: le dernier jugement de Pierre Bordage (Français né en 1955) Tome 6 sur 7 94 pages ; J'ai Lu (20 Juin 2000).

Alors oui, je le confesse, je n'ai pas lu les cinq premiers tomes. Est-ce que ça me gênera pour autant ? On verra…

Kadija n'avait pas besoin de recourir à la symbiose avec Benjamin pour savoir qu'approchait la réunion des douze tribus.

La Terre, la nature, reprend ses droits…

« (…) Et Satan, le dragon, l'antique serpent, précipité dans l'étang de soufre et de feu, avait désormais perdu sa capacité à nuire. »

La terre devient un paradis pour ceux qui restent.

« (…) le Verbe de l'Eskato » « (…) la véritable logique de l'évolution, du rééquilibrage, de l'ordre »

Cela dit, Kadija reste inquiète dans son nouveau Jardin d'Eden.

Eh oui mes amis, la 3ème guerre mondiale a déjà eu lieu…

Kadija est partagée entre son attirance pour Solman et son image publique de Sainte. le meilleur moyen de surmonter une tentation c'est d'y céder èé ...

L'Eskato donne des missions à chacune des douze tribus. Comme par exemple, s'occuper de la faune et la flore.

Les « survivants » à la « purge » gardent leur enveloppe humaine pour se rappeler d'où ils viennent mais ils prônent le règne minéral, végétal, etc…

Je n'ai vraiment pas accroché à ce Livre. Cela dit j'essaye d'être indulgent : j'ai commencé par le dernier tome !

Bonnes Lectures. Bon Vendredi.

Phoenix

++

NOYER littéralement dans des périples sans intérêt (à mon avis) mais on se plonge tout de même entièrement dans leur monde. J'aime beaucoup la plume de Bordage, mais le fait de mettre autant de petites galère à droite à gauche (qui sont assez prévisibles en plus) n'est qu'une façon d'épaissir un peu plus son livre sans trop se préoccuper de l'intrigue principale.

Je comprend parfaitement que cela puisse plaire; mais à mon gout, surtout du coter de Ganesh, ça traine en longueur pour...rien

J'ai bizarrement était impressionnée par la violence et la cruauté du pays horcite, que j'ai trouvé réaliste et pas trop tiré par les cheveux (j'avoue que l'espèces de secte m'a fait froid dans le dos)!

encore un autre roman post apocalypstique , sans réelle démarcation par rapport aux autres : agréable à lire toutefois

Un roman qui aborde un thème majeur de la physique quantique, l'hypothèse de pouvoir être à deux endroits en même temps. J'ai bien aimé le personnage de Tarr, l'extraterrestre qui s'exprime d'une manière particulière, ponctuant invariablement ses affirmations par "oui" et ses négations par "non", ça lui donne un côté attachant. J'ai juste trouvé un peu brouillon les 50 dernières pages.

Première nouvelle au style extrèmement désagréable basé sur de l’exagération et de l'absurde à outrance afin de bien faire comprendre que c'est de l'humour, regardez, là, il faut rire, allez c'est drôle !

Les deux autres textes remontent un peu le niveau sur ce point, avec des histoires sympathiques, sans pour autant être inoubliables.

Par contre c'est assez douloureux de voir qu'en 2017 il n'est toujours pas envisageable en SF d'avoir une représentation de la femme autre que Une extraterrestre qui demande l'aide du héros / Une bonasse millionnaire qui demande l'aide du héros / Une cougar nymphomane qui harcèle le héros parce qu'il veut pas payer son loyer / Une serveuse gorille nymphomane qui est moche alors elle trouvera pas de mec / Une IA holographique qui se fait les ongles. Affligeant.

[Edit] J'en ai oublié quelques unes ! La bourgeoise hautaine propriétaire d'un salon de thé pour bourgeois / Son employée (parce que j'imagine qu'un homme serveur dans un salon de thé c'était pas ouf) / La femme d'un paysan qu'on voit pendant une ligne / Deux sous fifres bimbo du grand méchant / La survivaliste qui a le mérite d'être un peu moins caricaturale et qui participe à l'action (un peu) et qui relève le niveau même si c'est pas encore ça